« Jean Racine » : différence entre les versions

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Version du 10 janvier 2009 à 19:40

Jean Racine

Jean Racine (1639 - 1699) est un poète français tragique. Il est considéré, à l'égal de son aîné Pierre Corneille, comme l'un des deux plus grands dramaturges classiques français.




Andromaque

Oreste à Pylade : Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes?
  • Ce vers est l'exemple littéraire d'allitération (ici en "s") le plus cité.


Britannicus

Agrippine à propos de Néron : Las de se faire aimer il veut se faire craindre
  • « Britannicus » (1669), dans Oeuvres complètes, Jean Racine, éd. Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 1999, t. I, acte I, scène 1, p. 377, vers 12 (texte intégral sur Wikisource)


Agrippine à propos de Néron : Toujours la tyrannie a d'heureuses prémices.
  • « Britannicus » (1669), dans Oeuvres complètes, Jean Racine, éd. Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 1999, t. I, acte I, scène 1, p. 378, vers 39 (texte intégral sur Wikisource)


Néron à propos de Junie : Excité d'un désir curieux
Cette nuit je l'ai vue arriver en ces lieux,
Triste, levant au Ciel ses yeux mouillés de larmes,
Belle, sans ornement, dans le simple appareil
D'une Beauté qu'on vient d'arracher au sommeil.
  • « Britannicus » (1669), dans Oeuvres complètes, Jean Racine, éd. Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 1999, t. I, acte I, scène 1, p. 389, vers 386-390 (texte intégral sur Wikisource)


Burrhus à Néron : Mais si de vos flatteurs vous suivez la maxime,
Il vous faudra, Seigneur, courir de crime en crime,
Soutenir vos rigueurs par d'autres cruautés,
Et laver dans le sang vos bras ensanglantés.


Bérénice

Titus : Ah, Rome! Ah Bérénice! Ah, prince malheureux!
Pourquoi suis-je empereur? Pourquoi suis-je amoureux?


Bérénice : Nous séparer? Qui? Moi?
Titus de Bérénice?


Antiochus : Eh bien, Antiochus, es-tu toujours le même?
Pourrai-je sans trembler , lui dire: « Je vous aime »?


Bajazet

Atalide à Zaïre : Mon unique espérance est dans mon désespoir.


Phèdre

Hippolyte à Théramène : La fille de Minos et de Pasiphaé.
  • Vers fameux pris comme le modèle de tout alexandrin
  • « Phèdre », dans Oeuvres complètes, Jean Racine, éd. Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 1999, t. I, acte I, scène 1, p. 822


Hippolyte à Théramène : Si je la haïssais, je ne la fuirais pas.
  • « Phèdre », dans Oeuvres complètes, Jean Racine, éd. Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 1999, t. I, acte I, scène 1, p. 823


Phèdre à Oenone : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ;
  • « Phèdre », dans Oeuvres complètes, Jean Racine, éd. Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 1999, t. I, acte I, scène 3, p. 831


Hippolyte à Thésée : Ainsi que la vertu, le crime a ses degrés;
Et jamais on n'a vu la timide innocence
Passer subitement à l'extrême licence.
  • « Phèdre », dans Oeuvres complètes, Jean Racine, éd. Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 1999, t. I, acte IV, scène 2, p. 858


Hippolyte à Thésée : Le jour n'est pas plus pur que le fond de mon cœur.
  • « Phèdre », dans Oeuvres complètes, Jean Racine, éd. Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 1999, t. I, acte IV, scène 2, p. 858




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