« Antonio Porchia » : différence entre les versions

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Version du 9 décembre 2008 à 01:00

Antonio Porchia (13 novembre 1885 - 9 novembre 1968) était un écrivain argentin. Il a écrit un seul livre, Voces (Voix).

Citations

Celui qui a vu tout se vider, il sait à peu près de quoi tout se remplit.
  • (es) Quien ha visto vaciarse todo, casi sabe de qué se llena todo.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 10


Avant de parcourir mon chemin, j'étais mon chemin.
  • (es) Antes de recorrer mi camino yo era mi camino.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 10


Mon père, en s'en allant, a donné un demi siècle à mon enfance.
  • (es) Mi padre, al irse, le regaló medio siglo a mi infancia.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 11


Celui qui me tient d'un fil n'est pas fort; ce qui est fort, c'est le fil.
  • (es) Quien me tiene de un hilo no es fuerte; lo fuerte es el hilo.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 11


Ma pauvreté n'est pas totale : je manque.
  • (es) Mi pobreza no es total : falto yo.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 12


Si tu ne lève pas tes yeaux, tu croiras être le point le plus haut.
  • (es) Si no levantas los ojos, creerás que eres el punto más alto.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 12


On vit avec l'espérance d'arriver à être un souvenir.
  • (es) Se vive con la esperanza de llegar a ser un recuerdo.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 13


Je pense que nous nous habitons les uns les autres, mais pas habités. Parce que nous ne pourrions pas nous habiter les uns les autres, habités.
  • (es) Creo que nos habitamos unos a otros, pero no habitados. Porque no podríamos habitarnos unos a otros, habitados.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 15


Cent hommes, ensemble, sont la centième partie d'un homme.
  • (es) Cien hombres, juntos, son la centésima parte de un hombre.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 17


Ce qui nous avons payé avec notre vie n'est jamais cher.
  • (es) Lo pagado con nuestra vida nunca es caro.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 18


Tu penses que tu me tues. Je pense que tu te suicides.
  • (es) Tu crees que me matas. Yo creo que te suicidas.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 19


Quand ta douleur est un peu plus grande que ma douleur, je me sens un peu cruel.
  • (es) Cuando tu dolor es un poco mayor que mi dolor, me siento un poco cruel.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 21


Je me demande depuis mille ans: Que ferai-je maintenant? Et je n'ai pas encore besoin de me repondre.
  • (es) Desde hace mil años que me pregunto: ¿qué haré ahora? Y aún no necesito responderme.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 22


Nous y étions, la mer et moi. Et la mer était seule et moi, j'étais seul. Un de nous deux manquait.
  • (es) Eramos yo y el mar. Y el mar estaba solo y solo yo. Uno de los dos faltaba.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 22


La fleur que tu as dans tes mains est née aujourd'hui et elle a déjà ton âge.
  • (es) La flor que tienes en tus manos ha nacido hoy y ya tiene tu edad.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 25


Nous avons un monde pour chacun, mais nous n'avons pas un monde pour tous.
  • (es) Tenemos un mundo para cada uno, pero no tenemos un mundo para todos.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 27


La raison on la perd en raisonnant.
  • (es) La razón se pierde razonando.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 28


Plus pleurs que pleurer c'est voir pleurer.
  • (es) Más llanto que llorar es ver llorar.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 28


La douleur ne nous suit pas: elle marche en avant.
  • (es) El dolor no nos sigue: camina adelante.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 29


Personne ne comprend que tu as tout donné. Tu dois en donner plus.
  • (es) Nadie entiende que lo has dado todo. Debes dar más.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 35


Oui, suffrir, c'est nécessaire, même en vain, pour ne pas vivre en vain.
  • (es) Sí, es necesario padecer, aun en vano, para no vivir en vano.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 34


Moins on croit être, plus on supporte. Et si son ne croit rien être, on supporte tout.
  • (es) Cuanto menos uno cree ser, más soporta. Y si cree ser nada, soporta todo.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 34


Si je ne croyais pas que le Soleil me regarde un peu, je ne le regarderait pas.
  • (es) Si yo no creyera que el sol me mira un poco, no lo miraría.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 40


Quand je mourrai, je ne me verai pas mourir, pour la première fois.
  • (es) Cuando yo muera, no me veré morir, por la primera vez.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 41


Le profond, vu en profondité, est surface.
  • (es) Lo profundo, visto en profundidad, es superficie.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 53


Blesser le coeur, c'est le créer.
  • (es) Herir al corazón es crearlo
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 57


Si je ne m'oubliais jamais de rien de ce qu'il y a en toi, je ne trouverais jamais rien de nouveau en toi.
  • (es) Si nunca me olvidase de nada de lo que hay en ti, nunca hallaría nada nuevo en ti.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 67


Si je ne m'oubliais jamais de rien de ce qu'il y a en toi, je ne trouverais jamais rien de nouveau en toi.
  • (es) Si nunca me olvidase de nada de lo que hay en ti, nunca hallaría nada nuevo en ti.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 67
On peut sentir ce qui est parfois, pas ce qui est toujours.
  • (es) Uno siempre puede sentir lo que es a veces, no lo que siempre es.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 128


Quand je ne serai plus rien, est-ce que je ne serai plus rien? Que je voudrais n'être plus rien quand je serai plus rien!
  • (es) Cuando no sea más nada, ¿no seré más nada?¡Cómo quisiera no ser más nada cuando no sea más nada!.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 129


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