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Ce qu’on appelle vu. Faut-il vous le rebattre<br /> |
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Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre ? <br /> |
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Version du 13 septembre 2008 à 14:30
Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, est un auteur et un acteur français de théâtre du XVIIe siècle, baptisé le 15 janvier 1622 (date de naissance indéterminée) et mort le 17 février 1673.
L'Étourdi ou les Contretemps, 1653
Anselme :
Les dettes aujourd'hui, quelque soin qu'on emploie
sont comme les enfants, que l'on conçoit en joie,
Et dont avec peine on fait l'accouchement.
L'argent dans une bourse entre agréablement ;
Mais le terme venu que nous devons le rendre,
C'est lors que les douleurs commencent à nous prendre.
- « L'Étourdi » (1653), dans Œuvres, Molière, éd. Hachette, 1876, t. 1, acte I, scène V, p. 119 (texte intégral sur Wikisource)
Le Dépit amoureux, 1656
Mascarille : On ne meurt qu'une fois, et c'est pour si longtemps !…
- « Le Dépit amoureux », dans Œuvres complètes, Molière, éd. F. Didot, 1856, acte V, scène IV, p. 82 (voir la fiche de référence de l'œuvre) (texte intégral sur Wikisource)
Les Précieuses ridicules, 1659
Le marquis de Mascarille à Magdelon et Cathos : Les gens de qualité savent tout sans avoir jamais rien appris.
- Les Précieuses ridicules (18 novembre 1659), Molière, éd. Hachette, coll. « Classiques Hachette », 1994 (ISBN 2-01-020527-8), scène 9, p. 35 (texte intégral sur Wikisource)
L'École des maris, 1661
Il nous faut en riant instruire la jeunesse.
- « L’École des maris », dans Œuvres complètes, Molière, éd. F. Didot, 1856, acte I, scène II, p. 138 (voir la fiche de référence de l'œuvre) (texte intégral sur Wikisource)
La Critique de l'école des femmes, 1663
Uranie à Dorante : La tragédie, sans doute, est quelque chose de beau quand elle est bien touchée ; mais la comédie a ses charmes, et je tiens que l'une n'est pas moins difficile à faire que l'autre.
- « La Critique de l'École des femmes » (1663), dans Œuvres, Molière, éd. Hachette, 1876, t. 3, scène VI, p. 351 (texte intégral sur Wikisource)
Le Tartuffe, 1664
Tartuffe à Dorine : Couvrez ce sein que je ne saurais voir :
Par de pareils objets les âmes sont blessées,
Et cela fait venir de coupables pensées.
Par de pareils objets les âmes sont blessées,
Et cela fait venir de coupables pensées.
- Le Tartuffe (12 mai 1664), Molière, éd. Hachette Éducation, coll. « Classiques Hachette », 2006 (ISBN 2-01-017222-1), acte III, scène 2, p. 81, vers 861-863
Tartuffe à Elmire : Ah ! pour être dévot, je n'en suis pas moins homme ;
- Le Tartuffe (12 mai 1664), Molière, éd. Hachette Éducation, coll. « Classiques Hachette », 2006 (ISBN 2-01-017222-1), acte III, scène 3, p. 86, vers 966
Orgon à Mme Pernelle :
Je l’ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu,
Ce qu’on appelle vu. Faut-il vous le rebattre
- Le Tartuffe (12 mai 1664), Molière, éd. Hachette Éducation, coll. « Classiques Hachette », 2006 (ISBN 2-01-017222-1), acte V, scène 3, p. ??, vers 1676-1678
Le Misanthrope, 1666
Alceste à Philinte : Je veux qu'on soit sincère, et qu'en homme d'honneur
On ne lâche aucun mot qui ne parte du cœur.
On ne lâche aucun mot qui ne parte du cœur.
- Le Misanthrope, Molière, éd. Pocket, 2000 (ISBN 22660493135[à vérifier : ISBN invalide]), acte I, scène 1, p. 33, vers 35-36 (texte intégral sur Wikisource)
Alceste : […] On ne voit pas les cœurs.
- « Le Misanthrope », dans Œuvres complètes, Molière, éd. F. Didot, 1856, acte III, scène VII, p. 320 (voir la fiche de référence de l'œuvre) (texte intégral sur Wikisource)
Amphitryon, 1668
Sosie :
La faiblesse humaine est d'avoir
Des curiosités d'apprendre
Ce qu'on ne voudrait pas savoir.
- « Amphitryon », dans Œuvres complètes, Molière, éd. F. Didot, 1856, acte II, scène III, p. 423 (voir la fiche de référence de l'œuvre) (texte intégral sur Wikisource)
L'Avare ou l'École du mensonge, 1668
Il faut manger pour vivre et non pas vivre pour manger.
- « L'Avare », dans Œuvres complètes, Molière, éd. F. Didot, 1856, acte III, scène V, p. 454 (voir la fiche de référence de l'œuvre) (texte intégral sur Wikisource)
Les Femmes savantes, 1672
Martine : […] Qui veut noyer son chien l'accuse de la rage.
- « Les Femmes savantes », dans Œuvres complètes, Molière, éd. F. Didot, 1856, acte III, scène V, p. 656 (voir la fiche de référence de l'œuvre) (texte intégral sur Wikisource)
Philaminte : La grammaire qui sait régenter jusqu'aux rois,
- Les Femmes savantes (1672), Molière, éd. Livre de poche, coll. « Livre de poche », 1986 (ISBN 2-253-03874-1), acte II, scène 6, p. 63, vers 465 (texte intégral sur Wikisource)
Clitandre : [Qu']un sot savant est sot plus qu'un sot ignorant.
- Les Femmes savantes (1672), Molière, éd. Livre de poche, coll. « Livre de poche », 1986 (ISBN 2-253-03874-1), acte IV, scène 3, p. 121, vers 1296 (texte intégral sur Wikisource)
Le notaire : Deux époux !
C'est trop pour la coutume.
C'est trop pour la coutume.
- Les Femmes savantes (1672), Molière, éd. Livre de poche, coll. « Livre de poche », 1986 (ISBN 2-253-03874-1), acte V, scène 3, p. 140, vers 1623-1624 (texte intégral sur Wikisource)
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