« Si le grain ne meurt » : différence entre les versions

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|[...] toute chose appartient à qui sait en jouir.
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{{citation|citation=Nos actes les plus sincères sont aussi les moins calculés; l'explication qu'on en cherche après coup reste vaine.
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Version du 21 mars 2008 à 21:50

Si le grain ne meurt est l'autobiographie de l'écrivain français André Gide. Publié en 1924, ce récit recouvre la vie de Gide depuis sa première enfance à Paris jusqu'à ses fiançailles avec sa cousine Madeleine Rondeaux (appelée ici Emmanuèle) en 1895.

Citations

Première partie

[...] toute chose appartient à qui sait en jouir.


Ce que j'aime le moins dans l'ami, d'ordinaire, c'est l'indulgence ; Albert n'était pas indulgent.
  • À propos de son cousin Albert Démarest.


Le succès me valut la considération des autres et m'assura la paix pour longtemps. Du coup, je me persuadai qu'il est bien des choses qui ne paraissent impossibles que tant qu'on ne les a pas tentées.
  • À 11 ans environ (1880), lorsque, à bout de patience, Gide bat un « grand sacré rouquin au front bas » dans la cour de l'école.


Deuxième partie

Nos actes les plus sincères sont aussi les moins calculés; l'explication qu'on en cherche après coup reste vaine.
  • Si le grain ne meurt (1925), André Gide, éd. Folio, 1972, partie II, chap. 2, p. 368