« Si le grain ne meurt » : différence entre les versions
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Version du 21 mars 2008 à 21:50
Si le grain ne meurt est l'autobiographie de l'écrivain français André Gide. Publié en 1924, ce récit recouvre la vie de Gide depuis sa première enfance à Paris jusqu'à ses fiançailles avec sa cousine Madeleine Rondeaux (appelée ici Emmanuèle) en 1895.
Citations
Première partie
[...] toute chose appartient à qui sait en jouir.
- Si le grain ne meurt, André Gide, éd. Gallimard, 1997 (ISBN 2-07-036875-0), p. 69 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Ce que j'aime le moins dans l'ami, d'ordinaire, c'est l'indulgence ; Albert n'était pas indulgent.
- À propos de son cousin Albert Démarest.
- Si le grain ne meurt, André Gide, éd. Gallimard, 1997 (ISBN 2-07-036875-0), partie I, p. 79 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Le succès me valut la considération des autres et m'assura la paix pour longtemps. Du coup, je me persuadai qu'il est bien des choses qui ne paraissent impossibles que tant qu'on ne les a pas tentées.
- À 11 ans environ (1880), lorsque, à bout de patience, Gide bat un « grand sacré rouquin au front bas » dans la cour de l'école.
- Si le grain ne meurt, André Gide, éd. Gallimard, 1997 (ISBN 2-07-036875-0), partie I, p. 90 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Deuxième partie
Nos actes les plus sincères sont aussi les moins calculés; l'explication qu'on en cherche après coup reste vaine.
- Si le grain ne meurt (1925), André Gide, éd. Folio, 1972, partie II, chap. 2, p. 368