« Paul Éluard » : différence entre les versions
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'''[[w:Paul Éluard|Paul Éluard]]''' (1895 — 1952) (de son vrai nom '''Eugène Emile Paul Grindel''') est un [[:Catégorie:Poète|poète]] [[:Catégorie:Personnalité française|français]]. Il choisira, à l’adolescence, le nom de Paul Éluard, hérité de sa grand-mère, Félicie. Il adhéra au [[:Catégorie:Dadaïsme|dadaïsme]] et fut l'un des piliers du [[:Catégorie:Surréalisme|surréalisme]] en ouvrant la voie à une action artistique engagée. |
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== Capitale de la douleur == |
== ''Capitale de la douleur'', 1926 == |
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{{citation|Le poète est celui qui inspire bien plus que celui qui est inspiré.}} |
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|titre=Ralentir travaux |
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|auteur=Paul Éluard, André Breton, René Char |
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|éditeur=Corti |
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|année=1968 |
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|page=13 |
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|année d'origine=1930 |
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Version du 1 septembre 2007 à 20:50
Paul Éluard (1895 — 1952) (de son vrai nom Eugène Emile Paul Grindel) est un poète français. Il choisira, à l’adolescence, le nom de Paul Éluard, hérité de sa grand-mère, Félicie. Il adhéra au dadaïsme et fut l'un des piliers du surréalisme en ouvrant la voie à une action artistique engagée.
Capitale de la douleur, 1926
La courbe de tes yeux fait le tour de mon cœur
- Capitale de la douleur (1926), Paul Éluard, éd. Gallimard, coll. « Poésie/Gallimard », 1997, p. 139
Je te l'ai dit pour les nuages
Je te l'ai dit pour l'arbre de la mer
- Capitale de la douleur (1926), Paul Éluard, éd. Gallimard, coll. « Poésie/Gallimard », 1997, p. 150
La terre est bleue comme une orange
Jamais une erreur les mots ne mentent pas
- Capitale de la douleur (1926), Paul Éluard, éd. Gallimard, coll. « Poésie/Gallimard », 1997, p. 153
Ralentir travaux, 1930 (avec André Breton et René Char)
Le poète est celui qui inspire bien plus que celui qui est inspiré.
- Ralentir travaux (1930), Paul Éluard, André Breton, René Char, éd. Corti, 1968, préface, p. 13
La Rose publique, 1934
Boire
Un grand bol de sommeil noir
Jusqu'à la dernière goutte
- La Rose publique (1935), Paul Éluard, éd. Gallimard, coll. « Poésie/Gallimard », 1967, p. 142
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