« Julien Offray de La Mettrie » : différence entre les versions

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'''[[w:Julien Offray de La Mettrie|Julien Jean Offray de La Mettrie]]''', né à Saint-Malo le {{date|12|décembre|1709}} et décédé le {{date|11|novembre|1751}} à Potsdam, est un médecin et [[Philosophie|philosophe]] [[Matérialisme|matérialiste]] français.
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== Citations ==
Heureux qui a du goût pour l’étude! Plus heureux qui réussit à délivrer par elle son esprit de ses illusions et son coeur de sa vanité, but désirable où vous avez été conduit dans un âge encore tendre par les mains de la sagesse, tandis que tant de pédants, après un demi-siècle de veilles et de travaux, plus courbés sous le faix des préjugés que sous celui du temps, semblent avoir tout appris, excepté à penser.


{{citation|Heureux qui a du goût pour l’étude ! Plus heureux qui réussit à délivrer par elle son esprit de ses illusions et son cœur de sa vanité ; but désirable où vous avez été conduit dans un âge encore tendre par les mains de la sagesse ; tandis que tant de pédants, après un demi-siècle de veilles et de travaux, plus courbés sous le faix des préjugés que sous celui du temps, semblent avoir tout appris, excepté à penser.}}
introduction à l'Homme-Machine
{{Réf Livre|titre=L'Homme-machine
|auteur=Julien Offray de La Mettrie
|section-À Monsieur Haller
|éditeur=Meiner Verlag
|année=1990
|ISBN=3787311777
|page=18}}

{{DEFAULTSORT:La Mettrie, Julien Jean Offray de}}
[[Catégorie:Écrivain]]
[[Catégorie:Philosophe]]
[[Catégorie:Médecin]]
[[Catégorie:Homme]]
[[Catégorie:Personnalité française]]
[[Catégorie:Naissance en 1709]]
[[Catégorie:Décès en 1751]]

Version du 24 août 2007 à 23:44

Julien Jean Offray de La Mettrie, né à Saint-Malo le 12 décembre 1709 et décédé le 11 novembre 1751 à Potsdam, est un médecin et philosophe matérialiste français.

Citations

Heureux qui a du goût pour l’étude ! Plus heureux qui réussit à délivrer par elle son esprit de ses illusions et son cœur de sa vanité ; but désirable où vous avez été conduit dans un âge encore tendre par les mains de la sagesse ; tandis que tant de pédants, après un demi-siècle de veilles et de travaux, plus courbés sous le faix des préjugés que sous celui du temps, semblent avoir tout appris, excepté à penser.
  • L'Homme-machine, Julien Offray de La Mettrie, éd. Meiner Verlag, 1990  (ISBN 3787311777), p. 18