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Version du 18 juin 2007 à 14:30

Daniel Pennac, de son vrai nom Daniel Pennacchioni, est un écrivain français né à Casablanca, au Maroc en 1944.

Au bonheur des ogres (1985)

Il existe une fiche de références pour cette œuvre :
Au bonheur des ogres.
Ce que je vois dans les yeux de la cliente, maintenant, ne me surprend pas. Je l'y vois, elle. Il a suffi que je me mette à pleurer pour qu'elle prenne ma place. Compassion. [...] Machine arrière toute. Elle retire sa plainte.


La Fée carabine (1987)

Il existe une fiche de références pour cette œuvre :
La Fée carabine.
   On croit qu'on emmène son chien pisser midi et soir. Grave erreur : ce sont les chiens qui nous invitent à la méditation.


C'est comme ça, la vie : si vous rencontrez un être humain dans la foule, suivez-le,... suivez-le.


La Petite Marchande de prose (1989)

Partie I : Le tablier du bouc

La patience du consolateur tient à ce qu'il a ses propres embêtements.


Julius le Chien restait assis devant la fenêtre à regarder passer la Seine avec une obstination de peintre japonais. Les meubles avaient valsé autour de lui, son effigie de cristal s'était payé Talleyrand, mais Julius le Chien s'en tapait ; gueule tordue et langue pendante, il regardait passer la Seine, ses péniches, ses cageots, ses godasses, ses amours...


Vous avez un vice rare : vous compatissez.


Partie II : Clara se marie

   – Toi, je t'aimerai toujours, dis-je
   Elle se retourne contre le mur, et elle dit seulement:
   – Contente-toi de m'aimer tous les jours.


   – Vous voulez dire que vos prisonniers sont en train de construire leurs propres cellules ? s'est exclamée Julie.
   – N'est-ce pas ce que nous faisons tous ?


Le pire, dans le pire, c'est l'attente du pire


Partie III : Pour consoler Clara

Être père, c'est devenir manchot.


En matière de gloire, la matraque c'est la prime de l'amour.


Partie V : Le prix du fil

Le fait est que, réduits à rien, les morts nous semblent capables de tout.


Partie VI : La mort est un processus rectiligne

C'est que, vois-tu, cette fois, je suis bel et bien occupé à mourrir. Je sais, dit comme ça, à la première personne du singulier, c'est à n'y pas croire, et pourtant, à y bien réfléchir, c'est toujours à la première personne du singulier qu'on meurt pour de bon. Et c'est assez inacceptable, il faut bien le reconnaître.


Et qu'est-ce qu'un procès gagné, si ce n'est une vérité travestie ? Et un procès perdu, sinon le triomphe du mensonge ?


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