« Candide, ou l'Optimisme » : différence entre les versions
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== Citations == |
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{{citation|Le bon Pangloss m’avait souvent prouvé que les biens de la terre sont communs à tous les hommes, que chacun y a un droit.}} S168 |
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{{Nous allons dans un autre univers.}} 169 |
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{{[…] loi de la guerre.}} 176 |
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{{Quand on n’a pas son compte dans un monde, on le trouve dans un autre}} 180 |
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{{Le pays où toute va bien : car il faut absolument qu’il y en ait un de cette espèce.}} 192 |
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{{Il est certain qu’il faut voyager}} 194 |
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{{Comme les richesse de ce monde sont perissables ; il n’y a rien de solide que la vertu et le bonheur}} 198 |
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{{Ce prix que vous mangez du sucre en Europe}} 198 |
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{{Du mal moral et du mal physique}} 203 |
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{{Mais à quelle fin ce monde a-t-il donc été formé ? […] pour nous faire enrager}} |
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{{Leibniz ne pouvant pas avoir tort, et l’harmonie préétablie étant d’ailleurs la plus belle chose du monde, aussi bien que le plein et la matière subtile.}} 237 |
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{{L’homme était né pour vivre dans les convulsions de l’inquiétude, ou dans la léthargie de l’ennui.}} 240 |
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{{Ceux qui se mêlent des affaires publiques périssent quelquefois misérablement}} 241 |
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{{[…] le travail éloigne de nous trois grands maux, l’ennui, le vice, et le besoin.}} 242 |
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{{L’homme n’est pas né pour le repos.}} 242 |
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{{[…] chacun se mit á exercer ses talents.}} 242 |
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{{citation|Rien n'était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées. Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons formaient une harmonie telle qu'il n'y en eut jamais en enfer.}} |
{{citation|Rien n'était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées. Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons formaient une harmonie telle qu'il n'y en eut jamais en enfer.}} |
Version du 15 février 2007 à 19:13
Candide, ou l'optimisme, plus communément appelé Candide est un conte philosophique écrit par Voltaire, publié en 1759.
Citations
S168
Modèle:Nous allons dans un autre univers. 169
{{[…] loi de la guerre.}} 176
Modèle:Quand on n’a pas son compte dans un monde, on le trouve dans un autre 180
Modèle:Le pays où toute va bien : car il faut absolument qu’il y en ait un de cette espèce. 192
Modèle:Il est certain qu’il faut voyager 194
Modèle:Ce prix que vous mangez du sucre en Europe 198
Modèle:Du mal moral et du mal physique 203
{{Mais à quelle fin ce monde a-t-il donc été formé ? […] pour nous faire enrager}}
Modèle:Ceux qui se mêlent des affaires publiques périssent quelquefois misérablement 241
{{[…] le travail éloigne de nous trois grands maux, l’ennui, le vice, et le besoin.}} 242
Modèle:L’homme n’est pas né pour le repos. 242
{{[…] chacun se mit á exercer ses talents.}} 242
- Candide ou l'Optimisme (1759), Voltaire, éd. Larousse, coll. « Petits classiques », 2000 (ISBN 2-03-588121-8), chap. 3, p. 42 (texte intégral sur Wikisource)
- La citation complète est : « Vous savez que ces deux nations sont en guerre pour quelques arpents de neige vers le Canada, et qu'elles dépensent pour cette belle guerre beaucoup plus que tout le Canada ne vaut. » Parce qu'elle exprime la vision caricaturale qui avait cours en certains milieux de la France métropolitaine de l'époque, cette expression s'est intégrée à la culture populaire canadienne et elle est régulièrement citée par les Canadiens. (voir l'article sur Wikipédia)
- Candide, ou l'Optimisme (1759), Voltaire, éd. de la Sirène, 1913, p. 181 (texte intégral sur Wikisource)
- Candide, ou l'Optimisme (1759), Voltaire, éd. Pocket, 2004, chap. 30, p. 154 (texte intégral sur Wikisource)
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