« Chien » : différence entre les versions
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== Cinéma == |
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=== Jean Aurenche/Bertrand Tavernier, ''Coup de torchon'', 1981 === |
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{{citation|{{Personnage|Cordier}} : Tu sais pourquoi les chiens s'reniflent les fesses ? Et bien figure-toi qu'à l'époque où la Terre était gouvernée par les chiens, ils avaient décidé de tenir une espèce de congrès pour faire voter des lois nouvelles. alors le chien qui présidait l'assemblée leur dit : « écoutez, vu qu'on va rester plusieurs jours enfermés ici, je propose, par mesure d'hygiène, qu'on laisse nos trous d'balle au vestiaire. » Tous les chiens approuvent, et hop ! les v'la qui s'dé-trou-d'ballisent. Mais à peine la séance était commencée, shuit ! hop, y'a une tempête qui se lève une véritable tornade et shuit ! tous les trous d'balle se sont mélangés. Et y'a pas un chien qu'est foutu d'reconnaître le sien. Voila, depuis c'temps là, ils s'reniflent toujours les fesses. Puis y'a des chances que ça dure jusqu'à la fin du monde. |
{{citation|{{Personnage|Cordier}} : Tu sais pourquoi les chiens s'reniflent les fesses ? Et bien figure-toi qu'à l'époque où la Terre était gouvernée par les chiens, ils avaient décidé de tenir une espèce de congrès pour faire voter des lois nouvelles. alors le chien qui présidait l'assemblée leur dit : « écoutez, vu qu'on va rester plusieurs jours enfermés ici, je propose, par mesure d'hygiène, qu'on laisse nos trous d'balle au vestiaire. » Tous les chiens approuvent, et hop ! les v'la qui s'dé-trou-d'ballisent. Mais à peine la séance était commencée, shuit ! hop, y'a une tempête qui se lève une véritable tornade et shuit ! tous les trous d'balle se sont mélangés. Et y'a pas un chien qu'est foutu d'reconnaître le sien. Voila, depuis c'temps là, ils s'reniflent toujours les fesses. Puis y'a des chances que ça dure jusqu'à la fin du monde.il dise suce moi la poche |
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{{Réf Film|titre=Coup de torchon|auteur=Jean Aurenche et Bertrand Tavernier|date=1981|acteur=Philippe Noiret}} |
{{Réf Film|titre=Coup de torchon|auteur=Jean Aurenche et Bertrand Tavernier|date=1981|acteur=Philippe Noiret}} |
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Version du 23 janvier 2020 à 19:00
Le Chien (Canis lupus familiaris) est un mammifère domestique de la famille des canidés, proche du loup et du renard.
Cinéma
Jean Aurenche/Bertrand Tavernier, Coup de torchon, 1981
{{citation|Cordier : Tu sais pourquoi les chiens s'reniflent les fesses ? Et bien figure-toi qu'à l'époque où la Terre était gouvernée par les chiens, ils avaient décidé de tenir une espèce de congrès pour faire voter des lois nouvelles. alors le chien qui présidait l'assemblée leur dit : « écoutez, vu qu'on va rester plusieurs jours enfermés ici, je propose, par mesure d'hygiène, qu'on laisse nos trous d'balle au vestiaire. » Tous les chiens approuvent, et hop ! les v'la qui s'dé-trou-d'ballisent. Mais à peine la séance était commencée, shuit ! hop, y'a une tempête qui se lève une véritable tornade et shuit ! tous les trous d'balle se sont mélangés. Et y'a pas un chien qu'est foutu d'reconnaître le sien. Voila, depuis c'temps là, ils s'reniflent toujours les fesses. Puis y'a des chances que ça dure jusqu'à la fin du monde.il dise suce moi la poche
- Philippe Noiret, Coup de torchon (1981), écrit par Jean Aurenche et Bertrand Tavernier
Agnès Jaoui/Jean-Pierre Bacri, Un air de famille, 1996
Denis : C'est décoratif. C'est comme un tapis, mais vivant.
- Catherine Frot, Jean-Pierre Darroussin, Un air de famille (1996), écrit par Agnès Jaoui, Jean-Pierre Bacri
Littérature
Roman
Lewis Caroll, Alice au pays des merveilles, 1865
— Pour commencer, est-ce que tu m'accordes qu'un chien n'est pas fou ?
— Sans doute.
— Eh bien, vois-tu, un chien gronde lorsqu'il est en colère, et remue la queue lorsqu'il est content. Or, moi, je gronde quand je suis content, et je remue la queue quand je suis en colère. Donc, je suis fou.
— Moi j'appelle ça ronronner, pas gronder.
— Appelle ça comme tu voudras [...]. »
- Alice au pays des merveilles, Lewis Carroll (trad. Jacques Papy), éd. Gallimard, 1865 (ISBN 2-07-038916-2), p. 10 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Sa mère c'est une pute
Jean-Christophe Rufin, Le collier rouge, 2014
À une heure de l'après-midi, avec la chaleur qui écrasait la ville, les hurlements du chien étaient insupportables. Il était là depuis deux jours, sur la place Michelet, et depuis deux jours il aboyait. C'était un gros chien marron à poils courts, sans collier, avec une oreille déchirée. Il jappait méthodiquement, une fois toutes les trois secondes à peu près, d'une voix grave qui rendait fou.
- Incipit
Philosophie
Diogène Laërce, Vies, doctrines et sentences des philosophes illustres, IIIè s.
- (fr) Vies, doctrines et sentences des philosophes illustres Tome II (1965), Diogène Laërce, éd. GF Flammarion, 1965 (ISBN 2-08-070077-4), p. 29
- Citation choisie pour le 14 mars 2011.