« Clifford D. Simak » : différence entre les versions
Contenu supprimé Contenu ajouté
coquille |
File |
||
| Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
[[File:Clifford Simak WS 3112.jpg|thumb|right|]] |
|||
'''[[w:Clifford D. Simak|Clifford Donald Simak]]''' ({{Date|3|août|1904}} - {{Date|25|avril|1988}}) était un [[:catégorie:écrivain|écrivain]] [[:catégorie:personnalité américaine|américain]] de [[science-fiction]]. Fils de fermiers, ses origines modestes modèleront la plupart des personnages de ses [[:catégorie:roman|romans]]. Ses thèmes favoris sont la nature et les robots [[w:anthropomorphisme|anthropomorphiques]]. |
'''[[w:Clifford D. Simak|Clifford Donald Simak]]''' ({{Date|3|août|1904}} - {{Date|25|avril|1988}}) était un [[:catégorie:écrivain|écrivain]] [[:catégorie:personnalité américaine|américain]] de [[science-fiction]]. Fils de fermiers, ses origines modestes modèleront la plupart des personnages de ses [[:catégorie:roman|romans]]. Ses thèmes favoris sont la nature et les robots [[w:anthropomorphisme|anthropomorphiques]]. |
||
Dernière version du 3 août 2019 à 01:14
Clifford Donald Simak (3 août 1904 - 25 avril 1988) était un écrivain américain de science-fiction. Fils de fermiers, ses origines modestes modèleront la plupart des personnages de ses romans. Ses thèmes favoris sont la nature et les robots anthropomorphiques.
Citations de ses romans[modifier]
Demain les chiens (City), 1944[modifier]
La cité est un anachronisme.
Citation choisie pour le 31 janvier 2011.
Un chien a une personnalité. On la sent dans chaque chien que l'on rencontre. Il n'y en a pas deux qui soient semblables d'humeur et de tempérament. Et tous sont intelligents à des degrés divers. Il n'en faut pas davantage : une personnalité consciente et une certaine dose d'intelligence.
La préservation de la race, le progrès de la race, mais vous n'avez que ces mots-là à la bouche. Pourquoi vous en soucieriez-vous ?
- Demain les chiens (1944), Clifford Donald Simak (trad. Jacques Rosenthal), éd. J'ai Lu, 1989, p. 121
Le besoin de chaque être humain est de se sentir approuvé par ses semblables.
- Demain les chiens (1944), Clifford Donald Simak (trad. Jacques Rosenthal), éd. J'ai Lu, 1989, p. 122
Peut-être les cerveaux des créatures terrestres sont-ils naturellement lents et brouillons. Peut-être sommes-nous les demeurés de l'univers.
- Demain les chiens (1944), Clifford Donald Simak (trad. Jacques Rosenthal), éd. J'ai Lu, 1989, p. 145
Il y avait pour l'homme une route et une seule : celle de l'arc et de la flèche.
- Demain les chiens (1944), Clifford Donald Simak (trad. Jacques Rosenthal), éd. J'ai Lu, 1989, p. 262
Vous ne devez pas traîner le souvenir de l'Homme comme un boulet.
- Demain les chiens (1944), Clifford Donald Simak (trad. Jacques Rosenthal), éd. J'ai Lu, 1989, p. 290
Au carrefour des étoiles, 1963[modifier]
Que cherchez-vous à m'expliquer ? Que la population rétrograde du Wisconsin pratique la conspiration du silence ?
- Au carrefour des étoiles (1963), Clifford Donald Simak (trad. Michel Deutsch), éd. J'ai Lu, coll. « Science-fiction », 1994, p. 9-10
L'homme n'était pas seul. Pour peu qu'il s'engageât sur la bonne route, il ne serait plus jamais seul.
- Au carrefour des étoiles (1963), Clifford Donald Simak (trad. Michel Deutsch), éd. J'ai Lu, coll. « Science-fiction », 1994, p. 41
La galaxie était une tour de Babel.
- Au carrefour des étoiles (1963), Clifford Donald Simak (trad. Michel Deutsch), éd. J'ai Lu, coll. « Science-fiction », 1994, p. 45
Combien de guerres les Terriens pourront-ils encore supporter ?
- Au carrefour des étoiles (1963), Clifford Donald Simak (trad. Michel Deutsch), éd. J'ai Lu, coll. « Science-fiction », 1994, p. 76
La guerre était-elle une impulsion instinctive dont le commun des mortels était tout autant responsable que les politiciens et les soi-disant hommes d'État ?
- Au carrefour des étoiles (1963), Clifford Donald Simak (trad. Michel Deutsch), éd. J'ai Lu, coll. « Science-fiction », 1994, p. 184
L'Homme a peur. Il a toujours vécu dans la peur. Il a peur. Peur de lui-même.
- Au carrefour des étoiles (1963), Clifford Donald Simak (trad. Michel Deutsch), éd. J'ai Lu, coll. « Science-fiction », 1994, p. 211
- Citation choisie pour le 20 juillet 2011.
