« Joseph-Marie Lo Duca » : différence entre les versions

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Version du 26 juillet 2017 à 23:10

Joseph-Marie Lo Duca est un écrivain et un critique de cinéma franco-italien né le 18 novembre 1910 à Milan et mort le 6 août 2004 à Samois-sur-Seine, près de Fontainebleau, où il vécut les dernières années de sa vie. Il est l'un des fondateurs des Cahiers du cinéma.

Le Huitième Sceau, 1968

Sauf dans les arts, le génie n'a pas d'apparence visible.
  • Le Huitième Sceau, J.-M. Lo Duca, éd. Jean-Jacques Pauvert, 1968, p. 30


Le monde est et sera toujours un feu vivant, s'embrasant et s'éteignant.
  • Le Huitième Sceau, J.-M. Lo Duca, éd. Jean-Jacques Pauvert, 1968, p. 34


On se lasse de tout, excepté de comprendre.
  • Le Huitième Sceau, J.-M. Lo Duca, éd. Jean-Jacques Pauvert, 1968, p. 50


Le droit primordial de la nature est de survivre…
  • Le Huitième Sceau, J.-M. Lo Duca, éd. Jean-Jacques Pauvert, 1968, p. 189


La vocation des caresses est plus répandue que la vocation du bûcher.
  • Le Huitième Sceau, J.-M. Lo Duca, éd. Jean-Jacques Pauvert, 1968, p. 201


Nous sommes tous mortels, ce qui prouve au moins que notre mort ne consacre aucunement ce qu'il nous est arrivé de faire.
  • Le Huitième Sceau, J.-M. Lo Duca, éd. Jean-Jacques Pauvert, 1968, p. 249


L'envoûtement vient du temps brisé et non des merveilles qui se révèlent à nous.
  • Le Huitième Sceau, J.-M. Lo Duca, éd. Jean-Jacques Pauvert, 1968, p. 251


C'est en effet un détail essentiel : peu importe comment du rêve on est passé à la réalité. La réalité n'en existe pas moins.
  • Le Huitième Sceau, J.-M. Lo Duca, éd. Jean-Jacques Pauvert, 1968, p. 256