« Jean-Paul Sartre » : différence entre les versions
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{{citation|J'avais vu les romans d'aventures, je les avais convoités, réclamés, pouvait elle me les refuser ? […] À lui de choisir : ou je ne prophétisais point, ou l'on devait respecter mes goûts sans chercher à les comprendre. Père, Charles Schweitzer eût tout brûlé. Grand-père, il choisit l'indulgence navrée. Je n'en demandais pas plus et je continuai paisiblement ma double vie. Elle n'a jamais cessé : aujourd'hui encore, je lis plus volontiers les |
{{citation|J'avais vu les romans d'aventures, je les avais convoités, réclamés, pouvait elle me les refuser ? […] À lui de choisir : ou je ne prophétisais point, ou l'on devait respecter mes goûts sans chercher à les comprendre. Père, Charles Schweitzer eût tout brûlé. Grand-père, il choisit l'indulgence navrée. Je n'en demandais pas plus et je continuai paisiblement ma double vie. Elle n'a jamais cessé : aujourd'hui encore, je lis plus volontiers les « Série Noire » que Wittgenstein.}} |
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{{citation|Un jour, je découvris une inscription toute fraîche sur le mur de l'école, je m'approchai et je lus : « le père Barrault est un con. » Mon cœur battit à se rompre, la stupeur me cloua sur place, j'avais peur. « Con », ça ne pouvait être qu'un de ces « vilains mots » qui grouillaient dans les bas-fonds du vocabulaire et qu'un enfant bien élevé ne rencontre jamais; court et brutal, il avait l'horrible simplicité bébête élémentaires. C'était déjà trop de l'avoir lu : je m'interdis de le prononcer, fût-ce à voix basse. Ce cafard accroché à la muraille, je ne voulais pas qu'il me sautât dans la bouche pour se métamorphoser au fond de ma gorge en un claironnement noir. Si je faisais semblant de ne pas avoir remarqué, peut-être rentrerait-il dans un trou de mur. Mais, quand je détournais mon regard, c'était pour retrouver l'appellation infâme : « le père Barrault » qu'il épouvantait plus encore : le mot « con », après tout, je ne faisais qu'en augurer le sens ; mais je savais très bien qui on appelait « père untel » dans ma famille : les jardiniers, les facteurs, le père de la bonne, bref les vieux pauvres. [...] Il me semblait à la fois qu'un fou cruel raillait ma politesse, mon respect, mon zèle, le plaisir que j'avais chaque matin à ôter ma casquette en disant « bonjour, Monsieur l'instituteur » et que j'étais moi-même ce fou, que les vilains mots et les vilaines pensées pullulaient dans mon cœur. Qu'est-ce qui m'empêchait, par exemple, de crier plein gosier : « ce vieux sagouin pue comme un cochon. » Je murmurai : « le père Barrault pue » et tout se mit à tourner : je m'enfuis en pleurant. Dès le lendemain je retrouvai ma déférence pour M. Barrault, pour son col de celluloïd et son nœud à papillon.}} |
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{{citation|Mais, par la suite, dans le Dieu fashionable qu'on m'enseigna, je ne reconnus pas celui qu'attendait mon âme : il me fallait un Créateur, on me donnait un Grand Patron ; les deux n'étaient qu'un mais je l'ignorais ; je servais sans chaleur l'Idole pharisienne et la doctrine officielle me dégoûtait de chercher ma propre foi.[…] Une seule fois, j'eus le sentiment qu'Il existait. J'avais joué avec des allumettes et brûlé un petit tapis; j'étais en train de maquiller mon forfait quand soudain Dieu me vit, je sentis Son regard à l'intérieur de ma tête et sur mes mains ; je tournoyais dans la salle de bains, horriblement visible, une cible vivante. L'indignation me sauva : je me mis en fureur contre une indiscrétion si grossière, je blasphémai, je murmurai comme mon grand-père : |
{{citation|Mais, par la suite, dans le Dieu fashionable qu'on m'enseigna, je ne reconnus pas celui qu'attendait mon âme : il me fallait un Créateur, on me donnait un Grand Patron ; les deux n'étaient qu'un mais je l'ignorais ; je servais sans chaleur l'Idole pharisienne et la doctrine officielle me dégoûtait de chercher ma propre foi.[…] Une seule fois, j'eus le sentiment qu'Il existait. J'avais joué avec des allumettes et brûlé un petit tapis; j'étais en train de maquiller mon forfait quand soudain Dieu me vit, je sentis Son regard à l'intérieur de ma tête et sur mes mains ; je tournoyais dans la salle de bains, horriblement visible, une cible vivante. L'indignation me sauva : je me mis en fureur contre une indiscrétion si grossière, je blasphémai, je murmurai comme mon grand-père : « Sacré nom de Dieu de nom de Dieu. » Il ne me regarda plus jamais.[…]. Aujourd'hui, quand on me parle de Lui, je dis avec l'amusement sans regret d'un vieux beau qui rencontre une ancienne belle : « Il y a cinquante ans, sans ce malentendu, sans cette méprise, sans l'accident qui nous sépara, il aurait pu y avoir quelque chose entre nous ». Il n'y eut rien.}} |
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{{citation|En sa présence, j'avais autrefois demandé la permission de lire Madame Bovary et ma mère avais pris de sa voix trop musicale : |
{{citation|En sa présence, j'avais autrefois demandé la permission de lire Madame Bovary et ma mère avais pris de sa voix trop musicale : « Mais si mon petit chéri lit ce genre de livre à son âge, qu'est-ce qu'il fera quand il sera grand ? » - « Je les vivrai ! » Cette réplique avait connu le succès le plus franc et le plus durable.}} |
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Version du 8 juillet 2017 à 10:59
Jean-Paul Sartre (Paris, 21 juin 1905 — Paris, 15 avril 1980) est un philosophe et écrivain français (dramaturge et nouvelliste) ainsi que critique littéraire du XXe siècle. Il a partagé la vie et les idées de la philosophe Simone de Beauvoir.
La Nausée , 1938
- La Nausée, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1938 (ISBN 2-07-036805-X), p. 34 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- La Nausée, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1938 (ISBN 2-07-036805-X), p. 73 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- La Nausée, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1938, p. 145
- La Nausée, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1938 (ISBN 2-07-036805-X), p. 165 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- La Nausée, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1938 (ISBN 2-07-036805-X), p. 175 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- La Nausée, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1938 (ISBN 2-07-036805-X), p. 187 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- La Nausée, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1938 (ISBN 2-07-036805-X), p. 190 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- La Nausée, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1938 (ISBN 2-07-036805-X), p. 221 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- La Nausée, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1938 (ISBN 2-07-036805-X), p. 228 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- La Nausée, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1938 (ISBN 2-07-036805-X), p. 249 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Le Mur, 1939
- Le Mur, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1939, p. 27
L'Être et le Néant, 1943
- L'Être et le Néant (1943), Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, coll. « tel », 2006 (ISBN 2-07-029388-2), p. 479
- L'Être et le Néant, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1943, partie 3 (« Le Pourautrui »), chap. 1er (« L'existence d'autrui »), IV (« Le Regard »), p. 341
La République du silence, 1944
- Situations III, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1946, p. 11
Huis clos, 1944
- Huis clos, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 2000 (ISBN 2-07-036807-6), p. 90 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Huis clos, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 2000 (ISBN 2-07-036807-6), p. 90 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Citation choisie pour le 20 décembre 2016.
- Huis clos, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 2000 (ISBN 2-07-036807-6), p. 90 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Huis clos, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 2000 (ISBN 2-07-036807-6), p. 92 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
L'existentialisme est un humanisme, 1946
- L'existentialisme est un humanisme (1946), Jean-Paul Sartre, éd. Nagel, 1970, p. 17
- L'existentialisme est un humanisme (1946), Jean-Paul Sartre, éd. Nagel, 1970, p. 37
Les Mains sales, 1948
- Les Mains sales, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1948, p. 198
Le Diable et le Bon Dieu, 1951
- Gœtz s'adresse au père Heinrich qui vient de trahir sa ville.
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte I, scène IV, p. 57 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Gœtz s'adresse au père Heinrich qui lui affirme que tous les deux verront le Diable pendant la nuit l'un pour sa trahison l'autre pour son massacre.
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte I, scène IV, p. 59 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Gœtz : Et je l'approuve encore. Il est offensé et prêtre : deux bonnes raisons de pardonner. Mais moi, pourquoi pardonnerais-je ? Les habitants de Worms ne m'ont pas offensé. Non, non : je suis militaire, donc je tue. Je les tuerai conformément à mon office et l'Archevêque leur pardonnera, conformément au sien
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte I, scène III, p. 75 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Gœtz s'adresse à Catherine lui demandant s'il souffre à cause de l'archevêque qui vient de lui retirer ses terres.
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte I, scène IV, p. 80 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Gœtz : […] Alors réjouis-toi, je la prendrai.
Catherine : Mais pourquoi ?
Gœtz : Parce que c'est mal.
Catherine : Et pourquoi faire le Mal ?
Gœtz : Parce que le Bien est déjà fait.
Catherine : Qui l'a fait ?
Gœtz : Dieu le Père. Moi, j'invente.
- Gœtz parle de prendre la ville qu'il va prendre et dont il va massacrer les habitants.
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte I, scène IV, p. 81 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Nasty : Les hommes de Dieu détruisent ou construisent et toi tu conserves.
Gœtz : Moi ?
Nasty : Tu mets du désordre. Et le désordre est le meilleur serviteur de l'ordre établi. Tu as affaibli la chevalerie tout entière en trahissant Conrad et tu affaibliras la bourgeoisie en détruisant Worms. À qui cela profite-t-il ? Aux grands. Tu sers les grand, Gœtz, et tu les serviras quoi que tu fasses : toute destruction brouillonne, affaiblit les faibles, enrichit les riches, accroît la puissance des puissants.
- Le boulanger prophète, capturé par Gœtz qui lui affirme être l'homme de Dieu qui veut la destruction de la ville.
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte I, scène V, p. 93 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Nasty propose à Gœtz l'alliance des pauvres que refuse Gœtz qui lui demande ce qui se passera s'il refuse de devenir leur égal.
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte I, scène V, p. 96 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Gœtz répond à Nasty qui lui demande s'il sera toujours un « vacarme inutile » en faisant toujours le Mal pour le mal.
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte I, scène V, p. 97 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte I, scène VI, p. 108 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Gœtz explique à Nasty pourquoi il distribue ses terres à ses paysans.
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte II, scène V, p. 119 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Gœtz répond à Nasty qui tente de le convaincre d'être modeste, de ne pas vouloir faire le bien universel, pour être réellement bon.
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte II, scène V, p. 124 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Gœtz explique à Nasty pourquoi il est possible de faire le bien universel.
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte II, scène V, p. 125 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Gœtz explique à Nasty pourquoi le Bien est si complexe.
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte II, scène V, p. 125 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- À Heinrich qui lui demande pardon pour sa trahison.
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte II, scène IV, p. 147 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- À Heinrich qui se réjouit de voir des hommes à l'église.
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte II, scène I, p. 152 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- À Dieu, reconnaissant que c'est de sa faute que Catherine se meurt d'amour.
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte II, scène II, p. 153 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Dans l'église criant contre la mort d'une femme.
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte II, scène IV, p. 158 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Aux Villageois voulant chasser Catherine car ils la pensent damnée.
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte II, scène V, p. 168 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- À l'instructeur qui lui affirme que le village n'est pas impliqué dans les conflits alentours et qu'il s'en moque.
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte III, scène I, p. 180 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- À Hilda qui veut quitter le village, jalouse de l'amour des villageois pour Gœtz.
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte III, scène IV, p. 190 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- À Nasty qui souhaite que Gœtz, le meilleur capitaine de l'Allemagne, prenne le commandement de l'armée des pauvres qui est trop faible face au seigneur, et qu'il quitte son village idéal en paix.
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte III, scène V, p. 193 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Gœtz : Qui es-tu ?
Karl : Prophète comme toi.
Gœtz : Prophète de haine !
Karl : C'est le seul chemin qui mène à l'amour.
- Dialogue entre Karl et Gœtz, le premier voulant que l'armée des pauvres massacres les riches et le second qu'elle se disperse pour vivre dans le Christ, en refusant tout combat.
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte III, scène I, p. 202 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Réponse de Karl à Gœtz qui affirme aimer plus les pauvres, et qui en donne pour preuve, le don de ses terres qu'il fit.
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte III, scène I, p. 207 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Gœtz s'adressant à Dieu, chassé de l'armée des pauvres après le triomphe oratoire de Karl, et qui avoue avoir échoué face à la méchanceté des hommes.
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte III, scène II, p. 209 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Hilda s'adressant à Gœtz, qui lui demande pourquoi elle a voulu survivre étant assuré qu'elle le reverrait au Ciel.
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte III, scène III, p. 212 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Questions de méthode, 1957
- Critique de la Raison dialectique, précédé de Questions de méthode. Tome I. (1960), Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, coll. « Bibliothèque de Philosophie. », 1960 (ISBN 2-07-070493-9), partie Questions de méthode, p. 21
- Critique de la Raison dialectique, précédé de Questions de méthode. Tome I. (1960), Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, coll. « Bibliothèque de Philosophie. », 1960 (ISBN 2-07-070493-9), partie Questions de méthode, Conclusion, p. 130
Les Mots, 1964
- Les Mots (1964), Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, coll. « folio », 1972 (ISBN 2-07-036607-3), partie Lire, p. 24
- Les Mots (1964), Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, coll. « folio », 1972 (ISBN 2-07-036607-3), partie Lire, p. 28
- Les Mots (1964), Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, coll. « folio », 1972 (ISBN 2-07-036607-3), partie Lire, p. 31
- Les Mots (1964), Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, coll. « folio », 1972 (ISBN 2-07-036607-3), partie Lire, p. 54
- Les Mots (1964), Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, coll. « folio », 1972 (ISBN 2-07-036607-3), partie Lire, p. 60
- Les Mots (1964), Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, coll. « folio », 1972 (ISBN 2-07-036607-3), partie Lire, p. 62
- Les Mots (1964), Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, coll. « folio », 1972 (ISBN 2-07-036607-3), partie Lire, p. 70
- Les Mots (1964), Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, coll. « folio », 1972 (ISBN 2-07-036607-3), partie Lire, p. 78
- Les Mots (1964), Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, coll. « folio », 1972 (ISBN 2-07-036607-3), partie Lire, p. 81
- Citation choisie pour le 31 mars 2008.
- Citation choisie pour le 20 septembre 2011.
- Les Mots (1964), Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, coll. « folio », 1972 (ISBN 2-07-036607-3), partie Lire, p. 81-87
- Les Mots (1964), Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, coll. « folio », 1972 (ISBN 2-07-036607-3), partie Lire, p. 87
- Les Mots (1964), Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, coll. « folio », 1972 (ISBN 2-07-036607-3), partie Lire, p. 89
Citations sur Jean-Paul Sartre
- Dictionnaire égoïste de la littérature française, Charles Dantzig, éd. Grasset, 2005, p. 43