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m →[[Gustave de Molinari]], « [[s:De la production de la sécurité|De la production de la sécurité]] », 1849 : clean up, typos fixed: p. 282 → {{p.|282}} (2), 15 Février → 15 février (2), avec AWB |
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===[[Gustave de Molinari]], « [[s:De la production de la sécurité|De la production de la sécurité]] », 1849===
Partout, à l’origine des sociétés, on voit donc les races les plus fortes, les plus guerrières, s’attribuer le gouvernement exclusif des sociétés ; partout on voit ces races s’attribuer, dans certaines circonscriptions plus ou moins étendues, selon leur nombre et leur force, le monopole de la sécurité.<p>Et, ce monopole étant excessivement profitable par sa nature même, partout on voit aussi les races investies du monopole de la sécurité se livrer à des luttes acharnées, afin d’augmenter l’<s></s>''étendue de leur marché,'' le nombre de leurs consommateurs ''forcés,'' partant la quotité de leurs bénéfices.<p>La guerre était la conséquence nécessaire, inévitable de l’établissement du monopole de la sécurité.<p>Comme une autre conséquence inévitable, ce monopole devait engendrer tous les autres monopoles.
*[[s:De la production de la sécurité#VI.|§VI]] de « [[s:De la production de la sécurité|De la production de la sécurité]] », ''[[w:Journal des économistes|Journal des économistes]]'' 22, no. 95 (Paris: Chez Guillaumin et c<small><sup>e</sup></small>, 15
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Sous le régime de la libre concurrence, la guerre entre les producteurs de sécurité cesse totalement d’avoir sa raison d’être.
*[[s:De la production de la sécurité#X.|§X]] de « [[s:De la production de la sécurité|De la production de la sécurité]] », ''[[w:Journal des économistes|Journal des économistes]]'' 22, no. 95 (Paris: Chez Guillaumin et c<small><sup>e</sup></small>, 15
== Enseignement ==
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