« Jean-Paul Sartre » : différence entre les versions
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{{citation|J'existe parce que je pense…}} |
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|titre=La Nausée |
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|citation=C'est ça donc la Nausée: cette aveuglante |
|citation=C'est ça donc la Nausée : cette aveuglante évidence ? Me suis-je creusé la tête ! En ai-je écrit ! Maintenant je sais : j'existe — le monde existe — et je sais que le monde existe. C'est tout. Mais ça m'est égal. C'est étrange que tout me soit aussi égal : ça m'effraie. |
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|citation=Du même coup, j'ai appris qu'on perd toujours. |
|citation=Du même coup, j'ai appris qu'on perd toujours. Il n'y a que les Salauds qui croient gagner. |
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{{citation|On meurt toujours trop tôt |
{{citation|On meurt toujours trop tôt — ou trop tard. Et cependant la vie est là, terminée […]. Tu n'es rien d'autre que ta vie.}} |
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|référence=Huis clos/Gallimard-Folio |
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{{citation|Alors, c'est ça l'enfer. Je n'aurais jamais |
{{citation|Alors, c'est ça l'enfer. Je n'aurais jamais cru… Vous vous rappelez : le soufre, le bûcher, le gril… Ah ! quelle plaisanterie. Pas besoin de gril : l'enfer, c'est les Autres.}} |
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|référence=Huis clos/Gallimard-Folio |
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{{Fiche de références|Le Diable et le Bon Dieu}} |
{{Fiche de références|Le Diable et le Bon Dieu}} |
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{{Personnage|Gœtz}} : |
{{Personnage|Gœtz}} : […] Salut petit frère ! Salut en bâtardise ! Car toi aussi tu es un bâtard ! Pour t'engendrer, le clergé a couché avec Misère ; quelle maussade volupté ! |
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|précisions=Gœtz s'adresse au père Heinrich qui vient de trahir sa ville.}} |
|précisions=Gœtz s'adresse au père Heinrich qui vient de trahir sa ville.}} |
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{{Personnage|Gœtz}} : [ |
{{Personnage|Gœtz}} : […] Alors réjouis-toi, je la prendrai. |
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{{Personnage|Catherine}} : Mais pourquoi ? |
{{Personnage|Catherine}} : Mais pourquoi ? |
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{{Personnage|Gœtz}} : Parce que c'est mal. |
{{Personnage|Gœtz}} : Parce que c'est mal. |
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{{Personnage|Catherine}} : Et pourquoi faire le Mal ? |
{{Personnage|Catherine}} : Et pourquoi faire le Mal ? |
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{{Personnage|Gœtz}} : Parce que le Bien est déjà fait. |
{{Personnage|Gœtz}} : Parce que le Bien est déjà fait. |
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{{Personnage|Catherine}} : Qui l'a fait ? |
{{Personnage|Catherine}} : Qui l'a fait ? |
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{{Personnage|Gœtz}} : Dieu le Père. Moi, j'invente. |
{{Personnage|Gœtz}} : Dieu le Père. Moi, j'invente.</poem> |
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|précisions=Gœtz parle de prendre la ville qu'il va prendre et dont il va massacrer les habitants}} |
|précisions=Gœtz parle de prendre la ville qu'il va prendre et dont il va massacrer les habitants}} |
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|scène=IV}} |
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{{citation|citation= |
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{{Personnage|Nasty}} : Les hommes de Dieu détruisent ou construisent et toi tu conserves. |
{{Personnage|Nasty}} : Les hommes de Dieu détruisent ou construisent et toi tu conserves. |
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{{Personnage|Gœtz}} : Moi ? |
{{Personnage|Gœtz}} : Moi ? |
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{{Personnage|Nasty}} : Tu mets du désordre. Et le désordre est le meilleur serviteur de l'ordre établi. Tu as affaibli la chevalerie tout entière en trahissant Conrad et tu affaibliras la bourgeoisie en détruisant Worms. À qui cela profite-t-il ? Aux grands. Tu sers les grand, Gœtz, et tu les serviras quoi que tu fasses : toute destruction brouillonne, affaiblit les faibles, enrichit les riches, accroît la puissance des puissants. |
{{Personnage|Nasty}} : Tu mets du désordre. Et le désordre est le meilleur serviteur de l'ordre établi. Tu as affaibli la chevalerie tout entière en trahissant Conrad et tu affaibliras la bourgeoisie en détruisant Worms. À qui cela profite-t-il ? Aux grands. Tu sers les grand, Gœtz, et tu les serviras quoi que tu fasses : toute destruction brouillonne, affaiblit les faibles, enrichit les riches, accroît la puissance des puissants.</poem> |
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|précisions=le boulanger prophète, capturé par Gœtz qui lui affirme être l'homme de Dieu qui veut la destruction de la ville}} |
|précisions=le boulanger prophète, capturé par Gœtz qui lui affirme être l'homme de Dieu qui veut la destruction de la ville}} |
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{{Personnage|Heinrich}} : [ |
{{Personnage|Heinrich}} : […] Le monde est iniquité ; si tu l'acceptes tu es complice, si tu le changes, tu es bourreau.}} |
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|référence=Le Diable et le Bon Dieu/Gallimard-Folio |
|référence=Le Diable et le Bon Dieu/Gallimard-Folio |
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{{Personnage|Gœtz}} : [ |
{{Personnage|Gœtz}} : […] Le Bien, c'est l'amour, bon : mais le fait est que les hommes ne s'aiment pas ; et qu'est-ce qui les en empêche ? L'inégalité des conditions, la servitude et la misère. Il faut donc les supprimer. |
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|précisions=Gœtz explique à Nasty pourquoi il distribue ses terres à ses paysans}} |
|précisions=Gœtz explique à Nasty pourquoi il distribue ses terres à ses paysans}} |
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{{Personnage|Gœtz}} : [ |
{{Personnage|Gœtz}} : […] Heinrich disait « il a suffit que deux hommes se haïssent pour que la haine, de proche en proche, gagne tout l'univers. » Et moi, je dis, en vérité il suffit qu'un homme aime tous les hommes d'un amour sans partage pour que cet amour s'étende de proche en proche à toute l'humanité. |
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|précisions=Gœtz explique à Nasty pourquoi il est possible de faire le bien universel}} |
|précisions=Gœtz explique à Nasty pourquoi il est possible de faire le bien universel}} |
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{{Personnage|Gœtz}} [ |
{{Personnage|Gœtz}} […] Je sais que le Bien est plus pénible que le Mal. Le Mal ce n'était que moi, le Bien c'est tout. |
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|précisions=Gœtz explique à Nasty pourquoi le Bien est si complexe}} |
|précisions=Gœtz explique à Nasty pourquoi le Bien est si complexe}} |
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{{Personnage|Gœtz}} : [ |
{{Personnage|Gœtz}} : […] Par ma faute… Rien, je sonne creux. Tu veux de la honte, je n'en ai pas. C'est l'orgueil qui suinte de toutes mes plaies : depuis trente-cinq ans je crève d'orgueil, c'est ma façon de mourir de honte. Il faudra changer ça. ''(Brusquement.)'' Ôte-moi la pensée ! Ôte-la ! Fais que je m'oublie ! Change moi en insecte ! Ainsi soit-il ! |
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|précisions=À Dieu, reconnaissant que c'est de sa faute que Catherine se meurt d'amour}} |
|précisions=À Dieu, reconnaissant que c'est de sa faute que Catherine se meurt d'amour}} |
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{{Personnage|Hilda}} : [ |
{{Personnage|Hilda}} : […] Pour moi, je ne sais pas ce que tu me réserves, je ne la connaissais guère mais si tu la condamnes, je ne veux pas de ton ciel. Crois-tu que mille ans de paradis me ferait oublier la terreur de ses yeux ? Je n'ai que mépris pour les élus imbéciles qui ont le cœur de se réjouir quand il y a des damnés en enfer et des pauvres sur la terre ; moi je suis du parti des hommes et je ne le quitterai pas ; tu peux me faire mourir sans prêtre et me convoquer par surprise à ton tribunal : nous verrons qui jugera l'autre. |
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|précisions=Dans l'église criant contre la mort d'une femme}} |
|précisions=Dans l'église criant contre la mort d'une femme}} |
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{{Personnage|Hilda}} : [ |
{{Personnage|Hilda}} : […] Vous aussi, le Diable vous guette. Qui donc aura pitié de vous si vous n'avez pas pitié d'elle ? Qui donc aimera les pauvres si les pauvres ne s'aiment pas entre eux ? |
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|précisions=Aux Villageois voulant chasser Catherine car ils la pensent damnée}} |
|précisions=Aux Villageois voulant chasser Catherine car ils la pensent damnée}} |
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|scène=V}} |
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{{Personnage|Gœtz}} : Qui es-tu ? |
{{Personnage|Gœtz}} : Qui es-tu ? |
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{{Personnage|Karl}} : Prophète comme toi. |
{{Personnage|Karl}} : Prophète comme toi. |
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{{Personnage|Gœtz}} : Prophète de haine ! |
{{Personnage|Gœtz}} : Prophète de haine ! |
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{{Personnage|Karl}} : C'est le seul chemin qui mène à l'amour |
{{Personnage|Karl}} : C'est le seul chemin qui mène à l'amour. |
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|précisions= Dialogue entre Karl et Gœtz, le premier voulant que l'armée des pauvres massacres les riches et le second qu'elle se disperse pour vivre dans le Christ, en refusant tout combat.}} |
|précisions= Dialogue entre Karl et Gœtz, le premier voulant que l'armée des pauvres massacres les riches et le second qu'elle se disperse pour vivre dans le Christ, en refusant tout combat.}} |
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{{Personnage|Hilda}} : Nous n'irons pas au ciel, Gœtz, et même si nous y entrions tous les deux, nous n'aurions pas d'yeux pour nous voir, pas de mains pour nous toucher. Là-haut, on ne s'occupe que de Dieu. ''(Elle vient le toucher)'' Tu es là : un peu de chair usée, |
{{Personnage|Hilda}} : Nous n'irons pas au ciel, Gœtz, et même si nous y entrions tous les deux, nous n'aurions pas d'yeux pour nous voir, pas de mains pour nous toucher. Là-haut, on ne s'occupe que de Dieu. ''(Elle vient le toucher)'' Tu es là : un peu de chair usée, rugueuse, misérable, une vie — une pauvre vie. C'est cette chair et cette vie que j'aime. On ne peut aimer que sur cette terre et contre Dieu. |
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|précisions= Hilda s'adressant à Gœtz, qui lui demande pourquoi elle a voulu survivre étant assuré qu'elle le reverrait au Ciel.}} |
|précisions= Hilda s'adressant à Gœtz, qui lui demande pourquoi elle a voulu survivre étant assuré qu'elle le reverrait au Ciel.}} |
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|partie=Questions de méthode}} |
|partie=Questions de méthode}} |
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{{citation|Nul doute que cette anémie ''pratique'' devienne une anémie de l’homme marxiste – c’est à dire de ''nous'', hommes du XX |
{{citation|Nul doute que cette anémie ''pratique'' devienne une anémie de l’homme marxiste – c’est à dire de ''nous'', hommes du XX{{e}} siècle, en tant que le cadre indépassable du Savoir est le [[marxisme]] et en tant que ce marxisme éclaire notre praxis individuelle et collective, donc nous détermine dans notre existence.}} |
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{{Réf Livre |
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|titre=Critique de la Raison dialectique, précédé de Questions de méthode. Tome I. |
|titre=Critique de la Raison dialectique, précédé de Questions de méthode. Tome I. |
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|partie=Lire}} |
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{{citation|J'avais vu les romans d'aventures, je les avais convoités, réclamés, pouvait elle me les refuser ? [ |
{{citation|J'avais vu les romans d'aventures, je les avais convoités, réclamés, pouvait elle me les refuser ? […] À lui de choisir : ou je ne prophétisais point, ou l'on devait respecter mes goûts sans chercher à les comprendre. Père, Charles Schweitzer eût tout brûlé. Grand-père, il choisit l'indulgence navrée. Je n'en demandais pas plus et je continuai paisiblement ma double vie. Elle n'a jamais cessé : aujourd'hui encore, je lis plus volontiers les "Série Noire" que Wittgenstein.}} |
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{{Réf Livre |
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|titre=Les Mots |
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|partie=Lire}} |
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{{citation|Un jour, je découvris une inscription toute fraîche sur le mur de l'école, je m'approchai et je lus :" le père Barrault est un con." Mon |
{{citation|Un jour, je découvris une inscription toute fraîche sur le mur de l'école, je m'approchai et je lus :" le père Barrault est un con." Mon cœur battit à se rompre, la stupeur me cloua sur place, j'avais peur." Con", ça ne pouvait être qu'un de ces "vilains mots" qui grouillaient dans les bas-fonds du vocabulaire et qu'un enfant bien élevé ne rencontre jamais; court et brutal, il avait l'horrible simplicité bébête élémentaires. C'était déjà trop de l'avoir lu : je m'interdis de le prononcer, fût-ce à voix basse. Ce cafard accroché à la muraille, je ne voulais pas qu'il me sautât dans la bouche pour se métamorphoser au fond de ma gorge en un claironnement noir. Si je faisais semblant de ne pas avoir remarqué, peut-être rentrerait-il dans un trou de mur. Mais, quand je détournais mon regard, c'était pour retrouver l'appellation infâme :" le père Barrault" qu'il épouvantait plus encore : le mot "con", après tout, je ne faisais qu'en augurer le sens ; mais je savais très bien qui on appelait "père untel" dans ma famille : les jardiniers, les facteurs, le père de la bonne, bref les vieux pauvres.[...] Il me semblait à la fois qu'un fou cruel raillait ma politesse, mon respect, mon zèle, le plaisir que j'avais chaque matin à ôter ma casquette en disant " bonjour, Monsieur l'instituteur " et que j'étais moi-même ce fou, que les vilains mots et les vilaines pensées pullulaient dans mon cœur. Qu'est-ce qui m'empêchait, par exemple, de crier plein gosier : " ce vieux sagouin pue comme un cochon. " Je murmurai :" le père Barrault pue " et tout se mit à tourner : je m'enfuis en pleurant. Dès le lendemain je retrouvai ma déférence pour M. Barrault, pour son col de celluloïd et son nœud à papillon.}} |
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{{Réf Livre |
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|titre=Les Mots |
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{{citation|Mais, par la suite, dans le Dieu fashionable qu'on m'enseigna, je ne reconnus pas celui qu'attendait mon âme : il me fallait un Créateur, on me donnait un Grand Patron ; les deux n'étaient qu'un mais je l'ignorais ; je servais sans chaleur l'Idole pharisienne et la doctrine officielle me dégoûtait de chercher ma propre foi.[ |
{{citation|Mais, par la suite, dans le Dieu fashionable qu'on m'enseigna, je ne reconnus pas celui qu'attendait mon âme : il me fallait un Créateur, on me donnait un Grand Patron ; les deux n'étaient qu'un mais je l'ignorais ; je servais sans chaleur l'Idole pharisienne et la doctrine officielle me dégoûtait de chercher ma propre foi.[…] Une seule fois, j'eus le sentiment qu'Il existait. J'avais joué avec des allumettes et brûlé un petit tapis; j'étais en train de maquiller mon forfait quand soudain Dieu me vit, je sentis Son regard à l'intérieur de ma tête et sur mes mains ; je tournoyais dans la salle de bains, horriblement visible, une cible vivante. L'indignation me sauva : je me mis en fureur contre une indiscrétion si grossière, je blasphémai, je murmurai comme mon grand-père : "Sacré nom de Dieu de nom de Dieu." Il ne me regarda plus jamais.[…]. Aujourd'hui, quand on me parle de Lui, je dis avec l'amusement sans regret d'un vieux beau qui rencontre une ancienne belle : "Il y a cinquante ans, sans ce malentendu, sans cette méprise, sans l'accident qui nous sépara, il aurait pu y avoir quelque chose entre nous. ". Il n'y eut rien.}} |
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{{Réf Livre |
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|titre=Les Mots |
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== Citations sur Jean-Paul Sartre == |
== Citations sur Jean-Paul Sartre == |
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{{Citation|citation=Jean-Paul Sartre avait une petite voix pincée de présentateur d’actualités cinématographiques d’avant-guerre.}} |
{{Citation|citation=Jean-Paul Sartre avait une petite voix pincée de présentateur d’actualités cinématographiques d’avant-guerre.}} |
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{{réf Livre|auteur=Charles Dantzig|titre=Dictionnaire égoïste de la littérature française|éditeur=Grasset|année=2005|page=43}} |
{{réf Livre|auteur=Charles Dantzig|titre=Dictionnaire égoïste de la littérature française|éditeur=Grasset|année=2005|page=43}} |
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{{DEFAULTSORT:Sartre, Jean-Paul}} |
{{DEFAULTSORT:Sartre, Jean-Paul}} |
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[[Catégorie:Écrivain français]] |
[[Catégorie:Écrivain français]] |
Version du 18 mars 2016 à 00:03
Jean-Paul Sartre (Paris, 21 juin 1905 — Paris, 15 avril 1980) est un philosophe et écrivain français (dramaturge et nouvelliste) ainsi que critique littéraire du XXe siècle. Il a partagé la vie et les idées de la philosophe Simone de Beauvoir.
La Nausée , 1938
- La Nausée, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1938 (ISBN 2-07-036805-X), p. 34 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- La Nausée, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1938 (ISBN 2-07-036805-X), p. 73 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- La Nausée, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1938, p. 145
- La Nausée, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1938 (ISBN 2-07-036805-X), p. 165 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- La Nausée, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1938 (ISBN 2-07-036805-X), p. 175 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- La Nausée, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1938 (ISBN 2-07-036805-X), p. 187 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- La Nausée, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1938 (ISBN 2-07-036805-X), p. 190 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- La Nausée, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1938 (ISBN 2-07-036805-X), p. 221 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- La Nausée, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1938 (ISBN 2-07-036805-X), p. 228 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- La Nausée, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1938 (ISBN 2-07-036805-X), p. 249 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Le Mur, 1939
- Le Mur, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1939, p. 27
L'Être et le Néant, 1943
- L'Être et le Néant (1943), Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, coll. « tel », 2006 (ISBN 2-07-029388-2), p. 479
- L'Être et le Néant, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1943, partie 3 (« Le Pourautrui »), chap. 1er (« L'existence d'autrui »), IV (« Le Regard »), p. 341
La République du silence, 1944
- Situations III, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1946, p. 11
Huis clos, 1944
- Huis clos, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 2000 (ISBN 2-07-036807-6), p. 90 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Huis clos, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 2000 (ISBN 2-07-036807-6), p. 90 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Huis clos, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 2000 (ISBN 2-07-036807-6), p. 90 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Huis clos, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 2000 (ISBN 2-07-036807-6), p. 92 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
L'existentialisme est un humanisme, 1946
- L'existentialisme est un humanisme (1946), Jean-Paul Sartre, éd. Nagel, 1970, p. 17
- L'existentialisme est un humanisme (1946), Jean-Paul Sartre, éd. Nagel, 1970, p. 37
Les Mains Sales, 1948
- Les mains sales, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1948, p. 198
Le Diable et le Bon Dieu, 1951
- Gœtz s'adresse au père Heinrich qui vient de trahir sa ville.
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte I, scène IV, p. 57 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Gœtz s'adresse au père Heinrich qui lui affirme que tous les deux verront le Diable pendant la nuit l'un pour sa trahison l'autre pour son massacre
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte I, scène IV, p. 59 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Gœtz : Et je l'approuve encore. Il est offensé et prêtre : deux bonnes raisons de pardonner. Mais moi, pourquoi pardonnerais-je ? Les habitants de Worms ne m'ont pas offensé. Non, non : je suis militaire, donc je tue. Je les tuerai conformément à mon office et l'Archevêque leur pardonnera, conformément au sien
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte I, scène III, p. 75 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Gœtz s'adresse à Catherine lui demandant s'il souffre à cause de l'archevêque qui vient de lui retirer ses terres
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte I, scène IV, p. 80 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Gœtz : […] Alors réjouis-toi, je la prendrai.
Catherine : Mais pourquoi ?
Gœtz : Parce que c'est mal.
Catherine : Et pourquoi faire le Mal ?
Gœtz : Parce que le Bien est déjà fait.
Catherine : Qui l'a fait ?
Gœtz : Dieu le Père. Moi, j'invente.
- Gœtz parle de prendre la ville qu'il va prendre et dont il va massacrer les habitants
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte I, scène IV, p. 81 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Nasty : Les hommes de Dieu détruisent ou construisent et toi tu conserves.
Gœtz : Moi ?
Nasty : Tu mets du désordre. Et le désordre est le meilleur serviteur de l'ordre établi. Tu as affaibli la chevalerie tout entière en trahissant Conrad et tu affaibliras la bourgeoisie en détruisant Worms. À qui cela profite-t-il ? Aux grands. Tu sers les grand, Gœtz, et tu les serviras quoi que tu fasses : toute destruction brouillonne, affaiblit les faibles, enrichit les riches, accroît la puissance des puissants.
- le boulanger prophète, capturé par Gœtz qui lui affirme être l'homme de Dieu qui veut la destruction de la ville
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte I, scène V, p. 93 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Nasty propose à Gœtz l'alliance des pauvres que refuse Gœtz qui lui demande ce qui se passera s'il refuse de devenir leur égal
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte I, scène V, p. 96 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Gœtz répond à Nasty qui lui demande s'il sera toujours un « vacarme inutile » en faisant toujours le Mal pour le mal
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte I, scène V, p. 97 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte I, scène VI, p. 108 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Gœtz explique à Nasty pourquoi il distribue ses terres à ses paysans
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte II, scène V, p. 119 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Gœtz répond à Nasty qui tente de le convaincre d'être modeste, de ne pas vouloir faire le bien universel, pour être réellement bon
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte II, scène V, p. 124 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Gœtz explique à Nasty pourquoi il est possible de faire le bien universel
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte II, scène V, p. 125 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Gœtz explique à Nasty pourquoi le Bien est si complexe
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte II, scène V, p. 125 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- À Heinrich qui lui demande pardon pour sa trahison
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte II, scène IV, p. 147 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- À Heinrich qui se réjouit de voir des hommes à l'église
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte II, scène I, p. 152 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- À Dieu, reconnaissant que c'est de sa faute que Catherine se meurt d'amour
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte II, scène II, p. 153 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Dans l'église criant contre la mort d'une femme
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte II, scène IV, p. 158 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Aux Villageois voulant chasser Catherine car ils la pensent damnée
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte II, scène V, p. 168 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- À l'instructeur qui lui affirme que le village n'est pas impliqué dans les conflits alentours et qu'il s'en moque
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte III, scène I, p. 180 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- À Hilda qui veut quitter le village, jalouse de l'amour des villageois pour Gœtz.
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte III, scène IV, p. 190 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- À Nasty qui souhaite que Gœtz, le meilleur capitaine de l'Allemagne, prenne le commandement de l'armée des pauvres qui est trop faible face au seigneur, et qu'il quitte son village idéal en paix.
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte III, scène V, p. 193 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Gœtz : Qui es-tu ? Karl : Prophète comme toi. Gœtz : Prophète de haine !
Karl : C'est le seul chemin qui mène à l'amour.- Dialogue entre Karl et Gœtz, le premier voulant que l'armée des pauvres massacres les riches et le second qu'elle se disperse pour vivre dans le Christ, en refusant tout combat.
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte III, scène I, p. 202 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Réponse de Karl à Gœtz qui affirme aimer plus les pauvres, et qui en donne pour preuve, le don de ses terres qu'il fit
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte III, scène I, p. 207 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Gœtz s'adressant à Dieu, chassé de l'armée des pauvres après le triomphe oratoire de Karl, et qui avoue avoir échoué face à la méchanceté des hommes.
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte III, scène II, p. 209 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Hilda s'adressant à Gœtz, qui lui demande pourquoi elle a voulu survivre étant assuré qu'elle le reverrait au Ciel.
- Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971 (ISBN 2-07-036869-6), acte III, scène III, p. 212 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Questions de méthode, 1957
- Critique de la Raison dialectique, précédé de Questions de méthode. Tome I. (1960), Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, coll. « Bibliothèque de Philosophie. », 1960 (ISBN 2-07-070493-9), partie Questions de méthode, p. 21
- Critique de la Raison dialectique, précédé de Questions de méthode. Tome I. (1960), Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, coll. « Bibliothèque de Philosophie. », 1960 (ISBN 2-07-070493-9), partie Questions de méthode, Conclusion, p. 130
Les Mots, 1964
- Les Mots (1964), Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, coll. « folio », 1972 (ISBN 2-07-036607-3), partie Lire, p. 24
- Les Mots (1964), Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, coll. « folio », 1972 (ISBN 2-07-036607-3), partie Lire, p. 28
- Les Mots (1964), Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, coll. « folio », 1972 (ISBN 2-07-036607-3), partie Lire, p. 31
- Les Mots (1964), Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, coll. « folio », 1972 (ISBN 2-07-036607-3), partie Lire, p. 54
- Les Mots (1964), Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, coll. « folio », 1972 (ISBN 2-07-036607-3), partie Lire, p. 60
- Les Mots (1964), Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, coll. « folio », 1972 (ISBN 2-07-036607-3), partie Lire, p. 62
- Les Mots (1964), Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, coll. « folio », 1972 (ISBN 2-07-036607-3), partie Lire, p. 70
- Les Mots (1964), Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, coll. « folio », 1972 (ISBN 2-07-036607-3), partie Lire, p. 78
- Les Mots (1964), Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, coll. « folio », 1972 (ISBN 2-07-036607-3), partie Lire, p. 81
- Citation choisie pour le 31 mars 2008.
- Les Mots (1964), Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, coll. « folio », 1972 (ISBN 2-07-036607-3), partie Lire, p. 81-87
- Les Mots (1964), Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, coll. « folio », 1972 (ISBN 2-07-036607-3), partie Lire, p. 87
- Les Mots (1964), Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, coll. « folio », 1972 (ISBN 2-07-036607-3), partie Lire, p. 89
Citations sur Jean-Paul Sartre
- Dictionnaire égoïste de la littérature française, Charles Dantzig, éd. Grasset, 2005, p. 43