« Sūtra du Diamant » : différence entre les versions

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[[Fichier:Jingangjing.jpg|thumb|Version chinoise du ''Soutra du Diamant'' datant du {{s|IX|e}}.]]
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Il est fréquemment récité dans le {{w|chán (bouddhisme)|chán}}, ou {{w|zen}}, et le {{w|bouddhisme tibétain}}.
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==Citations==
== Citations ==
{{Citation|citation=« Subhûti, tout ce qui comporte des marques est trompeur. Tout ce qui est dépourvu de marques ne recèle aucune tromperie. […] »}}
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Version du 8 mars 2015 à 22:23

Version chinoise du Soutra du Diamant datant du IXe siècle.

Le Sūtra du Diamant est un texte du bouddhisme mahāyāna appartenant à la littérature des prajñāpāramitā.

Il est fréquemment récité dans le chán – ou zen – et le bouddhisme tibétain.

Citations

« Subhûti, tout ce qui comporte des marques est trompeur. Tout ce qui est dépourvu de marques ne recèle aucune tromperie. […] »


« Ceux qui me voient dans ma forme
Ou croient m'entendre dans le son de ma voix
S'engagent dans l'erreur :
Ceux-là ne me voient pas. »
  • Soûtra du Diamant et autres soûtras de la Voie médiane, Patrick Carré et Philippe Cornu (trad. Philippe Cornu), éd. Fayard, coll. « Trésors du bouddhisme », 2001  (ISBN 978-2-213-60915-7), p. 65


« Comme les étoiles, les mouches volantes ou la flamme d'une lampe,
Comme une illusion magique, une goutte de rosée ou une bulle,
Comme un rêve, un éclair ou un nuage :
Ainsi devrait-on voir tous les phénomènes conditionnés. »
  • Soûtra du Diamant et autres soûtras de la Voie médiane, Patrick Carré et Philippe Cornu (trad. Philippe Cornu), éd. Fayard, coll. « Trésors du bouddhisme », 2001  (ISBN 978-2-213-60915-7), p. 74