« Grégoire Delacourt » : différence entre les versions

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Elle sera un peu dans le coton, prévient-elle, elle vient de prendre ses médicaments, mais elle est plus calme ce matin, bien qu'elle m'ait réclamé deux fois Elizabeth Tailor, ce qui me fait penser, ajouta l'infirmière en baissant la voix, qu'elle perd un peu la tête, mais bon.
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Elle ne perd pas la tête, répliqua sèchement Jeanine Foucamprez. Sa tête est remplie de choses magnifiques pour lesquelles elle ne trouve pas les bons mots. C'est tout.


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{{Réf Livre|titre= La Première chose qu'on regarde
|auteur= Grégoire Delacourt
|éditeur= JC Lattès
|année= 2013
|page=190
|ISBN=978-2-7096-4286-6
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Version du 1 novembre 2013 à 15:55

Grégoire Delacourt est un publicitaire et écrivain français né en 1960 à Valenciennes.

La Première chose qu'on regarde, 2013

L'école lui trouva un stage chez Pascal Payen, dit PP, garagiste multimarques à Long, où il découvrira un jour un livre de poésie et un métier passionnant qui fait les doigts gras et noirs, fait dire aux dames en panne qu'il dépanne : tu es un génie mon chou, et beau gars avec ça, et aux messieurs en panne qu'il dépanne : plus vite mon garçon, j'ai pas que ça à foutre [...]
  • La Première chose qu'on regarde, Grégoire Delacourt, éd. JC Lattès, 2013  (ISBN 978-2-7096-4286-6), p. 23


Elle sera un peu dans le coton, prévient-elle, elle vient de prendre ses médicaments, mais elle est plus calme ce matin, bien qu'elle m'ait réclamé deux fois Elizabeth Tailor, ce qui me fait penser, ajouta l'infirmière en baissant la voix, qu'elle perd un peu la tête, mais bon.



Elle ne perd pas la tête, répliqua sèchement Jeanine Foucamprez. Sa tête est remplie de choses magnifiques pour lesquelles elle ne trouve pas les bons mots. C'est tout.
  • La Première chose qu'on regarde, Grégoire Delacourt, éd. JC Lattès, 2013  (ISBN 978-2-7096-4286-6), p. 190