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{{citation|C'est par-dessus les têtes, puis entre elles, une pluie de flèches empoisonnées, si serrées que bientôt à ne plus se voir. L'égoïsme odieux s'emmure en toute hâte dans une tour sans fenêtres. L'attraction est rompue, la beauté même du visage aimé se dérobe, un vent de cendres emporte tout, la poursuite de la vie est compromise. Est-il besoin de dire que ces instants sont comptés, qu'ils sont à la merci d'un signe d'intelligence du coeur – un mouvement involontaire de détente, un geste familier – pour prendre fin sans laisser la moindre trace. Vénus, parce qu'elle a voulu intervenir dans la guerre des hommes, est blessée à la main, c'est-à-dire paralysée momentanément dans son action même. Au-delà elle redevient elle-même et revêt sa ceinture magique.}} |
{{citation|C'est par-dessus les têtes, puis entre elles, une pluie de flèches empoisonnées, si serrées que bientôt à ne plus se voir. L'égoïsme odieux s'emmure en toute hâte dans une tour sans fenêtres. L'attraction est rompue, la beauté même du visage aimé se dérobe, un vent de cendres emporte tout, la poursuite de la vie est compromise. Est-il besoin de dire que ces instants sont comptés, qu'ils sont à la merci d'un signe d'intelligence du coeur – un mouvement involontaire de détente, un geste familier – pour prendre fin sans laisser la moindre trace. Vénus, parce qu'elle a voulu intervenir dans la guerre des hommes, est blessée à la main, c'est-à-dire paralysée momentanément dans son action même. Au-delà elle redevient elle-même et revêt sa ceinture magique.}} |
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{{Réf Livre|page=141|référence=L'Amour fou/Gallimard-Folio}} |
{{Réf Livre|page=141|référence=L'Amour fou/Gallimard-Folio}} |
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==== [[Virginia Woolf]], ''Les Vagues'', 1952 ==== |
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{{citation|citation=Par secousses intermittentes, brusques comme les bonds d'un tigre, la vie émerge faisant palpiter sa crête sombre sur la mer. Voilà à quoi nous sommes attachés ; voilà à quoi nous sommes liés, tels des corps humains à des chevaux sauvages. Et pourtant nous avons inventé des procédés pour colmater les crevasses et masquer ces fissures.}} |
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{{Réf Livre|titre= Les Vagues|auteur= [[Virginia Woolf]]|éditeur= Gallimard|Collection= Folio classique|traducteur=Michel Cusin|année=2012|année d'origine=1931|page=100|ISBN=978-2-07-044168-6}} |
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==== [[Benjamin Péret]], ''Mort aux vaches et au champ d'honneur'', 1953 ==== |
==== [[Benjamin Péret]], ''Mort aux vaches et au champ d'honneur'', 1953 ==== |
Version du 16 novembre 2012 à 20:11
La vie est une activité spontanée propre aux êtres organisés, qui se manifeste par les fonctions de nutrition et de reproduction, auxquelles s’ajoutent chez certains êtres les fonctions de relation, et chez l’homme la raison et le libre arbitre.
Par extension elle désigne toutes activités vivantes de l’homme.
Cinéma
Robert Zemeckis, Forrest Gump, 1994
- (en) Forrest Gump: Mama always said life was like a box of chocolates, you never know what you're gonna get.
- Citation choisie pour le 15 août 2010.
- Tom Hanks, Forrest Gump (1994), écrit par Robert Zemeckis
Littérature
Correspondance
George Sand, Correspondance, 1845
- 23 février 1845 George Sand à Bocage
- Correspondance, George Sand, éd. Classiques Garnier, 1964, t. VI, p. 807
Critique
Tristan Tzara, Pierre Reverdy : Le Voleur de Talan, 1917
- Tristan Tzara commente ici le dernier roman de Reverdy.
- « Pierre Reverdy : Le Voleur de Talan », Tristan Tzara, Dada, nº 2, Décembre 1917, p. 17
René Crevel, La Période des sommeils, 1932
- « La Période des sommeils », René Crevel, This Quarter vol. 5, nº 1, Septembre 1932, p. 1
Annie Le Brun, Les châteaux de la subversion, 1982
- Les châteaux de la subversion, Annie Le Brun, éd. Garnier Frères, coll. « Folio Essais », 1982 (ISBN 2-07-032341-2), partie III, Sans lieu ni date, p. 222
Jean-Luc Rispail, Les surréalistes, 1991
- Jacques Baron concernant la revue d'orientation surréaliste Littérature.
- Les surréalistes — Une génération entre le rêve et l'action (1991), Jean-Luc Rispail, éd. Gallimard, coll. « Découverte Gallimard Littérature », 2000 (ISBN 2-07-053140-6), chap. I. De Dada au surréalisme (1916-1924), Jacques Baron à propos de Littérature, p. 19
Écrit intime
Jean-Jacques Rousseau, Les Rêveries du promeneur solitaire, 1782
- Rêveries du promeneur solitaire (1782), Jean-Jacques Rousseau, éd. Le Livre de Poche, coll. « Classiques », 2001 (ISBN 978-2-253-160991), Première Promenade, p. 48
Paul Klee, Journal, 1957
- Journal (1957), Paul Klee, éd. Grasset, coll. « Les Cahiers Rouges », 1959 (ISBN 978-2-246-27913-6), Journal I, p. 43
- Journal (1957), Paul Klee, éd. Grasset, coll. « Les Cahiers Rouges », 1959 (ISBN 978-2-246-27913-6), Journal I, p. 43
Anaïs Nin, Henry et June — Les cahiers secrets, 1986
Août (1932)
- Henry et June — Les cahiers secrets (1986), Anaïs Nin (trad. Béatrice Commengé), éd. Stock, 2007 (ISBN 978-2-234-05990-0), Août (1932), p. 292
Fable
Florian, Fables, 1792
Le Voyage
Partir avant le jour, à tâtons, sans voir goutte,
Sans songer seulement à demander sa route,
Aller de chute en chute, et, se traînant ainsi,
Faire un tiers du chemin jusqu'à près de midi ;
Voir sur sa tête alors amasser les nuages,
Dans un sable mouvant précipiter ses pas,
Courir, en essuyant orages sur orages,
Vers un but incertain où l'on n'arrive pas ;
Détrompé vers le soir, chercher une retraite;
Arriver haletant, se coucher, s'endormir ;
On appelle cela naître, vivre et mourir.
La volonté de Dieu soit Faite !
- « Le Voyage », dans Œuvres, Florian, éd. Firmin-Didot, 1865, p. 121
Nouvelle
Renée Vivien, La Dame à la Louve, 1904
La Dame à la Louve
- La Dame à la Louve, Renée Vivien, éd. Alphonse Lemaire, 1904, La Dame à la louve, p. 18
Poésie
Victor Hugo, Les Contemplations, 1856
- Les Contemplations, Victor Hugo, éd. Hachette, 1858, t. 1, p. 285
Henri de Régnier, Les jeux rustiques et divins, 1897
Et je l’ai entendue ainsi pleurer ou rire,
Lasse ou sonore,
Triste ou ravie,
Et j’ai fermé les yeux pour écouter la Vie.
- « Odelette VIII », dans Les jeux rustiques et divins, Henri de Régnier, éd. Mercure de France, 1897, p. 250
Paul Eluard , Capitale de la douleur, 1926
Les Gertrude Hoffmann girls
Vos danses sont le gouffre effrayant de mes songes
Et je tombe et ma chute éternise ma vie,
L'espace sous vos pieds est de plus en plus vaste,
Merveilles, vous dansez sur les sources du ciel.
- Capitale de la douleur suivi de L'amour la poésie (1926), Paul Eluard, éd. Gallimard, coll. « Poésie », 1966 (ISBN 978-2-07-030095-2), partie Nouveaux poèmes, Les Gertrude Hoffmann girls, p. 107
Paul Eluard , L'Amour la poésie, 1929
En l'honneur des muets
La brûlure de toutes les métamorphoses
La chaîne entière des aurores dans la tête
Tous les cris qui s'acharnent à briser les mots
Et qui creusent la bouche et qui creusent les yeux
Où les couleurs furieuses défont les brumes de l'attente
Dressent l'amour contre la vie les morts en rêvent.
- Capitale de la douleur suivi de L'amour la poésie (1929), Paul Eluard, éd. Gallimard, coll. « Poésie », 1966 (ISBN 978-2-07-030095-2), partie Seconde nature, V. En l'honneur des muets, p. 181
Ma mémoire
L'on vit de ce qu'on n'apprend pas
Comme une abeille dans un obus
Comme un cerveau tombant de haut
De plus haut.
- Capitale de la douleur suivi de L'amour la poésie (1929), Paul Eluard, éd. Gallimard, coll. « Poésie », 1966 (ISBN 978-2-07-030095-2), partie Défense de savoir, VI. Ma mémoire, p. 223
René Char, Fureur et mystère, 1948
Evadné
L'été et notre vie étions d'un seul tenant
La campagne mangeait la couleur de ta jupe odorante.
- Fureur et mystère (1948), René Char, éd. Gallimard, coll. « Poésie », 1962 (ISBN 2-07-030065-X), partie SEULS DEMEURENT (1938-1944), Evadné, p. 61
Le Météore du 13 août
Ma convoitise est infinie. Rien ne m'obsède que la vie.
Étincelle nomade qui meurt dans son incendie.
Aime riveraine. Dépense ta vérité. L'herbe qui cache l'or de ton amour ne connaîtra jamais le gel.
- Fureur et mystère (1948), René Char, éd. Gallimard, coll. « Poésie », 1962 (ISBN 2-07-030065-X), partie LE POEME PULVERISE (1945-1947), Le Météore du 13 août, p. 203
Guillevic, Sphère, 1963
Qu'elle soit longue, au moins,
Cette vie qu'il faut vivre.
Car difficile
Est la leçon.
- Sphère, Guillevic, éd. Gallimard, 1963, p. 25
Marcel Bénabou, Anthologie de l'OuLiPo, 2009
A quoi tu penses ?
Je pense que « se réveiller la nuit et habituer ses yeux à la pénombre » pourrait être une définition de la vie.
- « A quoi tu penses ? », Hervé Le Tellier, dans Anthologie de l'OuLiPo, Marcel Bénabou et Paul Fournel (dir.), éd. Gallimard, coll. « Poésie », 2009, p. 357
Prose poétique
Novalis, Hymne à la nuit, 1800
- « Hymne à la nuit », Novalis, Nouvelle revue germanique, nº 14, 1833, p. 238
André Breton/Philippe Soupault, Les Champs Magnétiques, 1919
- « Les Champs Magnétiques partie I La Glace sans tain », André Breton/Philippe Soupault, Littérature, nº 8, Octobre 1919, p. 9
Robert Desnos, Pénalités de l'enfer, 1922
Voilà l'histoire de ma vie :
— De petits soldats en pantalons rouges sur le fiacre en temps de pluie.
La chanson sinistre du métropolitain l'axe de mon coeur.
- « Pénalités de l'enfer », Robert Desnos, Littérature Nouvelle Série, nº 4, Septembre 1922, p. 10
- « Pénalités de l'enfer », Robert Desnos, Littérature Nouvelle Série, nº 4, Septembre 1922, p. 11
Francis Picabia, Dactylocoque, 1922
- « Dactylocoque », Francis Picabia, Littérature Nouvelle Série, nº 7, Décembre 1922, p. 10
Robert Desnos, Deuil pour deuil, 1924
- La liberté ou l'amour ! suivi de Deuil pour deuil (1924), Robert Desnos, éd. Gallimard, 1962 (ISBN 978-2-07-027695-0), p. 137
- La liberté ou l'amour ! suivi de Deuil pour deuil (1924), Robert Desnos, éd. Gallimard, 1962 (ISBN 978-2-07-027695-0), p. 138
André Breton, Poisson soluble, 1924
- Poisson soluble (1924), André Breton, éd. Gallimard, coll. « Poésie », 1996 (ISBN 2-07-032917-8), partie 7, p. 49
- Poisson soluble (1924), André Breton, éd. Gallimard, coll. « Poésie », 1996 (ISBN 2-07-032917-8), partie 18, p. 80
- Poisson soluble (1924), André Breton, éd. Gallimard, coll. « Poésie », 1996 (ISBN 2-07-032917-8), partie 26, p. 101
Robert Desnos, La liberté ou l'amour !, 1927
- La liberté ou l'amour ! (1927), Robert Desnos, éd. Gallimard, coll. « L'Imaginaire », 1962 (ISBN 978-2-07-027695-0), III. Tout ce qu'on voit est d'or, p. 34
- La liberté ou l'amour ! (1927), Robert Desnos, éd. Gallimard, coll. « L'Imaginaire », 1962 (ISBN 978-2-07-027695-0), VI. Pamphlet contre la mort, p. 62
— Semelle ? Semaine ? le temps et l’espace. Tout rapport entre eux est celui de la haine et des ailes.
— L’oseille est en effet un mets de choix, un mets de roi.
— Mois, déchet.
— Mot à mot, tome à tome, motte à motte, ainsi va la vie.
- La liberté ou l'amour ! (1927), Robert Desnos, éd. Gallimard, coll. « L'Imaginaire », 1962 (ISBN 978-2-07-027695-0), VII. Révélation du monde, p. 70
- La liberté ou l'amour ! (1927), Robert Desnos, éd. Gallimard, coll. « L'Imaginaire », 1962 (ISBN 978-2-07-027695-0), VIII. A perte de vue, p. 93
Antonin Artaud, Fragments d'un Journal d'Enfer, 1929
- L'Ombilic des Limbes suivi du Pèse-nerfs et autres textes (1929), Antonin Artaud, éd. Gallimard, coll. « Poésie/Gallimard », 1956, partie Fragments d'un Journal d'Enfer, p. 125
Antonin Artaud, L'Art et la mort, 1929
Qui au sein
- L'Ombilic des Limbes suivi du Pèse-nerfs et autres textes, Antonin Artaud, éd. Gallimard, coll. « Poésie/Gallimard », 1956, partie L'Art et la Mort, « Qui au sein... », p. 135
Joyce Mansour, Les Gisants satisfaits, 1958
- Les surréalistes — Une génération entre le rêve et l'action (1991), Jean-Luc Rispail, éd. Gallimard, coll. « Découverte Gallimard Littérature », 2000 (ISBN 2-07-053140-6), chap. Témoignages et documents, Joyce Mansour, Les Gisants satisfaits, 1958, p. 177
Octavio Paz, Liberté sur parole, 1958
Être naturel
- Liberté sur parole (1958), Octavio Paz (trad. Jean-Clarence Lambert), éd. Gallimard, coll. « Poésie », 1966 (ISBN 2-07-031789-7), partie II. AIGLE OU SOLEIL ? (1949-1950), Aigle ou Soleil ? — Être naturel — III, p. 106
Joyce Mansour, Dolman le maléfique, 1961
- « Dolman le maléfique », Joyce Mansour, La Brèche, nº 1, Octobre 1961, p. 51
Christian Bobin, La lenteur qui fleurit, 2011
- « La lenteur qui fleurit », Christian Bobin, Le Monde des religions, 1 septembre 2011 (lire en ligne)
Récit de voyage
Hippolyte Taine, Voyage en Italie, 1866
- Voyage en Italie, Hippolyte Taine, éd. Hachette, 1866, p. 382
Roman
Jean-Jacques Rousseau, Julie ou La nouvelle Héloïse, 1761
- Julie ou La nouvelle Héloïse (1761), Jean-Jacques Rousseau, éd. Garnier-Flammarion, coll. « GF Flammarion », 1967 (ISBN 2-08-070148-7), partie III, Lettre XXI à Milord Edouard, p. 283
Marie d'Agoult, Nélida, 1866
Guermann, irrité par ce calme qui lui semblait presque une insulte, élevait sa voix et lui donnait un accent de plus en plus vibrant. Il en vint à déclamer certains passages avec une puissance d'organe et de geste qui ne pouvait laisser aucun doute sur l'application directe qu'il en faisait à Nélida ; mais en vain. Mme de Kervaëns demeurait immobile, ne l'interrompait pas, ne levait pas les yeux ; pas un pli de sa robe ne froissait la soie du divan. On n'entendait que le bruit régulier et de plus en plus affaibli de son haleine. Indigné, à bout de patience, exalté par le retentissement de sa parole dans l'espace sonore, Guermann, ne se contenant plus, jeta le livre loin de lui et s'approcha, résolu à dire enfin à cette femme hautaine qui ne voulait rien comprendre tout ce qu'il ressentait pour elle d'ardeurs brûlantes et de violents désirs. Mais il s'arrêta tout à coup en la voyant endormie ou évanouie, c'est ce qu'il ne pouvait discerner. Les yeux de Nélida étaient clos, sa bouche était décolorée, son bras alangui avait glissé hors des coussins [...].
— Ô Galatée, s'écria-t-il en la saisissant d'une étreinte passionnée, marbre divin, éveille-toi dans les bras de ton amant ; éveille-toi à la vie, éveille-toi à l'amour...
Nélida rouvrit les yeux, et, recouvrant tout à coup ses esprits, elle s'arracha des bras de Guermann qui n'essaya pas de la retenir, tant le regard qu'elle lui jeta commandait le respect. Elle alla lentement, en silence, à la fenêtre, et, l'ouvrant malgré l'orage, elle s'appuya sur le balcon que commençaient à mouiller de larges gouttes de pluie. Guermann se laissa tomber à la place qu'elle venait de quitter, et fondit en larmes
- Nélida (1866), Marie d'Agoult, éd. Calmann-Lévy, 2010 (ISBN 978-2-7021-4127-4), partie Troisième partie, chap. XIV, p. 183
- Nélida (1866), Marie d'Agoult, éd. Calmann-Lévy, 2010 (ISBN 978-2-7021-4127-4), partie Quatrième partie, chap. XVI, p. 198
- Nélida (1866), Marie d'Agoult, éd. Calmann-Lévy, 2010 (ISBN 978-2-7021-4127-4), partie Quatrième partie, chap. XXIII, p. 266
Guy de Maupassant, Une vie, 1883
- Ultime phrase du roman inspirée par Flaubert dans une lettre adressée à Maupassant en 1878 : « Les choses ne sont jamais ni aussi mauvaises ni aussi bonnes qu’on croit ».
- Une vie (1883), Guy de Maupassant, éd. Gallimard, coll. « folio classique », 1974 (ISBN 2-07-041084-6), chap. XIV, p. 278
Gabriele D'Annunzio, Le Feu, 1900
- Le Feu, Gabriele D'Annunzio, éd. La Revue de Paris, 1900, chap. I. L'épiphanie du feu, p. 3
- Le Feu, Gabriele D'Annunzio, éd. La Revue de Paris, 1900, chap. I. L'épiphanie du feu, p. 8
- Le Feu, Gabriele D'Annunzio, éd. La Revue de Paris, 1900, chap. I. L'épiphanie du feu, p. 9
- Le Feu, Gabriele D'Annunzio, éd. La Revue de Paris, 1900, chap. I. L'épiphanie du feu, p. 13
- Le Feu, Gabriele D'Annunzio, éd. La Revue de Paris, 1900, chap. I. L'épiphanie du feu, p. 14
- Le Feu, Gabriele D'Annunzio, éd. La Revue de Paris, 1900, chap. I. L'épiphanie du feu, p. 21
- Le Feu, Gabriele D'Annunzio, éd. La Revue de Paris, 1900, chap. I. L'épiphanie du feu, p. 56
- Le Feu, Gabriele D'Annunzio, éd. La Revue de Paris, 1900, chap. I. L'épiphanie du feu, p. 241
Pierre Louÿs, Les Aventures du Roi Pausole, 1900
L'eau, d'une gueule de satyre aux oreilles foliesques, tombait dans une cuve naturelle de terre rouge et d'herbes vertes où s'enracinaient des lauriers-roses en touffes compactes. Ce n'était point la vasque moisie et lépreuse de nos jardins où la source inutile vient inonder une terre déjà molle de pluie. C'était une naissance de fleurs dans le sol pourpré du Midi, une fontaine de sève, une urne génitrice d'où la vie ruisselait en verdures mouvantes, et le vieux satyre, fils de Pan, regardait la jeunesse des bois descendre éternellement de ses lèvres.
Au-dessous du mascaron cornu, que la blanche Aline prenait pour le diable, deux nymphes de marbre s'enlaçaient, debout et penchées sur le bassin obscur. A la fin de chaque hiver l'amandier les couvrait de ses petites églantines. L'été, elles prenaient sous le soleil toutes les couleurs de la chair. La nuit elles redevenaient déesses.
- Les Aventures du Roi Pausole (1900), Pierre Louÿs, éd. GF, 2008 (ISBN 978-2-0807-1214-1), partie Livre deuxième, III. Comment le miroir des nymphes devint celui des jeunes filles, p. 131
Renée Dunan, La Culotte en jersey de soi, 1923
- La Culotte en jersey de soi (1923), Renée Dunan, éd. Le Cercle Poche, 2011 (ISBN 978-2-84714-152-8), p. 18
- La Culotte en jersey de soi (1923), Renée Dunan, éd. Le Cercle Poche, 2011 (ISBN 978-2-84714-152-8), p. 19
Julien Green, Léviathan, 1929
- Léviathan (1897), Julien Green, éd. Fayard, coll. « Le Livre de Poche », 1993 (ISBN 978-2-253-09940-[à vérifier : ISBN invalide]), chap. XIII, p. 156
Marguerite Yourcenar, Alexis ou le Traité du Vain Combat, 1929
- « Alexis ou le Traité du Vain Combat » (1929), dans Alexis. Le Coup de Grâce, Marguerite Yourcenar, éd. Gallimard, coll. « Folio », 1971 (ISBN 2-07-037041-0), p. 34
- « Alexis ou le Traité du Vain Combat » (1929), dans Alexis. Le Coup de Grâce, Marguerite Yourcenar, éd. Gallimard, coll. « Folio », 1971 (ISBN 2-07-037041-0), p. 85
- « Alexis ou le Traité du Vain Combat » (1929), dans Alexis. Le Coup de Grâce, Marguerite Yourcenar, éd. Gallimard, coll. « Folio », 1971 (ISBN 2-07-037041-0), p. 117
William Faulkner, Tandis que j'agonise, 1930
- Tandis que j'agonise (1930), William Faulkner (trad. Maurice-Edgar Coindreau), éd. Gallimard, coll. « Du monde entier », 1966, p. 183
André Breton, L'Amour fou, 1937
- L'Amour fou, André Breton, éd. Gallimard, 1976 (ISBN 978-2070367238), p. 14 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- L'Amour fou, André Breton, éd. Gallimard, 1976 (ISBN 978-2070367238), p. 16 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- L'Amour fou, André Breton, éd. Gallimard, 1976 (ISBN 978-2070367238), p. 18 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Aujourd'hui encore je n'attends rien que de ma seule disponibilité, que de cette soif d'errer à la rencontre de tout, dont je m'assure qu'elle me maintient en communication mystérieuse avec les autres êtres disponibles, comme si nous étions appelés à nous réunir soudain. J'aimerais que ma vie ne laissât après elle d'autre murmure que celui d'une chanson de guetteur, d'une chanson pour tromper l'attente.
Indépendamment de ce qui arrive, n'arrive pas, c'est l'attente qui est magnifique.
- L'Amour fou, André Breton, éd. Gallimard, 1976 (ISBN 978-2070367238), p. 39 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- L'Amour fou, André Breton, éd. Gallimard, 1976 (ISBN 978-2070367238), p. 64 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- L'Amour fou, André Breton, éd. Gallimard, 1976 (ISBN 978-2070367238), p. 62 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- L'Amour fou, André Breton, éd. Gallimard, 1976 (ISBN 978-2070367238), p. 69 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- L'Amour fou, André Breton, éd. Gallimard, 1976 (ISBN 978-2070367238), p. 74 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- L'Amour fou, André Breton, éd. Gallimard, 1976 (ISBN 978-2070367238), p. 119 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- L'Amour fou, André Breton, éd. Gallimard, 1976 (ISBN 978-2070367238), p. 120 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- L'Amour fou, André Breton, éd. Gallimard, 1976 (ISBN 978-2070367238), p. 122 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- L'Amour fou, André Breton, éd. Gallimard, 1976 (ISBN 978-2070367238), p. 123 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- L'Amour fou, André Breton, éd. Gallimard, 1976 (ISBN 978-2070367238), p. 137 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- L'Amour fou, André Breton, éd. Gallimard, 1976 (ISBN 978-2070367238), p. 137 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- L'Amour fou, André Breton, éd. Gallimard, 1976 (ISBN 978-2070367238), p. 140 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- L'Amour fou, André Breton, éd. Gallimard, 1976 (ISBN 978-2070367238), p. 141 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- L'Amour fou, André Breton, éd. Gallimard, 1976 (ISBN 978-2070367238), p. 141 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- L'Amour fou, André Breton, éd. Gallimard, 1976 (ISBN 978-2070367238), p. 141 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Virginia Woolf, Les Vagues, 1952
- Les Vagues (1931), Virginia Woolf (trad. Michel Cusin), éd. Gallimard, 2012 (ISBN 978-2-07-044168-6), p. 100
Benjamin Péret, Mort aux vaches et au champ d'honneur, 1953
Il était environ quatre heures de l'après-midi, M. Charbon frappa trois fois la terre de son front. D'un nuage qui se trouvait à grande hauteur au-dessus de nous, une pluie de fraises s'abattit.
— Toujours le coeur ! fit M. Charbon. Il est en sécurité maintenant et il se moque de nous.
Je regardai le sol autour de nous et je m'aperçus que les fraises y avaient dessiné des lettres. Je lus : La vie est courte.
- Les surréalistes — Une génération entre le rêve et l'action (1991), Jean-Luc Rispail, éd. Gallimard, coll. « Découverte Gallimard Littérature », 2000 (ISBN 2-07-053140-6), chap. Témoignages et documents, Benjamin Péret, Mort aux vaches et au champ d'honneur, ch. IV, 1953, p. 153
Jean-Paul Sartre, Les mots, 1964
- Les mots (1964), Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, coll. « folio », 1972 (ISBN 2-07-036607-3), partie Lire, p. 81
Albert Caraco, Post Mortem, 1968
- Post Mortem, Albert Caraco, éd. L'Âge d'Homme, 1968, p. 22
Robert Lalonde, Le diable en personne, 1989
- Le diable en personne, Robert Lalonde, éd. Seuil, 1989, p. 91
Amélie Nothomb, Le Sabotage amoureux, 1993
- Le Sabotage amoureux (1993), Amélie Nothomb, éd. Le Livre de Poche (Origine : Albin Michel), 02/2001, p. 15
Tonino Benacquista, Le serrurier volant, 2006
- Le serrurier volant, Tonino Benacquista, éd. Gallimard, coll. « Folio », 2009, p. 10
- Le serrurier volant, Tonino Benacquista, éd. Gallimard, coll. « Folio », 2009, p. 10
Benoîte Groult, La Touche étoile, 2006
- La Touche étoile, Benoîte Groult, éd. Le Livre de Poche, 2006, p. 155
Anne F. Garréta, Eros mélancolique, 2009
- Eros mélancolique, Anne F. Garréta et J. Roubaud, éd. Grasset, 2008, p. 52
Théâtre
William Shakespeare, The Tragedy of Macbeth, 1606
Qui s'agite et parade une heure, sur la scène,
Puis on ne l'entend plus. C'est un récit
Plein de bruit, de fureur, qu'un idiot raconte
Et qui n'a pas de sens.
- (en) Life's but a walking shadow, a poor player
That struts and frets his hour upon the stage,
And then is heard no more. It is a tale
Told by an idiot, full of sound and fury,
Signifying nothing.
- The Tragedy of Macbeth (1623), William Shakespeare (trad. Yves Bonnefoy), éd. Folio, coll. « Folio classique », 1995 (ISBN 2-07-037676-1), acte V, scène 5, p. 315 (texte intégral sur Wikisource)
- (en) The Oxford Shakespeare, The Complete works, William Shakespeare, éd. Oxford, 1998, acte V, scène 5, p. 998 (texte intégral sur Wikisource)
Jean Giraudoux, Amphitryon 38, 1929
Alcmène à Amphitryon : [...] Moi qui mange avec moins de plaisir si tu te sers d'une cuiller quand j'ai une fourchette, lorsque tu respireras par des branchies et moi par des feuilles, lorsque tu parleras par un coassement et moi par des roulades, ô chéri, quel goût trouverai-je à la vie !
- Amphitryon 38 (1929), Jean Giraudoux, éd. Grasset, coll. « Le Livre de Poche », 1983 (ISBN 2-253-01068-5), partie Acte III Scène III, p. 132
Médias
Presse
Charles-Augustin Sainte-Beuve, Causeries du lundi, 1857
- Il est ici question d'Alfred de Musset.
- Le siècle du progrès — Anthologie établie et présentée par Pierre Berès, Charles-Augustin Sainte-Beuve, éd. Hermann (éditeurs des sciences et des arts), coll. « Collection savoir : lettres », 1992 (ISBN 2-7056-6179-4), partie Alfred de Musset, 11 mai 1857. Causeries du lundi, t. XIII, p. 108
Littérature, Enquête — Pourquoi écrivez-vous ?, 1919
Paul Féval
Né au milieu des manuscrits de mon père, dans une maison où les succès du romancier et de l'auteur dramatique apportaient l'aisance, avec le va-et-vient continuel des journalistes, des artistes, des éditeurs et des directeurs, il m'eût été bien difficile de rêver une carrière autre.
Écrire m'est un plaisir.
A côté de l'existence commune l'homme de lettres s'extériorise par imagination, des deux vies la seconde est préférable à la première.
Le rêve surpasse la réalité.
- Paul Féval donne suite à une enquête concernant son statut d'écrivain menée par le mensuel surréaliste Littérature, ce sur plusieurs numéros.
- « Notre enquête — Pourquoi écrivez-vous ? », Paul Féval, Littérature, nº 10, Décembre 1919, p. 22
Littérature, Enquête — Pourquoi écrivez-vous ?, 1920
J'écris, comme tout écrivain, pour affirmer des tendances intimes refoulées dans la vie réelle. Je crois que l'oeuvre d'art pourrait être définie une compensation du réel. Nos instincts révolutionnaires et sexuels, nos instincts de domination et de connaissance ne peuvent se satisfaire pleinement au cours de la vie. Leur refoulement produit une sublimation qui donne naissance à l'oeuvre d'imagination. Celle-ci n'est donc que l'épanouissement de vélléités contrariées. Elle peut, dans les cas de refoulement excessifs, aboutir à une contradiction complète et magnifique de l'existence effective de l'écrivain.
Les atrocités sans frein des ouvrages du Marquis de Sade peuvent s'expliquer par le fait qu'il écrivit surtout en prison. L'outrance de ses inventions me ferait plutôt croire à la non-réalisation de ses tendances érotiques. C'est une revanche du rêve sur la réalité.
En ce qui me concerne, il n'y a pas lieu de douter que certaines de mes pièces, Poussière, les Possédés, Terres chaudes, entre autres, sont une tentative de compensations d'instincts révolutionnaires entravés et de désirs de voyages incomplètement satisfaits.
- H. R. Lenormand donne suite à une enquête concernant son statut d'écrivain menée par le mensuel surréaliste Littérature, ce sur plusieurs numéros.
- « Notre enquête — Pourquoi écrivez-vous ? », H. R. Lenormand, Littérature, nº 11, Décembre 1920, p. 24
Philosophie
Friedrich Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra, 1885
J'appelle Etat le lieu où sont tous ceux qui boivent du poison, qu'ils soient bons ou mauvais ; Etat, l'endroit où ils se perdent tous, les bons et les méchants ; Etat, le lieu où le lent suicide de tous s'appelle — «la vie».
- Ainsi parlait Zarathoustra, Friedrich Nietzsche (trad. Georges-Arthur Goldschmidt), éd. Le Livre de Poche, coll. « Les Classiques de Poche », 1972 (ISBN 978-2-253-00675-6), partie I, chap. « De la nouvelle idole », p. 6
Friedrich Nietzsche, Par-delà bien et mal, 1886
On a mal regardé la vie, quand on n'a pas aussi vu la main qui tue en gant de velours.
- Par-delà le bien et le mal, Friedrich Nietzsche (trad. Henri Albert), éd. Le Livre de Poche, coll. « Les Classiques de Poche », 1991 (ISBN 978-2-253-05614-0), partie IV, chap. « Maximes et intermèdes », § 69, p. 152
Gaston Bachelard, L'Eau et les rêves, 1942
- L'eau et les rêves — Essai sur l'imagination de la matière (1942), Gaston Bachelard, éd. Le Livre de Poche, coll. « Biblio Essais », 1993 (ISBN 978-2-253-06100-7), partie VI, chap. Introduction: Imagination et matière, p. 24
- L'eau et les rêves — Essai sur l'imagination de la matière (1942), Gaston Bachelard, éd. Le Livre de Poche, coll. « Biblio Essais », 1993 (ISBN 978-2-253-06100-7), partie II, chap. I Les eaux claires, les eaux printanières et les eaux courantes, les conditions objectives du narcissisme, les eaux amoureuses, p. 34
Psychanalyse
Marthe Robert, La Révolution psychanalytique, 1964
Éros et la mort
- La révolution psychanalytique — La vie et l'oeuvre de Freud (1964), Marthe Robert, éd. Payot, coll. « Petite Bibliothèque Payot », 1989 (ISBN 2-228-88109-0), 25. Éros et la mort, p. 358
Psychologie
Mary Esther Harding, Les Mystères de la femme, 1953
L'expérience pratique nous révèle que les rêves ou l'activité imaginative qui se manifestent dans l'inconscient de personnes de caractères fort différents présentent des caractéristiques générales comparables à celles du mythe, chez deux catégories d'individus. D'abord chez ceux dont la vie personnelle ne s'est jamais pleinement dégagée de ses origines inconscientes ou s'est trouvée absorbée dans l'élément collectif surgi des profondeurs de l'inconscient ; ensuite dans les rêves d'un tout autre genre d'individus dont les problèmes personnels ont déjà été éclairés soit par l'expérience de la vie elle-même, soit par l'analyse. Ce caractère général des rêves se trouve ainsi chez des individus dont le développement n'est en rien comparable : d'une part chez ceux qui ne sont pas encore parvenus à une vie individuelle dégagée du domaine collectif des images intérieures, d'autre part chez ceux qui ont complètement assimilé leurs problèmes personnels et qui parviennent à une conception plus large de la vie.
Pour ce qui est des individus qui ne sont pas en mesure de mener une vie personnelle satisfaisante et qui traînent encore dans une sorte de brouillard indistinct, le premier soin de l'analyse sera d'établir ce qui leur manque : un rapport personnel avec le monde.
- Les Mystères de la femme (1953), Mary Esther Harding (trad. Eveline Mahyère), éd. Payot & Rivages, coll. « Petite Bibliothèque Payot », 2001 (ISBN 2-228-89431-1), chap. I. Les mythes et l'esprit moderne, p. 35
- Les Mystères de la femme (1953), Mary Esther Harding (trad. Eveline Mahyère), éd. Payot & Rivages, coll. « Petite Bibliothèque Payot », 2001 (ISBN 2-228-89431-1), chap. I. Les mythes et l'esprit moderne, p. 37
- Les Mystères de la femme (1953), Mary Esther Harding (trad. Eveline Mahyère), éd. Payot & Rivages, coll. « Petite Bibliothèque Payot », 2001 (ISBN 2-228-89431-1), chap. XIV. Renaissance et immortalité, p. 317
Paul-Claude Racamier, Les Schizophrènes, 1980
Schizogrammes
- Les Schizophrènes (1980), Paul-Claude Racamier, éd. Payot & Rivages, coll. « Petite bibliothèque Payot », 2001 (ISBN 978-2-228-89427-2), partie Schizogrammes, p. 192
- Les Schizophrènes (1980), Paul-Claude Racamier, éd. Payot & Rivages, coll. « Petite bibliothèque Payot », 2001 (ISBN 978-2-228-89427-2), partie Schizogrammes, p. 192
- Les Schizophrènes (1980), Paul-Claude Racamier, éd. Payot & Rivages, coll. « Petite bibliothèque Payot », 2001 (ISBN 978-2-228-89427-2), partie Schizogrammes, p. 202
Cédric Roos, La relation d'emprise dans le soin, 2006
Définitions
- La relation d'emprise dans le soin, 2006, Définitions, dans [1], paru Textes Psy, Cédric Roos.
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