« Luc de Clapiers, marquis de Vauvenargues » : différence entre les versions

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== D'autres auteurs le concernant ==
== D'autres auteurs le concernant ==

Version du 14 juin 2012 à 21:47

Luc de Clapiers, marquis de Vauvenargues, (6 août 1715 – 28 mai 1747) est un écrivain français, moraliste et essayiste.

Citations propres à l'auteur

Pour exécuter de grandes choses, il faut vivre comme si l'on ne devait jamais mourir.
  • (fr) « Réflexions et maximes », dans Œuvres de Vauvenargues, Luc de Clapiers, éd. Furne et Cie, 1857, maxime 142, p. 388


On promet beaucoup pour se dispenser de donner peu.
  • (fr) « Réflexions et maximes », dans Œuvres de Vauvenargues, Luc de Clapiers, éd. Furne et Cie, 1857, maxime 789, p. 479


On ne peut être juste, si l'on n'est pas humain.
  • (fr) « Réflexions et maximes », dans Œuvres de Vauvenargues, Luc de Clapiers, éd. Furne et Cie, 1857, maxime 28, p. 376


Nous querellons les malheureux pour nous dispenser de les plaindre.
  • (fr) « Réflexions et maximes », dans Œuvres de Vauvenargues, Luc de Clapiers, éd. Furne et Cie, 1857, maxime 172, p. 391


Les grandes pensées viennent du cœur.
  • (fr) « Réflexions et maximes », dans Œuvres de Vauvenargues, Luc de Clapiers, éd. Furne et Cie, 1857, maxime 127, p. 386


Les feux de l'aurore ne sont pas si doux que les premiers regards de la gloire.
  • (fr) « Réflexions et maximes », dans Œuvres de Vauvenargues, Luc de Clapiers, éd. Furne et Cie, 1857, maxime 758, p. 477


L'art de plaire est l'art de tromper.
  • (fr) « Réflexions et maximes », dans Œuvres de Vauvenargues, Luc de Clapiers, éd. Furne et Cie, 1857, maxime 329, p. 422


La solitude est à l'esprit ce que la diète est au corps, mortelle lorsqu'elle est trop longue, quoique nécessaire.
  • (fr) « Réflexions et maximes », dans Œuvres de Vauvenargues, Luc de Clapiers, éd. Furne et Cie, 1857, maxime 446, p. 442


D'autres auteurs le concernant

Il a peu, ou plutôt il n'a pas le sentiment des beautés de la nature : dans la nature, il ne considère volontiers que l'homme et la société ; Vauvenargues portait en lui le besoin d'être un grand homme historiquement.
  • Les lumières et les salons — Anthologie établie et présentée par Pierre Berès, Charles-Augustin Sainte-Beuve, éd. Hermann (éditeurs des sciences et des arts), coll. « Collection savoir : lettres », 1992  (ISBN 2-7056-6178-6), partie Vauvenargues, 4 novembre 1850. Causeries du lundi, t. III, p. 163


Il avait en horreur et en mépris la fatuité et la frivolité si en vogue à cette date, ce ton de légèreté et de persiflage à la mode, que Gresset a pris sur le fait dans le Méchant. On ne voit pas qu'il ait été occupé des femmes dans les années où il écrit, et le peu qu'il en dit nous montre un homme revenu : Les femmes ne peuvent comprendre, dit-il, qu'il y ait des hommes désintéressés à leur égard.
  • Les lumières et les salons — Anthologie établie et présentée par Pierre Berès, Charles-Augustin Sainte-Beuve, éd. Hermann (éditeurs des sciences et des arts), coll. « Collection savoir : lettres », 1992  (ISBN 2-7056-6178-6), partie Vauvenargues, 4 novembre 1850. Causeries du lundi, t. III, p. 164


Vauvenargues, en opposition ouverte avec les illusions de son temps, disait encore : Jusqu'à ce qu'on rencontre le secret de rendre les esprits plus justes, tous les pas qu'on pourra faire dans la vérité n'empêcheront pas les hommes de raisonner faux ; et c'est ainsi, selon lui, que les grands hommes, en apprenant aux faibles à réfléchir, les ont mis sur la route de l'erreur.
  • Les lumières et les salons — Anthologie établie et présentée par Pierre Berès, Charles-Augustin Sainte-Beuve, éd. Hermann (éditeurs des sciences et des arts), coll. « Collection savoir : lettres », 1992  (ISBN 2-7056-6178-6), partie Vauvenargues, 4 novembre 1850. Causeries du lundi, t. III, p. 164


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