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{{Citation|citation=Le chasseur était un homme d'une vingtaine d'années. Ses chiens rampaient tristement à ses côtés.}} |
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{{Réf Livre|titre=Poisson soluble|auteur=[[André Breton]]|éditeur=Gallimard|collection=Poésie|année=1996|année d'origine=1924|page=110|partie=29|ISBN=2-07-032917-8}} |
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==== [[Octavio Paz]], ''Liberté sur parole'', 1958 ==== |
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{{Citation|citation=Personne ne pourra se nourrir de ces restes desséchés, même mes chiens, mes vices. Espoir, aigle affamé, laisse-moi sur ce rocher semblable au silence. Et toi, vent qui souffle du Passé, souffle avec force, disperse ces quelques syllabes, qu'elles soient air et transparence ! Etre enfin une Parole, un peu d'air dans une bouche pure, un peu d'eau dans des lèvres avides ! Mais déjà l'oubli prononce mon nom : regarde-le briller entre ses lèvres comme l'os brille un instant dans la gueule de la nuit au noir pelage.}} |
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{{Réf Livre|titre=Liberté sur parole|auteur=[[Octavio Paz]]|traducteur=Jean-Clarence Lambert|éditeur=Gallimard|collection=Poésie|année=1966|année d'origine=1958|page=58|partie=II. AIGLE OU SOLEIL ? (1949-1950)|section=''Travaux du poète'' — XIV|ISBN=2-07-031789-7}} |
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== Citations (livres) == |
== Citations (livres) == |
Version du 28 janvier 2012 à 12:34
Le chien (Canis lupus familiaris) est un mammifère domestique de la famille des canidés, proche du loup et du renard.
Littérature
Prose poétique
André Breton, Poisson soluble, 1924
Le chasseur était un homme d'une vingtaine d'années. Ses chiens rampaient tristement à ses côtés.
- Poisson soluble (1924), André Breton, éd. Gallimard, coll. « Poésie », 1996 (ISBN 2-07-032917-8), partie 29, p. 110
Octavio Paz, Liberté sur parole, 1958
Personne ne pourra se nourrir de ces restes desséchés, même mes chiens, mes vices. Espoir, aigle affamé, laisse-moi sur ce rocher semblable au silence. Et toi, vent qui souffle du Passé, souffle avec force, disperse ces quelques syllabes, qu'elles soient air et transparence ! Etre enfin une Parole, un peu d'air dans une bouche pure, un peu d'eau dans des lèvres avides ! Mais déjà l'oubli prononce mon nom : regarde-le briller entre ses lèvres comme l'os brille un instant dans la gueule de la nuit au noir pelage.
- Liberté sur parole (1958), Octavio Paz (trad. Jean-Clarence Lambert), éd. Gallimard, coll. « Poésie », 1966 (ISBN 2-07-031789-7), partie II. AIGLE OU SOLEIL ? (1949-1950), Travaux du poète — XIV, p. 58
Citations (livres)
Alexandre le rencontrant un jour lui dit : « Je suis le grand roi Alexandre ». Diogène alors se présenta : « Et moi, je suis Diogène, le chien ». On lui demanda pourquoi il était appelé le chien : « Parce que je caresse ceux qui me donnent, j'aboie contre ceux qui ne me donnent pas, et je mords ceux qui sont méchants ».
- (fr) Vies, doctrines et sentences des philosophes illustres Tome II (1965), Diogène Laërce, éd. GF Flammarion, 1965 (ISBN 2-08-070077-4), p. 29
- Citation choisie pour le 14 mars 2011.
« Et comment savez-vous que vous êtes fou ?
— Pour commencer, est-ce que tu m'accordes qu'un chien n'est pas fou ?
— Sans doute.
— Eh bien, vois-tu, un chien gronde lorsqu'il est en colère, et remue la queue lorsqu'il est content. Or, moi, je gronde quand je suis content, et je remue la queue quand je suis en colère. Donc, je suis fou.
— Moi j'appelle ça ronronner, pas gronder.
— Appelle ça comme tu voudras [...]. »
— Pour commencer, est-ce que tu m'accordes qu'un chien n'est pas fou ?
— Sans doute.
— Eh bien, vois-tu, un chien gronde lorsqu'il est en colère, et remue la queue lorsqu'il est content. Or, moi, je gronde quand je suis content, et je remue la queue quand je suis en colère. Donc, je suis fou.
— Moi j'appelle ça ronronner, pas gronder.
— Appelle ça comme tu voudras [...]. »
- Alice au pays des merveilles, Lewis Carroll (trad. Jacques Papy), éd. Gallimard, 1865 (ISBN 2-07-038916-2), p. 10 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
On croit qu'on emmène son chien pisser midi et soir. Grave erreur : ce sont les chiens qui nous invitent à la méditation.
- La Fée carabine, Daniel Pennac, éd. Gallimard, 1997 (ISBN 2-07-040370-X), p. 46 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Citations (films)
Cordier : Tu sais pourquoi les chiens s'reniflent les fesses ? Et bien figure-toi qu'à l'époque où la Terre était gouvernée par les chiens, ils avaient décidé de tenir une espèce de congrès pour faire voter des lois nouvelles. alors le chien qui présidait l'assemblée leur dit : « écoutez, vu qu'on va rester plusieurs jours enfermés ici, je propose, par mesure d'hygiène, qu'on laisse nos trous d'balle au vestiaire. » Tous les chiens approuvent, et hop ! les v'la qui s'dé-trou-d'ballisent. Mais à peine la séance était commencée, shuit ! hop, y'a une tempête qui se lève une véritable tornade et shuit ! tous les trous d'balle se sont mélangés. Et y'a pas un chien qu'est foutu d'reconnaître le sien. Voila, depuis c'temps là, ils s'reniflent toujours les fesses. Puis y'a des chances que ça dure jusqu'à la fin du monde.
- Philippe Noiret, Coup de torchon (1981), écrit par Jean Aurenche et Bertrand Tavernier
Yolande : A quoi ça sert de garder un chien paralysé ?
Denis : C'est décoratif. C'est comme un tapis, mais vivant.
- Catherine Frot, Jean-Pierre Darroussin, Un air de famille (1996), écrit par Agnès Jaoui, Jean-Pierre Bacri
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