« Harlan Coben » : différence entre les versions

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Version du 3 septembre 2011 à 17:52

Harlan Coben, né le 4 janvier 1962, est un écrivain américain. Il a reçu le Grand prix des lectrices de Elle pour Ne le dis à personne... sorti en 2003 et adapté en 2006 au cinéma.

Ne le dis à personne..., 2002

Les souvenirs, ça fait mal. Surtout les bons.
  • Ne le dis à personne... (2001), Harlan Coben (trad. Roxanne Azimi), éd. Pocket (n°11688), 2007  (ISBN 978-2-266-12515-4), chap. 1, p. 12


Juste un regard, 2005

Se pouvait-il cependant que la mort et les grandes tragédies affectent moins les personnes âgées que le reste d'entre nous ? [...] Les vieilles gens s'affolaient facilement pour des broutilles - retards dans les transports, files d'attente à l'aéroport, service de mauvaise qualité - . Mais les choses importantes ne semblent pas les atteindre. Était-ce une étrange forme d'égocentrisme qui venait avec l'âge ? Était-ce la proximité de l'inéluctable qui vous poussait à intérioriser, occulter ou chasser de votre tête les catastrophes majeures ? Serait-ce qu'une constitution fragile, un mécanisme de défense, un instinct de survie prenait le relais ?
  • Juste un regard (2004), Harlan Coben (trad. Roxanne Azimi), éd. Pocket (n°12897), 2007  (ISBN 978-2-266-15972-2), chap. 23, p. 234


La vieillesse rendait-elle insensible à la souffrance ou était-ce simplement le masque qui gagnait en solidité ?
  • Juste un regard (2004), Harlan Coben (trad. Roxanne Azimi), éd. Pocket (n°12897), 2007  (ISBN 978-2-266-15972-2), chap. 23, p. 235


Son regard exprimait la sagacité et la tristesse. Peut-être l'explication à la froideur du grand âge est-elle beaucoup plus simple : ces yeux là ayant vu trop de mal, ils ne veulent pas en voir davantage.
  • Juste un regard (2004), Harlan Coben (trad. Roxanne Azimi), éd. Pocket (n°12897), 2007  (ISBN 978-2-266-15972-2), chap. 23, p. 236


Les différents stades de la douleur : en principe, c'est censé commencer par le déni. Faux, en fait, c'est même tout le contraire : une acceptation totale. On entend la mauvaise nouvelle, on comprend très exactement ce qu'on est en train de vous dire. On comprend qu'un être aimé - votre conjoint, votre parent, votre enfant - ne rentrera plus, qu'il a disparu définitivement, que sa vie est finie et que jamais, jamais vous ne le reverrez. Tout ça, vous le comprenez en un éclair. Vos jambes flageolent, votre cœur lâche. C'est le premier pas : pas seulement l'acceptation, pas seulement la compréhension, mais la vérité dans toute son horreur. Les êtres humains ne sont pas faits pour supporter une souffrance pareille, alors c'est là qu'intervient la déni. Le déni s'installe rapidement, pour guérir les blessures ou du moins les panser. Cependant, il y a toujours ce moment - bref, Dieu merci -, le véritable stade numéro un, où l'on entend la nouvelle, on se penche au-dessus de l'abîme et, aussi atroce que cela puisse paraître, on comprend tout.
  • Juste un regard (2004), Harlan Coben (trad. Roxanne Azimi), éd. Pocket (n°12897), 2007  (ISBN 978-2-266-15972-2), chap. 26, p. 246


Mais quelles étaient les conséquences sur la santé mentale d'une musique, probablement âpre et violente, qui résonnait non-stop dans les oreilles ? Isolement auditif, murailles solitaires du son, pour paraphraser Elton John, et aucune échappatoire possible. Aucun bruit de la vie ne filtre jusqu'à vous. Aucune parole vivante. Votre existence se déroule sur bande-son artificielle.
  • Juste un regard (2004), Harlan Coben (trad. Roxanne Azimi), éd. Pocket (n°12897), 2007  (ISBN 978-2-266-15972-2), chap. 27, p. 260


Wu aimait bien songer à ces choses-là, ces petits détails insignifiants, inconscients, sur lesquels nous n'avons pas de prise et qui peuvent changer le cours de notre vie. Appelez cela destinée, chance, hasard, Dieu. Wu trouvait ça passionnant.
  • Juste un regard (2004), Harlan Coben (trad. Roxanne Azimi), éd. Pocket (n°12897), 2007  (ISBN 978-2-266-15972-2), chap. 27, p. 265


Quand on se retrouve enfermé dans le noir, seul avec ses pensées, l'esprit se tourne en dedans et c'est la débandade. C'était ça, le plus grand danger. Le gage de la sérénité était de continuer à travailler, à aller de l'avant. Quand on avance, on ne pense pas à la culpabilité ou à l'innocence. On ne pense pas au passé, à ses rêves, à ses bonheurs ou à ses déceptions, on se préoccupe juste de survivre, de prendre des coups ou d'en donner. De tuer ou d'être tué.
  • Juste un regard (2004), Harlan Coben (trad. Roxanne Azimi), éd. Pocket (n°12897), 2007  (ISBN 978-2-266-15972-2), chap. 27, p. 265-266


Son arme principale était l'ordinateur, le meilleur bastion des anonymes et des lâches.
  • Juste un regard (2004), Harlan Coben (trad. Roxanne Azimi), éd. Pocket (n°12897), 2007  (ISBN 978-2-266-15972-2), chap. 31, p. 290


Le danger des jeux vidéos était qu'ils vous coupaient du monde extérieur. Le charme des jeux vidéos était qu'ils vous coupait du monde extérieur.
  • Juste un regard (2004), Harlan Coben (trad. Roxanne Azimi), éd. Pocket (n°12897), 2007  (ISBN 978-2-266-15972-2), chap. 33, p. 322


Un homme pouvait se sacrifier par machisme, par stupidité ou du fait d'une foi aveugle en une hypothétique victoire. Une femme se sacrifiait sans se raconter de bobards.
  • Juste un regard (2004), Harlan Coben (trad. Roxanne Azimi), éd. Pocket (n°12897), 2007  (ISBN 978-2-266-15972-2), chap. 38, p. 358


Leur principal lien était Ryan, davantage dans la mort que dans la vie, et ça, ce n'était pas très sain.
  • « Leur » fait référence aux parents de Ryan, leur enfant décédé.
  • Juste un regard (2004), Harlan Coben (trad. Roxanne Azimi), éd. Pocket (n°12897), 2007  (ISBN 978-2-266-15972-2), chap. 43, p. 390


Peur Noire, 2010

Il y avait autant d’action sur la gazinière que dans un docu-fiction sur la lutte des classes en Antarctique

{{Réf Livre|titre= Peur Noire |auteur=Harlan Coben |éditeur=Pocket (n°11688) |année=2010 |page=12 |ISBN=978-2-266-19636-9 |traducteur=Paul Benita |année d'origine=2000


Il avait un de ces 4X4 luisants qui font rage chez les riches banlieusards du New Jersey dont la pratique du tout-terrain se limite à franchir des ralentisseurs sur un parking d’hypermarché

{{Réf Livre|titre= Peur Noire |auteur=Harlan Coben |éditeur=Pocket (n°11688) |année=2010 |page=104 |ISBN=978-2-266-19636-9 |traducteur=Paul Benita |année d'origine=2000


Bruce Taylor portait la tenue de combat du journaliste de la presse écrite, c’est-à-dire qu’il avait ouvert son panier à linge sale et enfilé ce qui se trouvait au-dessus

{{Réf Livre|titre= Peur Noire |auteur=Harlan Coben |éditeur=Pocket (n°11688) |année=2010 |page=166 |ISBN=978-2-266-19636-9 |traducteur=Paul Benita |année d'origine=2000

Heshy a toujours détesté le centre commercial… et maintenant il veut qu’on aille y trottiner comme un couple de crétins en survêtements assortis et petites haltères de feygelah pour se muscler les bras, sans oublier les chaussures de marche hors de prix. Des chaussures de marches, il appelle ça. Je n’ai jamais eu une paire de chaussures qui m’empêchent de marcher. J’ai raison ou pas ?

{{Réf Livre|titre= Peur Noire |auteur=Harlan Coben |éditeur=Pocket (n°11688) |année=2010 |page=247 |ISBN=978-2-266-19636-9 |traducteur=Paul Benita |année d'origine=2000



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