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Version du 14 novembre 2010 à 00:45
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- Mythologies, Roland Barthes, éd. Seuil, 1970, chap. « La nouvelle Citroën », p. 150 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Elwood Blues
- (en) It's 106 miles to Chicago, we've got a full tank of gas, half a pack of cigarettes, it's dark and we're wearing sunglasses. Hit it.
- Dan Aykroyd, The Blues Brothers (1980), écrit par Dan Aykroyd, John Landis
Jake Blues
- (en) I ran outta gas! I had a flat tire! I didn't have enough money for cab fare! My tux didn't come back from the cleaners! An old friend came in from outta town! Someone stole my car! There was an earthquake! A terrible flood! Locusts!! It wasn't my fault I swear to God!!!
- John Belushi, The Blues Brothers (1980), écrit par Dan Aykroyd, John Landis (trad. Wikiquote)
Citations
Leopold Saroyan (qui vient d'anéantir la 2 CV d'Antoine Maréchal) : C'est pas grave...
Antoine Maréchal : C'est pas grave ! Vous en avez de bonnes ! Qu'est-ce que je vais devenir moi ?
Leopold Saroyan : Eh bien... piéton !
- Louis de Funès et Bourvil, Le Corniaud (1965), écrit par Georges et André Tabet
Antoine Maréchal (Toujours à propos de sa voiture complètement détruite) : Ah elle va marcher beaucoup moins bien maintenant !
- Bourvil, Le Corniaud (1965), écrit par Georges et André Tabet
Leopold Saroyan (au téléphone avec Ursulla l'auto-stoppeuse allemande) : Ich bin ein freund, un ami, ein freund of herr Antoine Maréchal ! He ist en danger... Verstehen sie danger ? [...] Si vous nicht interveniren, Maréchal Kaput !
Ursulla : Das ist gar nicht möglich !
Leopold Saroyan : Ça je ne peux pas vous dire ! Because der mann, der beau garçon, ach !! ist ein salopard, ein grosse salopard ... qui veut barbotieren... beg your pardon... volieren la Cadillac... Voilà, merci... (il raccroche) Bon, je crois qu'elle a capito !
- Louis de Funès et Beba Loncar, Le Corniaud (1965), écrit par Georges et André Tabet
Général Yves Gras
coin de la rue, circulant en voiture à toute vitesse, debout sur les marchepieds ou couchés sur les ailes dans des postures de combat, comme on a pu le voir sur certains films de la Révolution russe. Ils contrôlent sans ménagement l'identité des habitants aux terrases des cafés, poussent devant eux, dans les clameurs de la populace, des femmes tondues et des hommes au
visage ensenglanté.- Propos du général Gras de la 1re DFL sur les FFI au lendemain du débarquement de Provence
- Historia mai-juin 1994, Yves Gras, éd. Historia, 1994, L'été de tous les succès pour de Lattre, p. 110