« Ken Bruen » : différence entre les versions

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{{citation|Aucun homme ne peut être considéré comme un raté s'il a un seul ami.}}
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==''Brooklyn Requiem, 2010==
==''Brooklyn Requiem, 2010==
{{citation|<poem>T’es un produit de la nouvelle Irlande, tu le sais, au moins ?
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Percevant que ce n’était pas très flatteur, j’ai demandé :
Percevant que ce n'était pas très flatteur, j'ai demandé :
- Ah ouais, et c’est quoi ça ?
- Ah ouais, et c'est quoi ça ?


Il a vidé sa pinte, fait signe qu’on lui remette ça et précisé :
Il a vidé sa pinte, fait signe qu'on lui remette ça et précisé :
- Arrogance, aplomb et compétence zéro.
- Arrogance, aplomb et compétence zéro.
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Version du 29 juillet 2010 à 19:34

Ken Bruen est un écrivain irlandais de romans policiers. Il est né en 1951 à Galway.

Delirium Tremens, 2004

Tout le monde est quasiment américain, de la pire des manières.
  • Delirium Tremens, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2004, p. 29


C'est la chaussure qui fait l'homme. Cirée en crachant dessus, jusqu'à qu'on se voie dedans.
  • Delirium Tremens, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2004, p. 77


En réalité, le temps ne passe pas. C'est nous qui passons.
  • Delirium Tremens, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2004, p. 219


Toxic Blues, 2005

«S'il buvait, ce n'était pas à cause de sa propre noirceur, mais bien celle des autres.»
  • Toxic Blues, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2005, p. 41


C'est ainsi que le mal prospère, parce que des braves gens ne veulent pas faire d'histoires.
  • Toxic Blues, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2005, p. 217


Le martyre des Magdalènes, 2006

C'est vrai: une arme à feu, ça représente le facteur premier de l'égalité.
  • Le martyre des Magdalènes, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2006, p. 142


Les Siciliens disent: si vous planifiez votre vengeance, creusez deux tombes. Une pour vous.
  • Le martyre des Magdalènes, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2006, p. 151


Le véritable legs du suicidé est la culpabilité de ceux qui lui survivent.
  • Le martyre des Magdalènes, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2006, p. 163


Plus que n'importe qui, les ivrognes recherchent la lumière.
  • Le martyre des Magdalènes, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2006, p. 167


On ne peut jamais savoir ce que l'on va rencontrer au coin de la rue.
  • Le martyre des Magdalènes, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2006, p. 337


Le Dramaturge, 2007

Si on collait plus de baffes, bien des thérapies n'auraient pas lieu d'être.
  • Le Dramaturge, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2007, p. 86


On peut dire tout ce qu'on veut des Irlandais, mais il ne faut pas le leur dire en face.
  • Le Dramaturge, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2007, p. 215


Hackman blues, 2007

Un homme croit qu'il est la seconde personne la plus intelligente du monde. Il ne connaît pas la première.
  • Hackman blues, Ken Bruen, éd. Fayard, 2007, p. 91


Aucun homme ne peut être considéré comme un raté s'il a un seul ami.
  • Hackman blues, Ken Bruen, éd. Fayard, 2007, p. 214


L'âge est une maladie.
  • Hackman blues, Ken Bruen, éd. Fayard, 2007, p. 229


En effeuillant Baudelaire, 2007

«Toutes les femmes jouent la comédie: avec les hommes, elle n'ont guère le choix.»
  • En effeuillant Baudelaire, Ken Bruen, éd. Fayard, 2007, p. 19


«L'enfer, c'est d'avoir raté sa vie.»
  • En effeuillant Baudelaire, Ken Bruen, éd. Fayard, 2007, p. 21


Si vous avez besoin de justifier vos amis, c'est que vous même n'en êtes pas un.
  • En effeuillant Baudelaire, Ken Bruen, éd. Fayard, 2007, p. 22


La technologie a tendance a tout rapetisser.
  • En effeuillant Baudelaire, Ken Bruen, éd. Fayard, 2007, p. 53


Ne pas se faire prendre ne signifie pas qu'on s'en sort indemne. Il faut que quelque chose meure en vous pour que le passage à l'acte devienne possible.
  • En effeuillant Baudelaire, Ken Bruen, éd. Fayard, 2007, p. 93


La folie est très sous-estimée.
  • En effeuillant Baudelaire, Ken Bruen, éd. Fayard, 2007, p. 96


Brooklyn Requiem, 2010

T'es un produit de la nouvelle Irlande, tu le sais, au moins ?

Percevant que ce n'était pas très flatteur, j'ai demandé :
- Ah ouais, et c'est quoi ça ?

Il a vidé sa pinte, fait signe qu'on lui remette ça et précisé :
- Arrogance, aplomb et compétence zéro.

  • Brooklyn Requiem, Ken Bruen, éd. Fayard Noir, 2010, p. à retrouver


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