« Et si c'était vrai... » : différence entre les versions

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== Citations ==
== Citations ==
" Même sans toi, je ne serais plus jamais seul, puisque tu existes quelque part. "
Réf Livre : Et si c'était vrai...
auteur: Marc Lévy



{{citation|citation=Tu n’as qu’à parler de moi avec la boîte à gants ! reprit Paul, moi tu vois, hier soir j’ai ouvert le frigo, j’ai vu de la lumière, je suis rentré, et j’ai parlé de toi avec le beurre et une salade pendant une demi-heure.}}
{{citation|citation=Tu n’as qu’à parler de moi avec la boîte à gants ! reprit Paul, moi tu vois, hier soir j’ai ouvert le frigo, j’ai vu de la lumière, je suis rentré, et j’ai parlé de toi avec le beurre et une salade pendant une demi-heure.}}

Version du 16 novembre 2009 à 17:54

Et si c'était vrai... est un roman de Marc Lévy vainqueur du Prix Goya du premier roman qui a été adapté en film par Mark Waters en 2005.

Citations

Tu n’as qu’à parler de moi avec la boîte à gants ! reprit Paul, moi tu vois, hier soir j’ai ouvert le frigo, j’ai vu de la lumière, je suis rentré, et j’ai parlé de toi avec le beurre et une salade pendant une demi-heure.


C’est lorsque l’on donne du peu que l’on a que l’on donne vraiment.


Il n’avait absolument pas réfléchi. « Parce que c’est pendant qu’on calcule, qu’on analyse les pour et les contre que la vie passe, et qu’il ne se passe rien. »


Identifier le bonheur lorsqu’il est à ses pieds, avoir le courage et la détermination de se baisser pour le prendre dans ses bras... et le garder. C’est l’intelligence du cœur. L’intelligence sans celle du cœur ce n’est que de la logique et ça n’est pas grand-chose.


Personne n’est propriétaire du bonheur, on a parfois la chance d’avoir un bail, et d’en être locataire. Il faut être très régulier sur le paiement de ses loyers, on se fait exproprier très vite.


Chacun son monde [...], le tout est de planter ses racines dans la terre qui nous convient.


On ne peut pas tout vivre, alors l’important est de vivre l’essentiel et chacun de nous a "son essentiel".


Combien d’entre nous sont-ils capables d’oublier un instant leurs tracas pour s’émerveiller [du] spectacle inouï [« de toute cette harmonie » de la nature...] Il faut croire que la plus grande inconscience de l’homme, c’est celle de sa propre vie.


Le mieux serait que je me transforme en tablette de chocolat, là maintenant, le temps passerait plus vite et je m’inquiéterais moins dans mon papier aluminium.


Les bons souvenirs ne doivent pas être éphémères.


Seule [la] vie a de l’importance et ne [commettez] jamais l’outrage de jouer avec ce cadeau unique.


Une partie de l’art de vivre dépend de notre capacité à combattre l’impuissance.
[...] L’impuissance engendre souvent la peur.


Lutte contre [les peurs] mais ne les remplace pas par des hésitations trop longues. [...] L’incapacité à assumer ses propres choix engendre un certain mal de vivre. [Alors que] Chaque question peut devenir un jeu, chaque décision prise pourra t’apprendre à te connaître, à te comprendre.


Ce qui fait de nous des êtres humains, c’est le bonheur de partager. Celui qui ne sait pas partager est un infirme de ses émotions.


On n’invite pas la mort, elle s’impose.


Les larmes entraînent les chagrins loin de la peine.


La solitude est un jardin où l’âme se dessèche.


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