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{{Citation|Des perspectives bien plus intéressantes peuvent s'ouvrir dés lors que nous choisissons une position située en dehors de la ligne de la dichotomie. (...) Chaque fois que l'on déroule le film de la vie, l'évolution prend une voie différente de celle que nous connaissons. (...). Mais la diversité des itinéraires possibles montre à l'évidence que les résultats finaux ne peuvent être prédit au départ. (...) Cette troisième alternative ne représente ni plus, ni moins que l'essence de l'histoire. Elle a pour nom contingence - et la contingence est une chose en soit, et non la combinaison du déterminisme et du hasard.}} |
{{Citation|Des perspectives bien plus intéressantes peuvent s'ouvrir dés lors que nous choisissons une position située en dehors de la ligne de la dichotomie. (...) Chaque fois que l'on déroule le film de la vie, l'évolution prend une voie différente de celle que nous connaissons. (...). Mais la diversité des itinéraires possibles montre à l'évidence que les résultats finaux ne peuvent être prédit au départ. (...) Cette troisième alternative ne représente ni plus, ni moins que l'essence de l'histoire. Elle a pour nom contingence - et la contingence est une chose en soit, et non la combinaison du déterminisme et du hasard.}} |
Version du 1 juin 2009 à 11:17
Stephen Jay Gould, (10 septembre 1941 - 20 mai 2002) est un paléontologue américain, professeur de géologie et d'histoire des sciences à l'Université Harvard, qui a beaucoup œuvré à la vulgarisation de la théorie de l'évolution en biologie et à l'histoire des sciences depuis Darwin.
Du mythe du progrès et de "la marche au progrès"
- « « L'accroissement de la complexité dans l'histoire du vivant est le produit du hasard ». Stephen jay gould : «il n'y a pas de sens de l'évolution» », interviewé par Olivier Postel-Vinay, La Recherche, nº 301, 01/09/1997, p. sur larecherche.fr.
- La vie est belle (1989), Stephen Jay Gould, éd. Points, 1998 (ISBN 2.02.035239.7[à vérifier : ISBN invalide]), p. 34 (note de bas de page)
- La vie est belle (1989), Stephen Jay Gould, éd. Points, 1998 (ISBN 2.02.035239.7[à vérifier : ISBN invalide]), p. 34 (note de bas de page)
- La vie est belle (1989), Stephen Jay Gould, éd. Points, 1998 (ISBN 2.02.035239.7[à vérifier : ISBN invalide]), p. 35
Contingence
- La vie est belle (1997), Stephen Jay Gould, éd. Points, 1998 (ISBN 2.02.035239.7[à vérifier : ISBN invalide]), p. 56-57
- La vie est belle (1989), Stephen Jay Gould, éd. Points, 1998 (ISBN 2.02.035239.7[à vérifier : ISBN invalide]), p. 57
Science
Selon le grand géologue Charles Lyell, une hypothèse scientifique, pour être à la fois élégante et passionnante, doit aller à l'encontre du bon sens.
- Darwin et les grandes énigmes de la vie (1977), Stephen Jay Gould (trad. Daniel Lemoine), éd. Points, coll. « Sciences », 2001 (ISBN 978-2.02.006980.9[à vérifier : ISBN invalide]), chap. 14, p. 131
- Darwin et les grandes énigmes de la vie (1977), Stephen Jay Gould (trad. Daniel Lemoine), éd. Points, coll. « Sciences », 1997 (ISBN 978-2.02.006980.9[à vérifier : ISBN invalide]), partie 5, chap. 17, p. 156
Des faits nouveaux rassemblés dans le cadre d'une nouvelle théorie sont rarement le prélude à une réelle évolution de la pensée. Les faits ne « parlent pas d'eux-même » ; ils sont interprétés à la lumière de la théorie. La pensée créatrice, dans les sciences autant que dans les arts, est le moteur du changement. La science est une activité essentiellement humaine, non l'accumulation mécanique, automatique d'information objectives qui conduirait, grâce aux lois de la logique, à des conclusions inévitables.
- Darwin et les grandes énigmes de la vie (1977), Stephen Jay Gould (trad. Daniel Lemoine), éd. Points, coll. « Sciences », 2001 (ISBN 978-2.02.006980.9[à vérifier : ISBN invalide]), chap. 20, p. 173
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