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===Capitaine de la Houlette===
===Capitaine de la Houlette===
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Version du 4 avril 2009 à 21:26

Fanfan la Tulipe est un film réalisé en 1952 par Christian-Jacques. Les dialogues sont signés Henri Jeanson.

Citations

La voix de l'historien

Il était une fois un pays charmant qui s'appelait la France. Regardez-la par le petit bout de la lorgnette, c'est elle en plein XVIIIe siècle. Alors on vivait heureux, les femmes étaient faciles et les hommes se livraient à leur plaisir favori : la guerre — le seul divertissement des rois où les peuples aient leur part.
  • Ouverture du film.
  • Jean Debucourt, Fanfan la Tulipe (1952), écrit par Henri Jeanson

Fanfan

Elle ne pouvait pas se confesser avant d'avoir pêché.
  • Gérard Philipe, Fanfan la Tulipe (1952), écrit par Henri Jeanson

Capitaine de la Houlette

M'avez-vous au moins amené de belles recrues ? Je veux des visages avenants, grâcieux, enjoués, qui expriment la joie de vivre et de mourir s'il y a lieu.
  • Jean Parédès, Fanfan la Tulipe (1952), écrit par Henri Jeanson


La crédulité est la force principale des armées.
  • Jean Parédès, Fanfan la Tulipe (1952), écrit par Henri Jeanson


L'ironie doit aller de haut en bas, jamais de bas en haut.
  • Jean Parédès, Fanfan la Tulipe (1952), écrit par Henri Jeanson


Dialogues

Adeline la Franchise : Pourquoi t'ont-ils arrêté ?

Fanfan : Pour mettre fin à mes exploits.
Adeline la Franchise : Qu'est-ce que tu as fait ?
Fanfan : L'amour. Avec préméditation.
Adeline la Franchise : C'est pas un crime.
Fanfan : Si, quand il y a récidive.
Adeline la Franchise : Et où te conduisent-ils ?

Fanfan : Au supplice : ils vont me marier !
  • Gérard Philipe, Gina Lollobrigida, Fanfan la Tulipe (1952), écrit par Henri Jeanson


Capitaine de la Houlette : Un trèfle à quatre feuilles ! Vous avez les pieds dans le bonheur, mon ami. Votre nom ?

Fanfan : Fanfan la Tulipe.
Capitaine de la Houlette : La Tulipe ?
Fanfan : Oui.
Capitaine de la Houlette : Que voilà donc un joli sobriquet ! Nous avions déjà Brin-d'amour, Pied-d'alouette, Bouton-d'or, Lilas-blanc. Ça n'est pas un régiment, c'est une plate-bande ! Qu'est-ceci ?
Fanfan : C'est un souvenir, il m'a été offert par madame la marquise de Pompadour pour avoir embrassé la fille du roi après que je lui eusse sauvé la vie.
Capitaine de la Houlette : Vous avez sauvé Son Altesse ?
Fanfan : Oui.
Sergent la Franchise : Oui. Nous nous sommes portés à son secours sur la route. Des bandits.
Capitaine de la Houlette : Mes compliments ! Et Son Altesse vous a permis de l'embrasser ?

Fanfan : Oui. C'est tout naturel, puisque je dois l'épouser.
  • Gérard Philipe, Jean Parédès, Nerio Bernardi, Fanfan la Tulipe (1952), écrit par Henri Jeanson


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