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'''[[w:Antonio Porchia|Antonio Porchia]]''' ({{date|13|novembre|1888}} - {{date|9|novembre|1968}}) était un écrivain [[w:Argentina|argentin]]. Il a écrit un seul livre, ''Voces'' (Voix), traduit en français par [[w:Roger Caillois|Roger Caillois]].
'''[[w:Antonio Porchia|Antonio Porchia]]''' ({{date|13|novembre|1888}} - {{date|9|novembre|1968}}) était un écrivain [[w:Argentina|argentin]]. Il a écrit un seul livre, ''Voces'' (Voix).


=== Citations ===
=== Citations ===
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Version du 8 décembre 2008 à 03:19

Antonio Porchia (13 novembre 1888 - 9 novembre 1968) était un écrivain argentin. Il a écrit un seul livre, Voces (Voix).

Citations

Celui qui a vu tout se vider, il sait à peu près de quoi tout se remplit.
  • (es) Quien ha visto vaciarse todo, casi sabe de qué se llena todo.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 10


Ma pauvreté n'est pas totale : je manque.
  • (es) Mi pobreza no es total : falto yo.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 12


Je me demande depuis mille ans: Que ferai-je maintenant? Et je n'ai pas encore besoin de me repondre.
  • (es) Desde hace mil años que me pregunto: ¿qué haré ahora? Y aún no necesito responderme.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 22


Nous y étions, la mer et moi. Et la mer était seule et moi, j'étais seul. Un de nous deux manquait.
  • (es) Eramos yo y el mar. Y el mar estaba solo y solo yo. Uno de los dos faltaba.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 22


La raison on la perd en raisonnant.
  • (es) La razón se pierde razonando.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 28


Personne ne comprend que tu as tout donné. Tu dois en donner plus.
  • (es) Nadie entiende que lo has dado todo. Debes dar más.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 35


Oui, suffrir, c'est nécessaire, même en vain, pour ne pas vivre en vain.
  • (es) Sí, es necesario padecer, aun en vano, para no vivir en vano.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 34


Moins on croit être, plus on supporte. Et si son ne croit rien être, on supporte tout.
  • (es) Cuanto menos uno cree ser, más soporta. Y si cree ser nada, soporta todo.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 34


Si je ne croyais pas que le Soleil me regarde un peu, je ne le regarderait pas.
  • (es) Si yo no creyera que el sol me mira un poco, no lo miraría.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 40


Quand je mourrai, je ne me verai pas mourir, pour la première fois.
  • (es) Cuando yo muera, no me veré morir, por la primera vez.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 41


Blesser le coeur, c'est le créer.
  • (es) Herir al corazón es crearlo
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 57


Quand je ne serai plus rien, est-ce que je ne serai plus rien? Que je voudrais n'être plus rien quand je serai plus rien!
  • (es) Cuando no sea más nada, ¿no seré más nada?¡Cómo quisiera no ser más nada cuando no sea más nada!.
  • (es) Voces, Antonio Porchia, éd. Hachette, 1970, p. 129



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