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=== Sur l'Histoire ===
=== Sur l'Histoire ===
{{Citation|citation=Si le Duce mourrait, ce serait un grand malheur pour l'Italie. Quand on circule avec lui dans la villa Borghèse et qu'on le compare avec les bustes romains, on pense immédiatement : c'est un César ! Il a certainement en lui l'héritage d'un des grands hommes de cette époque.}}
{{Réf Livre|titre=Hitler cet inconnu (Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier)
|auteur=Adolf Hitler, notes de Henry Picker
|éditeur=Presses de la cité
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{{Citation|citation=Celui qui reste indifférent à l'Histoire est comme privé d'ouïe ou de visage. Assurément, il peut vivre ainsi, mais qu'est-ce qu'une telle vie !. }}
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|section=11 mars 1942
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{{Citation|citation=L'Angleterre a contraint Napoléon à faire la guerre, exactement comme avec nous. Si on ne le comprends pas, on ne rend pas justice à Napoléon.}}
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{{Citation|citation=A l'époque ou nos ançêtres fabriquaient des auges en pierre et des cruches en argile, autour desquelles nos archéologues font tant de bruit, on construisait une acropole en Grèce. [...] Les véritables représentants de la civilisation dans les derniers millénaires avant notre ère et dans le premier après, furent les Mediterranéens.}}
{{Citation|citation=A l'époque ou nos ançêtres fabriquaient des auges en pierre et des cruches en argile, autour desquelles nos archéologues font tant de bruit, on construisait une acropole en Grèce. [...] Les véritables représentants de la civilisation dans les derniers millénaires avant notre ère et dans le premier après, furent les Mediterranéens.}}

Version du 29 décembre 2007 à 19:05

Adolf Hitler

Adolf Hitler, né le 20 avril 1889 à Braunau am Inn, en Autriche, décédé le 30 avril 1945 à Berlin, est un homme politique allemand qui instaure la dictature du Troisième Reich. Il fut à l'origine de la Seconde Guerre mondiale.

Citations

Sur la Religion

Christianisme

Le germanisme dut ainsi rétrograder lentement, mais sans arrêt, devant cet abus sournois de la religion et faute de toute défense suffisante.[...] Les efforts anti-allemands des Habsbourg ne trouvèrent point, surtout parmi le clergé supérieur, l'opposition qui s'imposait, et la défense même des intérêts allemands fut complètement négligée. L'impression générale ne pouvait pas varier : le clergé catholique tel quel causait un brutal préjudice aux droits des Allemands. Il paraissait donc que l'Eglise non seulement n'était pas de cœur avec le peuple allemand, mais qu'elle se rangeait de la façon la plus injuste aux côtés de ses adversaires. La raison de tout le mal, d'après Schoenerer, résidait dans le fait que la tête de l'Eglise catholique ne se trouvait point en Allemagne ; et c'était là une cause suffisante de son attitude hostile aux intérêts de notre nation.
  • Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. Nouvelles Editions Latines, 1934, p. 112-113


C'est le christianisme qui a abattu Rome, pas les Germains ni les Huns.
  • Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1952, t. 1, 27 janvier 1942, p. 248


Le christianisme est une rébellion contre la loi naturelle, une protestation contre la nature. Poussé à sa logique extrême, le christianisme signifierait la culture systématique de l’échec humain. Mais il n’est pas question que le national-socialisme se mette un jour à singer la religion en établissant une forme de culte. Sa seule ambition doit être de construire scientifiquement une doctrine qui ne soit rien de plus qu’un hommage à la raison [...]

Il n’est donc pas opportun de nous lancer maintenant dans un combat avec les Églises. Le mieux est de laisser le christianisme mourir de mort naturelle. Une mort lente a quelque chose d’apaisant. Le dogme du christianisme s’effrite devant les progrès de la science. La religion devra faire de plus en plus de concessions. Les mythes se délabrent peu à peu. Il ne reste plus qu’à prouver que dans la nature il n’existe aucune frontière entre l’organique et l’inorganique. Quand la connaissance de l’univers se sera largement répandue, quand la plupart des hommes sauront que les étoiles ne sont pas des sources de lumière mais des mondes, peut-être des mondes habités comme le nôtre, alors la doctrine chrétienne sera convaincue d’absurdité [...]

Tout bien considéré, nous n’avons aucune raison de souhaiter que les Italiens et les Espagnols se libèrent de la drogue du christianisme. Soyons les seuls à être immunisés contre cette maladie.
  • Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1952, t. 1, 10-14 octobre 1941, p. 46-55


Islam

Je pourrais encore m'enflammer pour le paradis des musulmans, mais que dire du fade paradis des chrétiens.
  • Hitler cet inconnu (Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier), Adolf Hitler, notes de Henry Picker, éd. Presses de la cité, 1969, 13 décembre 1941, p. 168


Je suis sur le point de devenir une figure religieuse [...] les Arabes et les Marocains évoquent déjà mon nom dans leurs prières.
  • Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1952, t. 1, 13 janvier 1942, p. 198


Si à Poitiers Charles Martel avait été battu, la face du monde eût changé. Puisque le monde était déjà voué à l’influence judaïque (et son produit, le christianisme, est une chose si fade!) il eût beaucoup mieux valu que le mahométisme triomphât. Cette religion récompense l’héroïsme, elle promet aux guerriers les joies du septième ciel… Animés par un tel esprit, les Germains eussent conquis le monde. C’est le christianisme qui les en a empéchés.
  • Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1954, t. 2, 28 août 1942, p. 297


Les peuples régis par l'Islam seront toujours plus proches de nous que la France, par exemple, en dépit de la parenté du sang qui coule dans nos veines. Le malheur veut que la France ait dégénéré au cours des siècles et que ses élites aient été subverties par l'esprit juif. Cela a pris de telles proportions que cela est irréparable. La France est condamnée à faire une politique juive.
  • Testament politique d'Hitler, Adolf Hitler, notes de Martin Bormann, préface de Trevor-Roper, éd. Fayard, 1959, 2 avril 1945, p. 180


Si les Arabes avaient gagné cette bataille (Poitiers), le monde entier serait aujourd'hui musulman. Ils auraient en effet imposé aux peuples germaniques une religion dont le dogme, propager la foi par l'épée et soumettre tous les peuples à cette foi, était comme fait pour les Germains [...] pour finir, ce ne sont pas les Arabes mais les Germains, convertis à la foi musulmane, qui auraient été à la tête de cet empire mondial islamique [...] Nous avons la malchance de ne pas posséder la bonne religion [...] La religion musulmane serait bien plus appropriée que ce christianisme, avec sa tolérance amollissante.
  • Au coeur du troisième Reich, Albert Speer, propos d'Adolf Hitler, éd. Fayard, 1971, p. 138


On doit garantir à tous les membres musulmans des Waffen-SS et de la police le droit indiscutable, prévu par leur religion, à ne pas manger de la viande de porc et à ne pas boire de boissons alcooliques. Il faudra leur garantir des menus équivalents. [...] Je ne veux pas que, par la stupidité et l'étroitesse d'esprit de quelques individus isolés, un seul de ces héroïques volontaires eut à ressentir une gêne et à se croire privé des droits qui leurs ont été assurés. [...] J’ordonne que chaque infraction à ces dispositions soit punie sans la moindre hésitation et qu'on m'en rende compte
  • Uniform Organisation and History of the Waffen-SS, Roger James Bender et Hugh Page Taylor, propos d'Adolf Hitler, éd. Bender publ, 1971, p. 144-145


Judaïsme

Notre racisme n'est agressif qu'à l'égard de la race juive. Nous parlons de race juive par commodité de langage, car il n'y a pas, à proprement parler, et du point de vue de la génétique, de race juive [...] La race juive est avant tout une race mentale [...] Une race mentale, c'est quelque chose de plus solide, de plus durable qu'une race tout court. Transplantez un Allemand aux Etats Unis, vous en faites un américain. Le Juif, où qu'il aille, demeure un juif. C'est un être par nature inassimilable. Et c'est ce caractère même qui le rend impropre à l'assimilation, qui définit sa race. Voilà une preuve de la supériorité de l'esprit sur la chair !
  • Testament politique d'Hitler, Adolf Hitler, notes de Martin Bormann, préface de Trevor-Roper, éd. Fayard, 1959, 13 février 1945, p. 83


Religion japonaise

Cette philosophie, qui est une des raisons principales de leur succès, n'a pu se maintenir comme principe d'existence du peuple que parce que celui-ci est resté protégé contre le poison du christianisme. Comme dans l'Islam, la religion japonaise est dépourvue de tout terrorisme et contient seulement l'espoir de la félicité. Le terrorisme est seulement une idée juive répandue par le christianisme.
  • Hitler cet inconnu (Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier), Adolf Hitler, notes de Henry Picker, éd. Presses de la cité, 1969, 4 avril 1942, p. 274


Citations sur Hitler et la religion

Hitler avait un faible, c’est certain, pour la religion mahométane. Lui, d’origine catholique, éprouvait un grand intérêt pour l’Islam et sa civilisation. Il regrettait presque que ses armées n’eussent pas triomphé de Charles Martel à Poitiers [...] Hitler trouvait dans la religion mahométane plus de poésie et de tolérance que dans un certain sectarisme chrétien[...] C’est chez eux, dans leur milieu naturel, au sein de leur race, sur le sol millénaire de leurs peuples qu’ils (les peuples de l’Islam) avaient à s’épanouir, à retrouver ou à exalter leurs caractéristiques civilisatrices. Notre racisme tendait à les encourager avec force dans ce sens là. Avec joie nous les eussions aidés [...] C’est ce qui explique l’intérêt tout spécial que Hitler portait aux peuples de l’Islam, livrés trop souvent à la domination et au mépris des négriers étrangers qui avaient imposé à ces pays hautement civilisés leur langue et leurs mœurs. Sans les apports de ces peuples anciens, l’Europe eût sans doute pataugé dans les balbutiements d’un Haut Moyen Age qui ne se souvenait même plus de l’Athènes de Socrate et de la Rome d’Auguste. C’est l’Islam qui nous avait apporté, à Cordoue, Aristote voilà plus de dix siècles [...] Jamais donc le monde musulman n’aurait eu en Hitler un rival, et moins encore un conquérant. Fidèle aux grands enseignements de Frédéric de Hohenstaufen, il serait l’ami des peuples musulmans à la recherche de leur redressement.
  • Hitler et l'Islam, Léon Degrelle, éd. revue « Rebelle », numéro 2, automne 1984, p. 107-113


La religion d'Hitler est la plus proche qui soit de l'islamisme, réaliste, terrestre, promettant le maximum de récompenses dans cette vie, mais avec ce Walhalla façon musulmane avec lequel les Allemands méritoires peuvent entrer et continuer à goûter le plaisir. Comme l'islamisme, elle prêche la vertu de l'épée.
  • C.G. Jung Speaking: Interviews and Encounters, Carl Gustav Jung, éd. Princeton University Press, 1987, p. 94


D'autres enfin, et c'est évidemment le courant dominant, celui auquel Hitler s'associe, se bornent à une critique acerbe du christianisme, conçu comme une religion orientale, déformée sous l'action de saint Paul, marquée du sceau des Juifs, une religion de dégénérés et de malades, dont la morale, sous le nom de charité, de pitié, de résignation, de pardon des injures, d'amour du prochain, enseigne la faiblesse, la peur, la lâcheté, les scrupules, le déshonneur, s'oppose à toutes les vertus martiales et achemine les peuples à l'esclavage.
  • Souvenirs d'une ambassade à Berlin (de 1931 à 1938), André François-Poncet, éd. Flammarion, 1946, p. 80


Nous ne savons pas si Hitler est sur le point de fonder un nouvel islam. Il est d’ores et déjà sur la voie ; il ressemble à Mahomet. L’émotion en Allemagne est islamique, guerrière et islamique. Ils sont tous ivres d’un dieu farouche.
  • The Symbolic Life (1939), Carl Gustav Jung, éd. Princeton University Press, 1977, p. 281


Hitler pourrait bien évoquer la figure d’un Mahomet.
  • Mon témoignage sur Adolf Hitler, Hans F. K. Günther, éd. Pardès, 1990, p. 42


Sur l'étranger

Ils sont d'une outrecuidance inouïe ces Anglais, mais je ne les admire pas moins; nous avons beaucoup à apprendre à cet égard.
  • Hitler cet inconnu (Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier), Adolf Hitler, notes de Henry Picker, éd. Presses de la cité, 1969, 10 septembre 1941, p. 156


Il lui était possible (à l'Angleterre), si elle l'avait voulu, de mettre fin à la guerre au début de 1941. Elle avait affirmé sa volonté de résistance dans le ciel de Londres, elle avait à son actif les humiliantes défaites des Italiens en Afrique du Nord. L'Angleterre traditionnelle eût fait la paix. Mais les Juifs ne l'ont pas toléré. Ses hommes de main, Churchill et Roosevelt, étaient là pour l'empêcher. Cette paix pourtant eût permis de tenir les Américains à l'écart des affaires de l'Europe. Celle-ci sous la direction du Reich, se serait rapidement unifiée. Le poison juif éliminé, cela devenait chose facile. La France et l'Italie, battues à tour de rôle et à quelques mois de distance par les deux puissances germaniques, s'en seraient tirées à bon compte. L'une et l'autre auraient dû renoncer à une politique de grandeur hors de saison. Elles eussent renoncé du même coup à leurs prétentions en Afrique du Nord et dans le Proche-Orient, ce qui eût permis à l'Europe de faire une audacieuse politique d'amitié à l'égard de l'Islam. Quant à l'Angleterre, débarrassée de ses soucis européens,elle pouvait se consacrer entièrement au salut de l'Empire. L'Allemagne enfin, ses arrières étant assurés, pouvait se jeter à corps perdu dans ce qui constituait sa tâche essentielle, le but de ma vie et la raison d'être du national-socialisme: l'écrasement du bolchevisme. Cela entraînait comme conséquence la conquête des espaces, à l'Est, qui doivent assurer l'avenir du peuple allemand.
  • Testament politique d'Hitler, Adolf Hitler, notes de Martin Bormann, préface de Trevor-Roper, éd. Fayard, 1959, 4 février 1945, p. 55


Les blancs ont toutefois apporté quelque chose à ces peuples (colonisés), le pire qu'ils pussent leur apporter, les plaies du monde qui est le nôtre: le matérialisme, le fanatisme, l'alcoolisme et la syphilis. Pour le reste, ce que ces peuples possédaient en propre étant supérieur à ce que nous pouvions leur donner, ils sont demeurés eux-mêmes [...] Une seule réussite à l'actif des colonisateurs: ils ont partout suscité la haine. Cette haine qui pousse tous ces peuples, réveillés par nous de leur sommeil, à nous chasser. Il semble même qu'ils ne se soient réveillés que pour cela !
  • Testament politique d'Hitler, Adolf Hitler, notes de Martin Bormann, préface de Trevor-Roper, éd. Fayard, 1959, 7 février 1945, p. 71-72


A aucun prix nous ne devions jouer la carte française contre les peuples qui subissaient le joug de la France. Nous devions au contraire les aider à se libérer de cette tutelle, les y pousser au besoin. Rien ne nous empêchait, en 1940, de faire ce geste dans le Proche-Orient et en Afrique du Nord. Eh bien, notre diplomatie s'est appliquée à consolider le pouvoir des Français aussi bien en Syrie qu'en Tunisie, en Algérie et au Maroc. Nos gentlemen préféraient certainement entretenir des rapports avec des Français distingués plutôt qu'avec des révolutionnaires hirsutes, avec des officiers à badine qui ne songeaient qu'à nous flouer plutôt qu'avec les Arabes - qui eussent été pour nous de loyaux partenaires.
  • Testament politique d'Hitler, Adolf Hitler, notes de Martin Bormann, préface de Trevor-Roper, éd. Fayard, 1959, 14 février 1945, p. 85


L'allié italien nous a gênés presque partout. C'est ce qui nous a empêchés, en Afrique du Nord, par exemple, de faire une politique révolutionnaire [...] Seuls, nous aurions pu émanciper les pays musulmans dominés par la France. Cela aurait eu un retentissement énorme en Égypte et dans le Proche-Orient asservis par les Anglais. D'avoir notre sort lié à celui des Italiens, cela rendait une telle politique impossible. Tout l'Islam vibrait à l'annonce de nos victoires. Les Égyptiens, les Irakiens et le Proche-Orient tout entier étaient prêts à se soulever. Que pouvions-nous faire pour les aider, pour les pousser même, comme c'eût été notre intérêt et notre devoir. La présence à nos côtés des Italiens nous paralysait, et elle créait un malaise chez nos amis de l'Islam, car ils voyaient en nous des complices, volontaires ou non, de leurs oppresseurs [...] Le souvenir des barbares représailles exercées contre les Senoussis y est toujours vivant. Et d'autre part la ridicule prétention du Duce d'être considéré comme le "Glaive de l'Islam" entretient encore le long ricanement qu'elle suscita avant la guerre. Ce titre qui convient à Mahomet et à un grand conquérant comme Omar, Mussolini se l'était fait donner par quelques pauvres bougres, qu'il avait payés ou terrorisés. Il y avait une grande politique à faire à l'égard de l'Islam. C'est raté - comme tant d'autres choses que nous avons ratées par fidélité à l'alliance italienne! Les Italiens, sur ce théâtre d'opérations, nous ont donc empêchés de jouer l'une de nos meilleures cartes: qui consistait à émanciper tous les protégés français et à soulever les pays opprimés par les Britanniques. Cette politique aurait suscité l'enthousiasme dans tout l'Islam. C'est en effet une particularité du monde musulman que ce qui touche les uns, en bien ou en mal, y est ressenti par tous les autres, des rives de l'Atlantique à celles du Pacifique.
  • Testament politique d'Hitler, Adolf Hitler, notes de Martin Bormann, préface de Trevor-Roper, éd. Fayard, 1959, 17 février 1945, p. 100


Sur la famille et les femmes

A coté de celui de la femme, l'univers de l'homme est très vaste. Il appartient avant tout à son devoir et ne pense aux femmes que par intermittence. L'homme constitue l'univers de la femme. C'est aux autres choses qu'elle pense seulement par intermittence. La différence est considérable.
  • Hitler cet inconnu (Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier), Adolf Hitler, notes de Henry Picker, éd. Presses de la cité, 1969, 10 mars 1942, p. 215


Sur l'Histoire

Si le Duce mourrait, ce serait un grand malheur pour l'Italie. Quand on circule avec lui dans la villa Borghèse et qu'on le compare avec les bustes romains, on pense immédiatement : c'est un César ! Il a certainement en lui l'héritage d'un des grands hommes de cette époque.
  • Hitler cet inconnu (Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier), Adolf Hitler, notes de Henry Picker, éd. Presses de la cité, 1969, 27 juillet 1941, p. 142


Celui qui reste indifférent à l'Histoire est comme privé d'ouïe ou de visage. Assurément, il peut vivre ainsi, mais qu'est-ce qu'une telle vie !.
  • Hitler cet inconnu (Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier), Adolf Hitler, notes de Henry Picker, éd. Presses de la cité, 1969, 27 juillet 1941, p. 143


Berlin, en tant que capitale mondiale, ne pourra se comparer qu'à l'ancienne Egypte, à Babylone ou à Rome; qu'est-ce que Londres, qu'est-ce que Paris à côté de cela ?
  • Hitler cet inconnu (Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier), Adolf Hitler, notes de Henry Picker, éd. Presses de la cité, 1969, 11 mars 1942, p. 218


L'Angleterre a contraint Napoléon à faire la guerre, exactement comme avec nous. Si on ne le comprends pas, on ne rend pas justice à Napoléon.
  • Hitler cet inconnu (Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier), Adolf Hitler, notes de Henry Picker, éd. Presses de la cité, 1969, 23 mars 1942, p. 222


A l'époque ou nos ançêtres fabriquaient des auges en pierre et des cruches en argile, autour desquelles nos archéologues font tant de bruit, on construisait une acropole en Grèce. [...] Les véritables représentants de la civilisation dans les derniers millénaires avant notre ère et dans le premier après, furent les Mediterranéens.
  • Hitler cet inconnu (Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier), Adolf Hitler, notes de Henry Picker, éd. Presses de la cité, 1969, 7 juillet 1942, p. 503


L'époque arabe fut l'âge d'or de l'Espagne la plus civilisée. Puis vint l'époque des persécutions toujours recommencées.
  • Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1954, 1er août 1942, p. 227


La civilisation a été l’un des éléments constitutifs de la puissance de l’Empire romain. Ce fut aussi le cas en Espagne, sous la domination des Arabes. La civilisation atteignit là un degré qu’elle a rarement atteint. Vraiment une époque d’humanisme intégral, où régna le plus pur esprit chevaleresque. L’intrusion du christianisme a amené le triomphe de la barbarie. L’esprit chevaleresque des Castillans est en réalité un héritage des Arabes.
  • Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1954, 28 août 1942, p. 297


Sur les animaux

Je suis un ami des bêtes et j'aime particulièrement les chiens. [...] Quelles bêtes merveilleuses : intelligentes, attachées à leur maître, braves, sensibles et belles ! Un chien d'aveugle est une des choses les plus émouvantes qui soient. Il est plus attaché à l'homme que n'importe quel autre de son espèce. S'il va voir une amie, il revient tout de suite et avec la conscience mauvaise.
  • Hitler cet inconnu (Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier), Adolf Hitler, notes de Henry Picker, éd. Presses de la cité, 1969, 26 janvier 1942, p. 180


Sur l'art, la musique, la litérature

Les guerres passent. Seules les oeuvres de la culture ne passent pas. D'ou mon amour de l'art. La musique, l'architecture ne sont-elles pas les forces qui montrent le chemin à l'humanité montante ? Quand j'entends du Wagner, il me semble percevoir le rythme du monde antérieur.
  • Hitler cet inconnu (Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier), Adolf Hitler, notes de Henry Picker, éd. Presses de la cité, 1969, 26 janvier 1942, p. 183


Sur la philosophie

C'est un fait que nous sommes de faibles créature, mais aussi qu'il existe une force créatrice. Vouloir le nier, c'est de la sotise. Celui qui croit à quelque chose de faux est encore au-dessus de celui qui ne croit en rien.
  • Hitler cet inconnu (Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier), Adolf Hitler, notes de Henry Picker, éd. Presses de la cité, 1969, 24 octobre 1941, p. 162


Aussi faut-il étudier les lois de la Nature pour ne pas agir contre elle, autrement, ce serait s'insurger contre le ciel. S'il me faut croire à un ordre divin, c'est celui-ci : préserver l'espèce.
  • Hitler cet inconnu (Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier), Adolf Hitler, notes de Henry Picker, éd. Presses de la cité, 1969, 1er décembre 1941, p. 166


Antiphaties sociales et philosophiques

Aucune classe n'est aussi stupide que cette prétendue bourgeoisie dans les affaires politiques.
  • Hitler cet inconnu (Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier), Adolf Hitler, notes de Henry Picker, éd. Presses de la cité, 1969, 15 mai 1942, p. 392


Sur la biologie (pseudo-darwinisme)

Il n'existe aucun être, aucune substance mais, non plus, aucune institution humaine qui ne finisse par vieillir. Cependant, chaque institution doit se croire éternelle, sous peine de s'abandonner elle-même. L'acier le plus dur s'amollit, tous les éléments se désagrègent. Aussi surement que la terre aura sa fin, toutes les institutions trouvent un jour la leur.
  • Hitler cet inconnu (Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier), Adolf Hitler, notes de Henry Picker, éd. Presses de la cité, 1969, 24 octobre 1941, p. 158


D'après la loi éternelle de la nature, le sol appartient à celui qui le conquiert parce que les anciennes frontières n'offrent plus assez d'espaces à l'accroissement de son peuple.
  • Hitler cet inconnu (Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier), Adolf Hitler, notes de Henry Picker, éd. Presses de la cité, 1969, 28 janvier 1942, p. 188


Citations sur Hitler

 Ce que le très chrétien bourgeois du XXe siècle ne pardonne pas à Hitler, ce n’est pas le crime en soi, ce n’est pas l’humiliation de l’homme en soi, c’est le crime contre l’homme blanc [...] d’avoir appliqué à l’Europe des procédés colonialistes dont ne relevaient jusqu’ici que les Arabes, les coolies de l’Inde et les nègres d’Afrique.


Hitler ne fut que le révélateur d'une sauvagerie raciste installée et remontant bien avant le XXe siècle, une sauvagerie raciste, un système d'anéantissement de l'homme dont, jusqu'alors, seuls les peuples colonisés avaient fait l'expérience.
  • La férocité blanche, des non-blancs aux non-aryens, Rosa Amelia Plumelle-Uribe, éd. Albin -Michel, 2001, p. 30


Le passage accompli par Hitler de la "race blanche" à la "race aryenne" bouleversa l'assurance confortable que, jusqu'alors, chaque Blanc pouvait retirer de son appartenance à la race des seigneurs. Il assena un coup mortel à cette merveilleuse conviction intime d'être supérieur du seul fait d'appartenir à la race blanche.
  • La férocité blanche, des non-blancs aux non-aryens, Rosa Amelia Plumelle-Uribe, éd. Albin -Michel, 2001, p. 163


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