« Charles Baudelaire » : différence entre les versions
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=== ''Petits Poèmes en prose'' === |
=== ''Petits Poèmes en prose'' === |
Version du 23 septembre 2007 à 22:50
Charles Baudelaire (9 avril 1821 — 31 août 1867) est un poète et traducteur français.
Citations
Les Fleurs du mal, 1861
- « Les Fleurs du mal », dans Œuvres complètes (1980), Charles Baudelaire, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2004, p. 4 (texte intégral sur Wikisource)
Le Poète est semblable au princes des nuées
Qui hante la tempête et se rit de l'archer ;
Exilé sur le sol au milieu des huées,
Ses ailes de géant l'empêchent de marcher.
- Les Fleurs du mal (1857), Charles Baudelaire, éd. Librairie Garnier Frères, 1949, partie Spleen et idéal, II (L'Albatros), p. 12 (texte intégral sur Wikisource)
La Nature est un temple où de vivants piliers
Laissent parfois sortir de confuses paroles ;
L’homme y passe à travers des forêts de symboles
Qui l’observent avec des regards familiers.
- « Les Fleurs du mal », dans Œuvres complètes (1980), Charles Baudelaire, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2004, p. 8 (texte intégral sur Wikisource)
- « Les Fleurs du mal », dans Œuvres complètes (1980), Charles Baudelaire, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2004, p. 14 (texte intégral sur Wikisource)
Que les soleils sont beaux dans les chaudes soirées !
Que l'espace est profond ! Que le cœur est puissant !
- Les Fleurs du mal, Charles Baudelaire, éd. Poulet-Malassis et De Broise, 1857, section « Spleen et idéal », poème « Le Balcon », p. 82 (texte intégral sur Wikisource)
Petits Poèmes en prose
- La phrase complète est : « Mes chers frères, n'oubliez jamais, quand vous entendrez vanter le progrès des lumières, que la plus belle des ruses du Diable est de vous persuader qu'il n'existe pas ! » (les guillemets sont dans le poème). Une formule similaire est reprise par le personnage de Verbal Kint (Kevin Spacey) dans le film Usual Suspects (1995).
- Le Spleen de Paris (Petits Poèmes en prose) (1862), Charles Baudelaire, éd. Librairie générale française, 2003, p. 150 (texte intégral sur Wikisource)
- « Petits Poèmes en prose », dans Œuvres complètes (1980), Charles Baudelaire, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2004, p. 163 (texte intégral sur Wikisource)
- « Petits Poèmes en prose », dans Œuvres complètes (1980), Charles Baudelaire, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2004, p. 168 (texte intégral sur Wikisource)
- « Petits Poèmes en prose », dans Œuvres complètes (1980), Charles Baudelaire, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2004, p. 184 (texte intégral sur Wikisource)
Salon de 1859
Sans elle, toutes les facultés, si solides ou si aiguisées qu'elles soient, sont comme si elles n'étaient pas, tandis que la faiblesse de quelques facultés secondaires, excitées par une imagination vigoureuse, est un malheur secondaire. Aucune ne peut se passer d'elle, et elle peut suppléer quelques-unes. Souvent ce que celles-ci cherchent et ne trouvent qu'après les essais successifs de plusieurs méthodes non adaptées à la nature des choses, fièrement et simplement elle le devine. Enfin elle joue un rôle puissant même dans la morale; car, permettez-moi d'aller jusque-là, qu'est-ce que la vertu sans imagination ?
- « Salon de 1859 », dans Œuvres complètes (1980), Charles Baudelaire, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2004, p. 751 (texte intégral sur Wikisource)
Les Paradis artificiels, 1860
- « Les Paradis artificiels », dans Œuvres complètes (1980), Charles Baudelaire, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2004, p. 233 (texte intégral sur Wikisource)
- Dulce balneum suavibus
- Unguentatum odoribus,
y a contracté une délicatesse d’épiderme et une distinction d’accent, une espèce d’androgynéité, sans lesquelles le génie le plus âpre et le plus viril reste, relativement à la perfection dans l’art, un être incomplet.
- « Les Paradis artificiels », dans Œuvres complètes (1980), Charles Baudelaire, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2004, p. 293 (texte intégral sur Wikisource)
Correspondance
- Correspondance (1865), Charles Baudelaire, éd. Gallimard, coll. « Folio classique », 2000, p. 316
Hygiène
- « Hygiène », dans Œuvres complètes (1980), Charles Baudelaire, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2004, p. 401 (texte intégral sur Wikisource)
Mon cœur mis à nu
- « Mon cœur mis à nu », dans Œuvres complètes (1980), Charles Baudelaire, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2004, p. 406 (texte intégral sur Wikisource)
- « Mon cœur mis à nu », dans Œuvres complètes (1980), Charles Baudelaire, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2004, p. 407 (texte intégral sur Wikisource)
- « Mon cœur mis à nu », dans Œuvres complètes (1980), Charles Baudelaire, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2004, p. 408 (texte intégral sur Wikisource)
- « Mon cœur mis à nu », dans Œuvres complètes (1980), Charles Baudelaire, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2004, p. 410 (texte intégral sur Wikisource)
- « Mon cœur mis à nu », dans Œuvres complètes (1980), Charles Baudelaire, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2004, p. 415 (texte intégral sur Wikisource)
Le reste est fait pour le fouet.
- « Mon cœur mis à nu », dans Œuvres complètes (1980), Charles Baudelaire, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2004, p. 416 (texte intégral sur Wikisource)
- « Mon cœur mis à nu », dans Journaux intimes, Charles Baudelaire, éd. G. Crès, 1920, XXXVI, p. 54 (voir la fiche de référence de l'œuvre) (texte intégral sur Wikisource)
Tout est commun, même Dieu.
- « Mon cœur mis à nu », dans Journaux intimes, Charles Baudelaire, éd. G. Crès, 1920, LXXXIV, p. 84 (voir la fiche de référence de l'œuvre) (texte intégral sur Wikisource)
Fusées
- « Fusées », dans Œuvres complètes (1980), Charles Baudelaire, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2004, V, p. 391 (texte intégral sur Wikisource)
- « Fusées », dans Œuvres complètes (1980), Charles Baudelaire, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2004, XII, p. 396 (texte intégral sur Wikisource)
Le Peintre de la vie moderne, 1863
- Écrits esthétiques (1863), Charles Baudelaire, éd. Christian Bourgeois, coll. « 10/18 », 1986, partie Le Peintre de la vie moderne, chap. La Modernité, p. 372-373 (texte intégral sur Wikisource)
L'Art romantique
- L'Art romantique, Charles Baudelaire, éd. Michel Lévy, 1868, partie VII (« L'école païenne »), p. 308 (texte intégral sur Wikisource)
Au sujet de Charles Baudelaire
Philippe Muray, Le XIXe siècle à travers les âges
- Le XIXe siècle à travers les âges (1984), Philippe Muray, éd. Gallimard, coll. « Tel », 1999, partie L'art de la fin, p. 379
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