« Candide, ou l'Optimisme » : différence entre les versions
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Version du 3 mars 2007 à 21:02
Candide, ou l'optimisme, plus communément appelé Candide est un conte philosophique écrit par Voltaire, publié en 1759.
Citations
Rien n'était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées. Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons formaient une harmonie telle qu'il n'y en eut jamais en enfer.
- Candide ou l'Optimisme (1759), Voltaire, éd. Larousse, coll. « Petits classiques », 2000 (ISBN 2-03-588121-8), chap. 3, p. 42 (texte intégral sur Wikisource)
- La citation complète est : « Vous savez que ces deux nations sont en guerre pour quelques arpents de neige vers le Canada, et qu'elles dépensent pour cette belle guerre beaucoup plus que tout le Canada ne vaut. » Parce qu'elle exprime la vision caricaturale qui avait cours en certains milieux de la France métropolitaine de l'époque, cette expression s'est intégrée à la culture populaire canadienne et elle est régulièrement citée par les Canadiens. (voir l'article sur Wikipédia)
- Candide, ou l'Optimisme (1759), Voltaire, éd. de la Sirène, 1913, p. 181 (texte intégral sur Wikisource)
Tous les événements sont enchainés dans le meilleur des mondes possibles : car enfin si vous n'aviez pas été chassé d'un beau château à grands coups de pieds dans le derrière pour l'amour de mademoiselle Cunégonde, si vous n'aviez pas été mis à l'Inquisition, si vous n'aviez pas couru l'Amérique à pied, si vous n'aviez pas donné un bon coup d'épée au baron, si vous n'aviez pas perdu tous vos moutons du bon pays d'Eldorado, vous ne mangeriez pas ici des cédrats confits et des pistaches. — Cela est bien dit, répondit Candide, mais il faut cultiver notre jardin.
- Candide, ou l'Optimisme (1759), Voltaire, éd. Pocket, 2004, chap. 30, p. 154 (texte intégral sur Wikisource)
Le bon Pangloss m’avait souvent prouvé que les biens de la terre sont communs à tous les hommes, que chacun y a un droit.
- Micromégas, Zadig, Candide (1759), Voltaire, éd. GF Flammarion, 1994, p. 168 (texte intégral sur Wikisource)
Nous allons dans un autre univers.
- Micromégas, Zadig, Candide (1759), Voltaire, éd. GF Flammarion, 1994, p. 169 (texte intégral sur Wikisource)
Quand on n’a pas son compte dans un monde, on le trouve dans un autre.
- Micromégas, Zadig, Candide (1759), Voltaire, éd. GF Flammarion, 1994, p. 180 (texte intégral sur Wikisource)
Il est certain qu’il faut voyager.
- Micromégas, Zadig, Candide (1759), Voltaire, éd. GF Flammarion, 1994, p. 194 (texte intégral sur Wikisource)
Comme les richesses de ce monde sont perissables ; il n’y a rien de solide que la vertu et le bonheur.
- Micromégas, Zadig, Candide (1759), Voltaire, éd. GF Flammarion, 1994, p. 198 (texte intégral sur Wikisource)
Mais à quelle fin ce monde a-t-il donc été formé ? […] pour nous faire enrager.
- Micromégas, Zadig, Candide (1759), Voltaire, éd. GF Flammarion, 1994, p. 206 (texte intégral sur Wikisource)
L’homme était né pour vivre dans les convulsions de l’inquiétude, ou dans la léthargie de l’ennui.
- Micromégas, Zadig, Candide (1759), Voltaire, éd. GF Flammarion, 1994, p. 240 (texte intégral sur Wikisource)
Ceux qui se mêlent des affaires publiques périssent quelquefois misérablement.
- Micromégas, Zadig, Candide (1759), Voltaire, éd. GF Flammarion, 1994, p. 241 (texte intégral sur Wikisource)
Le travail éloigne de nous trois grands maux, l’ennui, le vice, et le besoin.
- Micromégas, Zadig, Candide (1759), Voltaire, éd. GF Flammarion, 1994, p. 242 (texte intégral sur Wikisource)
L’homme n’est pas né pour le repos.
- Micromégas, Zadig, Candide (1759), Voltaire, éd. GF Flammarion, 1994, p. 242 (texte intégral sur Wikisource)
Il faut cultiver notre jardin
- Micromégas, Zadig, Candide (1759), Voltaire, éd. GF Flammarion, 1994, p. 242 (texte intégral sur Wikisource)