« Candide, ou l'Optimisme » : différence entre les versions

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{{réf Livre|auteur=Voltaire|titre=Candide, ou l'Optimisme|éditeur=Pocket|année=2004|page=154|chapitre=30|année d'origine=1759|s=Candide, ou l’Optimisme}}
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{{citation
== Avec référence ==
{{citation|* Le bon Pangloss m’avait souvent prouvé que les biens de la terre sont communs à tous les hommes, que chacun y a un droit.}}
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{{citation|* Quand on n’a pas son compte dans un monde, on le trouve dans un autre.}} Page 180
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{{citation|* Le pays où toute va bien : car il faut absolument qu’il y en ait un de cette espèce.}} Page 192


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{{citation|* Il est certain qu’il faut voyager.}} Page 194
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{{citation|* '''Comme les richesses de ce monde sont perissables ; il n’y a rien de solide que la vertu et le bonheur.'''}} Page 198


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{{citation|* Ce prix que vous mangez du sucre en Europe.}} Page 198
|citation=Mais à quelle fin ce monde a-t-il donc été formé ? […] pour nous faire enrager.
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{{citation|* Du mal moral et du mal physique.}} Page 203
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{{citation
{{citation|* Mais à quelle fin ce monde a-t-il donc été formé ? […] pour nous faire enrager […]}} Page 206
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{{citation
{{citation|* '''Leibniz ne pouvant pas avoir tort, et l’harmonie préétablie étant d’ailleurs la plus belle chose du monde, aussi bien que le plein et la matière subtile.'''}} Page 237
|citation=Le travail éloigne de nous trois grands maux, l’ennui, le vice, et le besoin.

}}
{{citation|* L’homme était né pour vivre dans les convulsions de l’inquiétude, ou dans la léthargie de l’ennui.}} Page 240
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{{citation|* Ceux qui se mêlent des affaires publiques périssent quelquefois misérablement.}} Page 241
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{{citation|* '''[…] le travail éloigne de nous trois grands maux, l’ennui, le vice, et le besoin.'''}} Page 242
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{{citation|* [...] l’homme n’est pas né pour le repos.}} Page 242
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{{citation|* […] chacun se mit á exercer ses talents.}} Page 242

{{citation|[…] frère Giroflée […] devint honnête homme.}}
{{réf Livre|auteur=Voltaire|titre=Micromégas, Zadig, Candide|éditeur=GF Flammarion|année=1994|page=242|chapitre=|année d'origine=1759|s=Candide, ou l’Optimisme}}

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[[Catégorie:Conte philosophique]]
[[Catégorie:Conte philosophique]]

Version du 15 février 2007 à 20:37

Candide, ou l'optimisme, plus communément appelé Candide est un conte philosophique écrit par Voltaire, publié en 1759.

Citations

Rien n'était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées. Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons formaient une harmonie telle qu'il n'y en eut jamais en enfer.


  • La citation complète est : « Vous savez que ces deux nations sont en guerre pour quelques arpents de neige vers le Canada, et qu'elles dépensent pour cette belle guerre beaucoup plus que tout le Canada ne vaut. » Parce qu'elle exprime la vision caricaturale qui avait cours en certains milieux de la France métropolitaine de l'époque, cette expression s'est intégrée à la culture populaire canadienne et elle est régulièrement citée par les Canadiens. (voir l'article sur Wikipédia)


Tous les événements sont enchainés dans le meilleur des mondes possibles : car enfin si vous n'aviez pas été chassé d'un beau château à grands coups de pieds dans le derrière pour l'amour de mademoiselle Cunégonde, si vous n'aviez pas été mis à l'Inquisition, si vous n'aviez pas couru l'Amérique à pied, si vous n'aviez pas donné un bon coup d'épée au baron, si vous n'aviez pas perdu tous vos moutons du bon pays d'Eldorado, vous ne mangeriez pas ici des cédrats confits et des pistaches. — Cela est bien dit, répondit Candide, mais il faut cultiver notre jardin.


Le bon Pangloss m’avait souvent prouvé que les biens de la terre sont communs à tous les hommes, que chacun y a un droit.


Nous allons dans un autre univers.


Quand on n’a pas son compte dans un monde, on le trouve dans un autre.


Il est certain qu’il faut voyager.


Comme les richesses de ce monde sont perissables ; il n’y a rien de solide que la vertu et le bonheur.


Mais à quelle fin ce monde a-t-il donc été formé ? […] pour nous faire enrager.


L’homme était né pour vivre dans les convulsions de l’inquiétude, ou dans la léthargie de l’ennui.


Ceux qui se mêlent des affaires publiques périssent quelquefois misérablement.


Le travail éloigne de nous trois grands maux, l’ennui, le vice, et le besoin.


L’homme n’est pas né pour le repos.