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== Poèmes attribuées à Félix Milliet ==
{{Citation|citation=<poem>
J'aime ta chevelure
Dont la noire parure
Se sépare en bandeaux,
Puis doucement s'arrange
Autour de ton front d'ange
En gracieux anneaux.

De tes seize ans parée
Et de joie enivrée,
Lorsque tu viens au bal,
J'aime la rose blanche
Dont la tige se penche
Sur ton front virginal.
</poem>}}
Paul Milliet : "Ceux qui ont observé les tableaux et les gravures de cette époque [1838], se souviennent de ces jeunes flUes à l'air naïf, coiffées de bandeaux plats, avec accroche-cœurs. Au bal, elles portaient une fleur plantée au sommet de la tête et retombant sur le front."

{{Citation|citation=<poem>
Oh ! c'est qu'elle était là, la jeune demoiselle,
Assise au bord du Loir,
Son album à la main, dessinant la tourelle,
Du gothique manoir.
</poem>}}
Paul Milliet : Il "raconte une joute sur l'eau à laquelle il avait pris part. Ses yeux se tournaient souvent vers le rivage."

{{Citation|citation=<poem>
Lorsqu'au milieu des jeux, des ris, des danses folles,
Les hommes, à Tenvi, vers toi se presseront,
Ton oreille entendra de bien douces paroles,
Qui feront de plaisir rougir ton jeune front.

Alors songe parfois que, loin de cette fête.
Loin de tout le bonheur que le monde promet,
Il est un cœur aimant, une âme de poète,
Qui te chante tout bas et t'adore en secret.
</poem>}}
PM : Il n'est pas invité à un bal

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Version du 7 janvier 2021 à 01:17

Poèmes attribuées à Félix Milliet

J'aime ta chevelure
Dont la noire parure
Se sépare en bandeaux,
Puis doucement s'arrange
Autour de ton front d'ange
En gracieux anneaux.

De tes seize ans parée
Et de joie enivrée,
Lorsque tu viens au bal,
J'aime la rose blanche
Dont la tige se penche
Sur ton front virginal.

Paul Milliet : "Ceux qui ont observé les tableaux et les gravures de cette époque [1838], se souviennent de ces jeunes flUes à l'air naïf, coiffées de bandeaux plats, avec accroche-cœurs. Au bal, elles portaient une fleur plantée au sommet de la tête et retombant sur le front."

Oh ! c'est qu'elle était là, la jeune demoiselle,
Assise au bord du Loir,
Son album à la main, dessinant la tourelle,
Du gothique manoir.

Paul Milliet : Il "raconte une joute sur l'eau à laquelle il avait pris part. Ses yeux se tournaient souvent vers le rivage."

Lorsqu'au milieu des jeux, des ris, des danses folles,
Les hommes, à Tenvi, vers toi se presseront,
Ton oreille entendra de bien douces paroles,
Qui feront de plaisir rougir ton jeune front.

Alors songe parfois que, loin de cette fête.
Loin de tout le bonheur que le monde promet,
Il est un cœur aimant, une âme de poète,
Qui te chante tout bas et t'adore en secret.

PM : Il n'est pas invité à un bal