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Version du 10 janvier 2020 à 08:43

Le Cercle rouge est un film français réalisé par Jean-Pierre Melville en 1970.

Carton d'ouverture du film

Çakyamuni le Solitaire, dit Sidarta Gautama le Sage, dit le Bouddah, se saisit d'un morceau de craie rouge, traça un cercle et dit
« Quand des hommes, même s'ils l'ignorent, doivent se retrouver un jour, tout peut arriver à chacun d'entre eux et ils peuvent suivre des chemins divergents. Au jour dit, inéluctablement, ils seront réunis dans le cercle rouge.»
RAMA KRISHNA
  • Carton d'ouverture du film, avant le générique. Les fautes d'orthographe éventuelles sont d'origine.
  • carton, Le Cercle rouge (1970), écrit par Jean-Pierre Melville


Répliques

Corey : J'ai pas envie de revenir ici.
Le gardien de prison : Et moi j'ai pas envie d'y rester.

  • Alain Delon, Pierre Collet, Le Cercle rouge (1970), écrit par Jean-Pierre Melville


Le gardien de prison : Qu'est-ce que tu crois, Corey, avec ton pédigrée et tes cinq ans de centrale, qu'on va te faire une situation en rapport avec tes capacités ?
  • Pierre Collet, Le Cercle rouge (1970), écrit par Jean-Pierre Melville


Le gardien de prison : Si c'est à toi que je m'adresse, c'est que je veux pas prendre de risque.
Corey : D'avance, on les connaît jamais.

  • Pierre Collet, Alain Delon, Le Cercle rouge (1970), écrit par Jean-Pierre Melville


Commissaire Mattei : Je pourrai pas demander au ministre de l'intérieur de barrer toutes les routes de France.
  • André Bourvil, Le Cercle rouge (1970), écrit par Jean-Pierre Melville


Commissaire Mattei : Pour une fois, le gibier est intelligent.
  • André Bourvil, Le Cercle rouge (1970), écrit par Jean-Pierre Melville


Vogel : Les mains en l'air !
Corey : Drôle de façon de me remercier.

  • Gian Maria Volonte, Alain Delon, Le Cercle rouge (1970), écrit par Jean-Pierre Melville


Vogel : Au cas où on ne se reverrait pas, merci.
  • Gian Maria Volonte, Le Cercle rouge (1970), écrit par Jean-Pierre Melville


Le directeur de la PJ : À cette heure-ci, il n'y a plus que la chance qui peut…
L'inspecteur général des services : On sait qu'elle n'a pas beaucoup de veine, la chance.

  • René Berthier, Paul Amiot, Le Cercle rouge (1970), écrit par Jean-Pierre Melville


L'inspecteur général des services : Monsieur Mattei, vous ne saviez pas qu'un suspect doit être considéré comme un coupable ?
Commissaire Mattei : Pas pour moi, monsieur l'inspecteur général. Il m'est passé entre les mains tant de suspects qui étaient innocents…

  • Paul Amiot, André Bourvil, Le Cercle rouge (1970), écrit par Jean-Pierre Melville


L'inspecteur général des services : Il y a pas d'innocents. Les hommes sont coupables. Ils viennent au monde innocents, mais ça ne dure pas.
  • Paul Amiot, Le Cercle rouge (1970), écrit par Jean-Pierre Melville


L'inspecteur général des services : Un voyage à deux en wagon-lit ça crée des liens, même un voyage interrompu.
  • Paul Amiot, Le Cercle rouge (1970), écrit par Jean-Pierre Melville


L'inspecteur général des services : Et n'oubliez jamais : tous coupables.
Commissaire Mattei : Même les policiers ?
L'inspecteur général des services : Tous les hommes, M. Mattei.

  • Paul Amiot, André Bourvil, Le Cercle rouge (1970), écrit par Jean-Pierre Melville


L'inspecteur général des services : Mais pourquoi ce nom de Mattei ? Les cheveux blonds, les yeux bleus... C'est pas normal pour un Corse.
  • Paul Amiot, Le Cercle rouge (1970), écrit par Jean-Pierre Melville


L'assistant de Mattei : Je n'aurais jamais dit que ce type-là était un indicateur.
Commissaire Mattei : Et vous auriez eu raison.
L'assistant de Mattei : Quoi, ce n'est pas la barmaid ?
Commissaire Mattei : Eh si.

  • Jean-Pierre Posier, André Bourvil, Le Cercle rouge (1970), écrit par Jean-Pierre Melville


Santi : D'abord je suis pas au courant de ce qui se dit chez moi, et si je le savais…
Commissaire Mattei : Tu me dirais rien, je sais.

  • François Périer, André Bourvil, Le Cercle rouge (1970), écrit par Jean-Pierre Melville


Commissaire Mattei : Il y a pas de police sans indicateurs.
  • André Bourvil, Le Cercle rouge (1970), écrit par Jean-Pierre Melville


L'assistant de Mattei : Où va-t-on ?
Commissaire Mattei : Vous, où vous voudrez, moi, dormir. Y'a quarante-huit heures que j'en ai envie.

  • Jean-Pierre Posier, André Bourvil, Le Cercle rouge (1970), écrit par Jean-Pierre Melville


Vogel : Entre abattre deux hommes à un ou deux mètres de distance et faire mouche à trente mètres, y'a une certaine différence. La différence qui sépare un dilettante d'un professionnel. Et moi, contre toutes les apparences, je ne suis pas un professionnel.
  • Gian Maria Volonte, Le Cercle rouge (1970), écrit par Jean-Pierre Melville


Santi : On peut dire que vous êtes une bonne ordure.
Commissaire Mattei : Chut ! Outrage à magistrat dans l'exercice de ses fonctions, n'aggrave pas ton cas.

  • François Périer, André Bourvil, Le Cercle rouge (1970), écrit par Jean-Pierre Melville


Santi : Vous m'avez dit hier soir que même si je n'avais pas la mentalité d'un indicateur, vous alliez m'obliger à vous aider. Je crois que vous commettez là une énorme erreur de psychologie. Rien ne peut modifier la nature profonde d'un homme.
  • François Périer, Le Cercle rouge (1970), écrit par Jean-Pierre Melville


Le receleur : Je suppose que j'apprendrai par les journaux de quel genre de marchandise il s'agira.
  • Paul Crauchet, Le Cercle rouge (1970), écrit par Jean-Pierre Melville


Janssen : Sans toi je n'aurais jamais pris ma revanche sur les habitants du placard.
Corey : Les habitants du placard ?
Janssen : Trop long à t'expliquer.

  • Yves Montand, Alain Delon, Le Cercle rouge (1970), écrit par Jean-Pierre Melville


Commissaire Mattei : Une affaire de cette importance ne pourra se traiter que par tranches. Si quelqu'un vous dit le contraire, ne le croyez pas.
  • André Bourvil, Le Cercle rouge (1970), écrit par Jean-Pierre Melville


Janssen : Alors… Toujours aussi con dans la police, hein ?
  • Yves Montand, Le Cercle rouge (1970), écrit par Jean-Pierre Melville


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