« Joseph-Marie Lo Duca » : différence entre les versions
Contenu supprimé Contenu ajouté
m intro et catégorisation |
m →Le huitième sceau, 1968 : détails typo |
||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
'''{{w|Joseph-Marie Lo Duca}}''' est un écrivain et un [[critique de cinéma]] franco-italien né le {{date|18|novembre|1910}} à {{w|Milan}} et mort le 6 août 2004 à {{w|Samois-sur-Seine}}, près de {{w|Fontainebleau}}, où il vécut les dernières années de sa vie. Il est l'un des fondateurs des ''Cahiers du cinéma''. |
'''{{w|Joseph-Marie Lo Duca}}''' est un écrivain et un [[critique de cinéma]] franco-italien né le {{date|18|novembre|1910}} à {{w|Milan}} et mort le 6 août 2004 à {{w|Samois-sur-Seine}}, près de {{w|Fontainebleau}}, où il vécut les dernières années de sa vie. Il est l'un des fondateurs des ''Cahiers du cinéma''. |
||
==''Le |
==''Le Huitième Sceau'', 1968== |
||
{{citation|Sauf dans les arts, le génie n'a pas d'apparence visible.}} |
{{citation|Sauf dans les arts, le génie n'a pas d'apparence visible.}} |
||
{{réf livre|titre=Le |
{{réf livre|titre=Le Huitième Sceau |
||
|auteur=J.M. Lo Duca |
|auteur=J.-M. Lo Duca |
||
|page=30 |
|page=30 |
||
|année=1968 |
|année=1968 |
||
Ligne 11 : | Ligne 11 : | ||
{{citation|Le monde est et sera toujours un feu vivant, s'embrasant et s'éteignant.}} |
{{citation|Le monde est et sera toujours un feu vivant, s'embrasant et s'éteignant.}} |
||
{{réf livre|titre=Le |
{{réf livre|titre=Le Huitième Sceau |
||
|auteur=J.M. Lo Duca |
|auteur=J.-M. Lo Duca |
||
|page=34 |
|page=34 |
||
|année=1968 |
|année=1968 |
||
Ligne 18 : | Ligne 18 : | ||
{{citation|On se lasse de tout, excepté de comprendre.}} |
{{citation|On se lasse de tout, excepté de comprendre.}} |
||
{{réf livre|titre=Le |
{{réf livre|titre=Le Huitième Sceau |
||
|auteur=J.M. Lo Duca |
|auteur=J.-M. Lo Duca |
||
|page=50 |
|page=50 |
||
|année=1968 |
|année=1968 |
||
|éditeur=Jean-Jacques Pauvert}} |
|éditeur=Jean-Jacques Pauvert}} |
||
{{citation|Le droit primordial de la nature est de |
{{citation|Le droit primordial de la nature est de survivre…}} |
||
{{réf livre|titre=Le |
{{réf livre|titre=Le Huitième Sceau |
||
|page=189 |
|page=189 |
||
|auteur=J.M. Lo Duca |
|auteur=J.-M. Lo Duca |
||
|année=1968 |
|année=1968 |
||
|éditeur=Jean-Jacques Pauvert}} |
|éditeur=Jean-Jacques Pauvert}} |
||
{{citation|La vocation des caresses est plus répandue que la vocation du bûcher.}} |
{{citation|La vocation des caresses est plus répandue que la vocation du bûcher.}} |
||
{{réf livre|titre=Le |
{{réf livre|titre=Le Huitième Sceau |
||
|auteur=J.M. Lo Duca |
|auteur=J.-M. Lo Duca |
||
|page=201 |
|page=201 |
||
|année=1968 |
|année=1968 |
||
|éditeur=Jean-Jacques Pauvert}} |
|éditeur=Jean-Jacques Pauvert}} |
||
{{citation|Nous sommes tous mortels, ce qui prouve |
{{citation|Nous sommes tous mortels, ce qui prouve au moins que notre mort ne consacre aucunement ce qu'il nous est arrivé de faire.}} |
||
{{réf livre|titre=Le |
{{réf livre|titre=Le Huitième Sceau |
||
|auteur=J.M. Lo Duca |
|auteur=J.-M. Lo Duca |
||
|page=249 |
|page=249 |
||
|année=1968 |
|année=1968 |
||
Ligne 46 : | Ligne 46 : | ||
{{citation|L'envoûtement vient du temps brisé et non des merveilles qui se révèlent à nous.}} |
{{citation|L'envoûtement vient du temps brisé et non des merveilles qui se révèlent à nous.}} |
||
{{réf livre|titre=Le |
{{réf livre|titre=Le Huitième Sceau |
||
|auteur=J.M. Lo Duca |
|auteur=J.-M. Lo Duca |
||
|page=251 |
|page=251 |
||
|année=1968 |
|année=1968 |
||
Ligne 53 : | Ligne 53 : | ||
{{citation|C'est en effet un détail essentiel : peu importe comment du rêve on est passé à la réalité. ''La réalité n'en existe pas moins''.}} |
{{citation|C'est en effet un détail essentiel : peu importe comment du rêve on est passé à la réalité. ''La réalité n'en existe pas moins''.}} |
||
{{réf livre|titre=Le |
{{réf livre|titre=Le Huitième Sceau |
||
|auteur=J.M. Lo Duca |
|auteur=J.-M. Lo Duca |
||
|page=256 |
|page=256 |
||
|année=1968 |
|année=1968 |
Version du 25 juin 2016 à 10:35
Joseph-Marie Lo Duca est un écrivain et un critique de cinéma franco-italien né le 18 novembre 1910 à Milan et mort le 6 août 2004 à Samois-sur-Seine, près de Fontainebleau, où il vécut les dernières années de sa vie. Il est l'un des fondateurs des Cahiers du cinéma.
Le Huitième Sceau, 1968
Sauf dans les arts, le génie n'a pas d'apparence visible.
- Le Huitième Sceau, J.-M. Lo Duca, éd. Jean-Jacques Pauvert, 1968, p. 30
Le monde est et sera toujours un feu vivant, s'embrasant et s'éteignant.
- Le Huitième Sceau, J.-M. Lo Duca, éd. Jean-Jacques Pauvert, 1968, p. 34
On se lasse de tout, excepté de comprendre.
- Le Huitième Sceau, J.-M. Lo Duca, éd. Jean-Jacques Pauvert, 1968, p. 50
Le droit primordial de la nature est de survivre…
- Le Huitième Sceau, J.-M. Lo Duca, éd. Jean-Jacques Pauvert, 1968, p. 189
La vocation des caresses est plus répandue que la vocation du bûcher.
- Le Huitième Sceau, J.-M. Lo Duca, éd. Jean-Jacques Pauvert, 1968, p. 201
Nous sommes tous mortels, ce qui prouve au moins que notre mort ne consacre aucunement ce qu'il nous est arrivé de faire.
- Le Huitième Sceau, J.-M. Lo Duca, éd. Jean-Jacques Pauvert, 1968, p. 249
L'envoûtement vient du temps brisé et non des merveilles qui se révèlent à nous.
- Le Huitième Sceau, J.-M. Lo Duca, éd. Jean-Jacques Pauvert, 1968, p. 251
C'est en effet un détail essentiel : peu importe comment du rêve on est passé à la réalité. La réalité n'en existe pas moins.
- Le Huitième Sceau, J.-M. Lo Duca, éd. Jean-Jacques Pauvert, 1968, p. 256