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Une hache dans le dos d'un seul coup.</poem>}}
Une hache dans le dos d'un seul coup.</poem>}}
{{Réf Livre|titre=Capitale de la douleur ''suivi ''de L'amour la poésie|auteur=[[Paul Eluard]]|éditeur=Gallimard|collection=Poésie|année=1966|année d'origine=1929|page=205|partie=Comme une image|section=IV. Armure de proie|ISBN=978-2-07-030095-2}}
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=== Prose poétique ===
==== [[Novalis]], ''Hymne à la nuit'', 1800 ====
{{Citation|citation=Mais l’ancien monde touche à sa fin ; ses jardins rians se flétrissent, les dieux s’en vont avec leur suite, et la nature reste déserte et sans vie. Le charme de l’existence tombe dans des paroles obscures, comme on voit la fleur s’en aller en poussière ; la croyance est loin, et avec elle, la vive, la puissante imagination.}}
{{Réf Article|titre=Hymne à la nuit|auteur=[[Novalis]]|publication=Nouvelle revue germanique|numéro=14|date=1833|page=238}}


=== Récit de voyage ===
=== Récit de voyage ===

Version du 27 mars 2016 à 20:53

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Final Frontier Voyager — George Grie (2007)

Littérature

Poésie

Paul Eluard , L'Amour la poésie, 1929

Armure de proie

Pour en finir
Une tombe ornée de très jolis bibelots
Un voile de soie sur les lenteurs de la luxure
Pour en finir
Une hache dans le dos d'un seul coup.

  • Capitale de la douleur suivi de L'amour la poésie (1929), Paul Eluard, éd. Gallimard, coll. « Poésie », 1966  (ISBN 978-2-07-030095-2), partie Comme une image, IV. Armure de proie, p. 205


Récit de voyage

Roman

Gabriele D'Annunzio, Le Feu, 1900

— C’est chose très singulière, Perdita, — dit-il en regardant les lointaines eaux pâles, où la marée descendante commençait à découvrir les bas-fonds noirâtres, — combien facilement le hasard vient en aide à notre fantaisie par le caractère mystérieux qu’il prête au concours de certaines apparences en rapport avec une fin imaginée par nous. Je ne comprends pas pourquoi les poètes s’indignent aujourd’hui contre la vulgarité de l’époque présente et se plaignent d’être nés trop tard ou trop tôt. J’ai la conviction que tout homme d’intelligence, aujourd’hui comme toujours, a le pouvoir de se créer dans la vie sa belle fable.
  • Le Feu, Gabriele D'Annunzio, éd. La Revue de Paris, 1900, chap. I. L'épiphanie du feu, p. 14


Yasmina Khadra, L’Olympe des Infortunes, 2010

Toute chose en ce monde a une fin et aucun règne n’échappe à son déclin.
  • L’Olympe des Infortunes, Yasmina Khadra, éd. Julliard, 2010, p. 25