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'''{{w|Gaston Defferre|Gaston Paul Charles Defferre}}''', né le 14 septembre 1910 à Marsillargues (Hérault) et mort le 7 mai 1986 à Marseille, est un homme politique et résistant français. Membre de la SFIO puis du Parti socialiste, il est maire de Marseille d'août 1944 à novembre 1945, puis de mai 1953 à sa mort.
'''{{w|Gaston Defferre|Gaston Paul Charles Defferre}}''', né le 14 septembre 1910 à Marsillargues (Hérault) et mort le 7 mai 1986 à Marseille, est un homme politique et résistant français. Membre de la SFIO puis du Parti socialiste, il est maire de Marseille d'août 1944 à novembre 1945, puis de mai 1953 à sa mort.


== Citations de Gaston Defferre ==
== Citations rapportées de Gaston Defferre ==
{{citation|Ils fuient, tant pis ! En tout cas, je ne les recevrai pas ici. D'ailleurs, nous n'avons pas de place. Rien n'est prêt. Qu'ils aillent se faire pendre ailleurs où ils voudront. En aucun cas et à aucun prix je ne veux de pieds-noirs à Marseille.
{{citation|Ils fuient, tant pis ! En tout cas, je ne les recevrai pas ici. D'ailleurs, nous n'avons pas de place. Rien n'est prêt. Qu'ils aillent se faire pendre ailleurs où ils voudront. En aucun cas et à aucun prix je ne veux de pieds-noirs à Marseille.
|précisions=Gaston Defferre dans Paris-Presse, le 2 juillet 1962
|précisions=Gaston Defferre dans Paris-Presse, le 2 juillet 1962

Version du 19 janvier 2016 à 22:43

Gaston Defferre (1964).

Gaston Paul Charles Defferre, né le 14 septembre 1910 à Marsillargues (Hérault) et mort le 7 mai 1986 à Marseille, est un homme politique et résistant français. Membre de la SFIO puis du Parti socialiste, il est maire de Marseille d'août 1944 à novembre 1945, puis de mai 1953 à sa mort.

Citations rapportées de Gaston Defferre

Ils fuient, tant pis ! En tout cas, je ne les recevrai pas ici. D'ailleurs, nous n'avons pas de place. Rien n'est prêt. Qu'ils aillent se faire pendre ailleurs où ils voudront. En aucun cas et à aucun prix je ne veux de pieds-noirs à Marseille.
  • Gaston Defferre dans Paris-Presse, le 2 juillet 1962
  • « C’est de cette façon qu’en juillet 1962, on traita les rapatriés d’Algérie », Manuel Gomez, Boulevard Voltaire, 31 juillet 2015 (lire en ligne)


Français d’Algérie, allez vous faire réadapter ailleurs. Il faut les pendre, les fusiller, les rejeter à la mer… Jamais je ne les recevrai dans ma cité.
  • Gaston Defferre dans Paris-Presse, le 22 juillet 1962
  • « C’est de cette façon qu’en juillet 1962, on traita les rapatriés d’Algérie », Manuel Gomez, Boulevard Voltaire, 31 juillet 2015 (lire en ligne)