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{{Personnage|Mathilda}} : Tu sais, les filles pensent à leur premier petit ami pendant longtemps. Je l'imaginais avec des cheveux grisonnants, élégant. un peu comme le père de Georgia, une camarade de classe.. Genre de gars qui vous fait sentir en sécurité ! Cool, non ? Mes camarades m'ont dit que la première fois qu'elles avaient fait l'amour était horrible. Elles avaient mal partout, après. Mais c'est parce qu'ils ont fait avec les hommes, ils n'ont pas aimé . En fait, ils ont juste fait pour montrer, au début. Plus tard, elles ont aimé. Comme les cigarettes. ( ... ) Je parle parce que tu ne parles pas, Léon. Je te déclare mon amour et tu ne dis rien. C'est pourquoi je suis nerveuse et je ne peux pas m'arrêter de parler. Dis-moi que tu m'aimes, ou que tu ne m'aimes pas, ou que tu aimes quelqu'un d'autre. Mais ... dis-moi quelque chose .
{{Personnage|Mathilda}} : Tu sais, les filles pensent à leur premier petit ami pendant longtemps. Je l'imaginais avec des cheveux grisonnants, élégant. un peu comme le père de Georgia, une camarade de classe.. Genre de gars qui vous fait sentir en sécurité ! Cool, non ? Mes camarades m'ont dit que la première fois qu'elles avaient fait l'amour était horrible. Elles avaient mal partout, après. Mais c'est parce qu'ils ont fait avec les hommes, ils n'ont pas aimé . En fait, ils ont juste fait pour montrer, au début. Plus tard, elles ont aimé. Comme les cigarettes. ( ... ) Je parle parce que tu ne parles pas, Léon. Je te déclare mon amour et tu ne dis rien. C'est pourquoi je suis nerveuse et je ne peux pas m'arrêter de parler. Dis-moi que tu m'aimes, ou que tu ne m'aimes pas, ou que tu aimes quelqu'un d'autre. Mais ... dis-moi quelque chose .
{{Personnage|Léon}} : J'avais une petite amie, il y a longtemps. Avant de venir ici, dans mon pays. J'avais 14 ans. Nous avons flirté comme des enfants. Son père ne voulait pas qu'elle me voie. Ma famille n'était pas très respectable. Oui. Le jour où il est sorti de prison. Je lui ai permis de faire dix pas, pas plus. Et bang. Deux cents mètres. Par télescope. Cette nuit-là , j'ai quitté mon pays et suis venu ici, pour rejoindre mon père, qui travaillait pour Tony. J'avais 17 ans. Depuis lors, je n'ai jamais quitté la ville et n'ai jamais eu une autre petite amie .... Tu vois, je ne serais pas un bon amant, Mathilda .</poem>
{{Personnage|Léon}} : J'avais une petite amie, il y a longtemps. Avant de venir ici, dans mon pays. J'avais 14 ans. Nous avons flirté comme des enfants. Son père ne voulait pas qu'elle me voie. Ma famille n'était pas très respectable. Oui. Le jour où il est sorti de prison. Je lui ai permis de faire dix pas, pas plus. Et bang. Deux cents mètres. Par télescope. Cette nuit-là , j'ai quitté mon pays et suis venu ici, pour rejoindre mon père, qui travaillait pour Tony. J'avais 17 ans. Depuis lors, je n'ai jamais quitté la ville et n'ai jamais eu une autre petite amie ... Tu vois, je ne serais pas un bon amant, Mathilda.</poem>
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{{Personnage|Mathilda}} : You know, girls think about their first boyfriend for a long time … I imagined him with grizzled hair, elegant … a little like Georgia’s father. Georgia is a classmate of mine …. Kinda guy makes you feel safe! Cool, isn’t it? My mates told me the first time they made love was awful. They had pain everywhere, afterwards …. But that’s because they made it with men they didn’t love. In fact, they just did it to show off, at the beginning. Later, they liked it. … Like cigarettes. (...) I talk because you don’t talk, Léon. I declare my love and you say nothing. That’s why I’m nervous and I can’t stop talking. Tell me you love me, or you don’t love me, or you love someone else. … But tell me something.
{{Personnage|Mathilda}} : You know, girls think about their first boyfriend for a long time … I imagined him with grizzled hair, elegant … a little like Georgia’s father. Georgia is a classmate of mine …. Kinda guy makes you feel safe! Cool, isn’t it? My mates told me the first time they made love was awful. They had pain everywhere, afterwards …. But that’s because they made it with men they didn’t love. In fact, they just did it to show off, at the beginning. Later, they liked it. … Like cigarettes. (...) I talk because you don’t talk, Léon. I declare my love and you say nothing. That’s why I’m nervous and I can’t stop talking. Tell me you love me, or you don’t love me, or you love someone else. … But tell me something.

Version du 18 juin 2015 à 17:27

Léon est un film français écrit et réalisé par Luc Besson et sorti en 1994.

Citation du film

Mathilda : La vie, c'est comme ça tout le temps ? Ou c'est seulement quand on est petit ?
Leon : C'est comme ça tout le temps.

  • Natalie Portman, Jean Reno, Léon (1994), écrit par Luc Besson


Stansfield : J'ai toujours adoré ces petits moments de calme avant la tempête.
  • Gary Oldman, Léon (1994), écrit par Luc Besson


Stansfield : Toi, tu n'aimes pas Beethoven. Tu sais pas ce que tu perds, des ouvertures comme ça, ça me donne une énergie folle. C'est puissant. Mais après les ouvertures, faut être honnête, il a tendance à devenir un petit peu chiant. C'est pour ça que je zappe !
  • Gary Oldman, Léon (1994), écrit par Luc Besson


Leon : Je suis désolé pour ton père.
Mathilda : Si personne ne l'avait tué, un jour ou l'autre je l'aurais peut-être fait moi-même.
Leon : Ta mère, elle...
Mathilda : Ce n'est pas ma mère ! Et ma sœur... elle voulait perdre du poids de toute façon. Je suppose qu'elle n'a jamais eu aussi bonne mine. Ce n'est même pas ma vraie sœur. Juste une demi-sœur, et pas la meilleure moitié.
Léon : Si tu ne les supportais pas, pourquoi pleures-tu ?
Mathilda : Parce qu'ils ont tué mon frère ! Putain, qu'est-ce qu'il avait fait ? Il avait quatre ans... il ne pleurait même jamais. Il s'asseyait juste à mes côtés et me câlinait. J'étais plus une mère pour lui que cette maudite truie ne l'était !
Léon: Hé, dis pas de mal des cochons, hein. Ils valent beaucoup mieux que la plupart des gens.

  • (en)

    Léon : I'm sorry about your father.
    Mathilda : If somebody didn't do it, one day or another I would've probably done it myself.
    Léon : Your mother, she...
    Mathilda : She's not my mother! And my sister... she wanted to lose some weight anyway. Bet she never looked better. She's not even my real sister. Just a half-sister, and not a good half at that.
    Léon : If you couldn't stand them, why are you crying ?
    Mathilda : Because they killed my brother ! What the hell did he do ? Four years old... he never used to cry. He just used to sit next to me and cuddle. I was more of a mother to him than that goddamn pig ever was !

  • Jean Reno, Natalie Portman, Léon (1994), écrit par Luc Besson


Léon : Le fusil à lunette, c'est la première arme qu'on doit apprendre à maîtriser. Parce que c'est la seule qui te permet de rester suffisamment loin du client. Plus tu auras l'expérience du boulot, plus tu te rapprocheras du client. Le couteau par exemple, c'est ce qu'on apprend toujours en dernier.
  • Jean Reno, Léon (1994), écrit par Luc Besson


Mathilda : Tu l'aimes ta plante, hein ?
Leon : C'est ma meilleure amie. Toujours de bonne humeur, jamais de questions. Et puis elle est comme moi tu vois, pas de racines.

  • Natalie Portman, Jean Reno, Léon (1994), écrit par Luc Besson


Tony : C'est ton pognon, moi je me contente de le garder, je suis comme ton banquier à part que c'est beaucoup mieux qu'une banque parce que les banques ça se fait braquer tout le temps alors que personne ne braque le vieux Tony. Et en plus de ça, les banques, t'as toujours des tonnes de papiers à remplir, des conneries de ce genre. Avec le vieux Tony, rien à lire, rien à écrire, c'est tout dans la tête.
  • Danny Aiello, Léon (1994), écrit par Luc Besson


Stansfield : C'est au moment où on a vraiment peur de la mort qu'on commence à vraiment apprécier la vie. Tu tiens à la vie, mon ange ?
Mathilda : Oui.
Stansfield : Très bien, c'est très bien. Parce que tu sais, je ne ressens aucun plaisir à tuer quelqu'un sauf si cette personne tient vraiment à la vie.

  • Gary Oldman, Natalie Portman, Léon (1994), écrit par Luc Besson


[Stansfield vient de tirer dans la tête de Léon]
Léon : Stansfield ?
Stansfield : À ton service.
Léon (donnant quelque chose à Stansfield) : C'est… de la part de… Mathilda.
Stansfield (voyant qu'il s'agit de la goupille d'une grenade et ouvrant la veste de Léon pour y trouver le reste de la grenade) : Chiotte !

  • (en)

    Léon : Stansfield?
    Stansfield : At your service.
    Léon : This… is from… Mathilda…
    Stansfield : Shit.

  • Jean Reno, Gary Oldman, Léon (1994), écrit par Luc Besson


Mathilda : Tu sais, les filles pensent à leur premier petit ami pendant longtemps. Je l'imaginais avec des cheveux grisonnants, élégant. un peu comme le père de Georgia, une camarade de classe.. Genre de gars qui vous fait sentir en sécurité ! Cool, non ? Mes camarades m'ont dit que la première fois qu'elles avaient fait l'amour était horrible. Elles avaient mal partout, après. Mais c'est parce qu'ils ont fait avec les hommes, ils n'ont pas aimé . En fait, ils ont juste fait pour montrer, au début. Plus tard, elles ont aimé. Comme les cigarettes. ( ... ) Je parle parce que tu ne parles pas, Léon. Je te déclare mon amour et tu ne dis rien. C'est pourquoi je suis nerveuse et je ne peux pas m'arrêter de parler. Dis-moi que tu m'aimes, ou que tu ne m'aimes pas, ou que tu aimes quelqu'un d'autre. Mais ... dis-moi quelque chose .
Léon : J'avais une petite amie, il y a longtemps. Avant de venir ici, dans mon pays. J'avais 14 ans. Nous avons flirté comme des enfants. Son père ne voulait pas qu'elle me voie. Ma famille n'était pas très respectable. Oui. Le jour où il est sorti de prison. Je lui ai permis de faire dix pas, pas plus. Et bang. Deux cents mètres. Par télescope. Cette nuit-là , j'ai quitté mon pays et suis venu ici, pour rejoindre mon père, qui travaillait pour Tony. J'avais 17 ans. Depuis lors, je n'ai jamais quitté la ville et n'ai jamais eu une autre petite amie ... Tu vois, je ne serais pas un bon amant, Mathilda.

  • (en)

    Mathilda : You know, girls think about their first boyfriend for a long time … I imagined him with grizzled hair, elegant … a little like Georgia’s father. Georgia is a classmate of mine …. Kinda guy makes you feel safe! Cool, isn’t it? My mates told me the first time they made love was awful. They had pain everywhere, afterwards …. But that’s because they made it with men they didn’t love. In fact, they just did it to show off, at the beginning. Later, they liked it. … Like cigarettes. (...) I talk because you don’t talk, Léon. I declare my love and you say nothing. That’s why I’m nervous and I can’t stop talking. Tell me you love me, or you don’t love me, or you love someone else. … But tell me something.
    Léon : I had a girlfriend … a long time ago. Before coming here, in my country. I was 14 years old …. We flirted like kids …. Her father didn’t want her to see me. My family was not very respectable. Yes. The day he got out of jail. I allowed him to make ten steps … not more. And bang. Two hundred meters. By telescope. That night, I left my country and came here, to join my father, who worked for Tony. … I was 17. Since then, I’ve never left the city … and never had another girlfriend …. You see, I wouldn’t be a good lover, Mathilda.

  • Jean Reno, Natalie Portman, Léon (scène coupée au montage) (1994), écrit par Luc Besson


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