« Totalitarisme » : différence entre les versions

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== Citations ==
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|citation=En substance, Michele s'était rendu compte que marxisme et nazisme avaient un nombre extraordinairement élevé d'ancêtres communs, qu'ils étaient en somme de la même veine. En effet, tous les deux – en une antithèse désormais presque parfaite avec le christianisme qui est amour – s'expliquaient à travers des mécanismes de haine analogues : mais, tandis que pour le marxisme une classe rédemptrice (le prolétariat) était appelée à renverser et à « réprimer » les autres classes, pour le nazisme il s'agissait au contraire d'une race élue, appelée à dominer et asservir les autres.
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{{Réf Livre|titre=Le Cheval rouge
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Version du 14 avril 2015 à 21:49

Le totalitarisme est le système politique des régimes à parti unique, n'admettant aucune opposition organisée, dans lequel l'État tend à confisquer la totalité des activités de la société. Concept forgé au XXe siècle, durant l'entre-deux-guerres, le totalitarisme signifie étymologiquement « système tendant à la totalité, à l'unité.

Citations

En substance, Michele s'était rendu compte que marxisme et nazisme avaient un nombre extraordinairement élevé d'ancêtres communs, qu'ils étaient en somme de la même veine. En effet, tous les deux – en une antithèse désormais presque parfaite avec le christianisme qui est amour – s'expliquaient à travers des mécanismes de haine analogues : mais, tandis que pour le marxisme une classe rédemptrice (le prolétariat) était appelée à renverser et à « réprimer » les autres classes, pour le nazisme il s'agissait au contraire d'une race élue, appelée à dominer et asservir les autres.
  • Le Cheval rouge, Eugenio Corti, éd. Edition l'Age d'homme, 2011, p. 695


(...) les intérêts de la France et de son peuple se distinguent de ceux de son Etat. Qu'importe que le modèle social soit en faillite si celui-ci permet à l'Etat d'asseoir son autorité et d'assurer sa pérennité! Nous rentrons alors dans une logique systémique caractéristique de tous les totalitarismes marxistes. A ce stade précis, l'Etat devient l'ennemi du peuple. Plus ce dernier se rebelle et se réfugie dans un vote populiste, plus l'Etat met en place des gardes-fous répressifs et verse dans une propagande sans limite. La logique ultime de ce système s'étale sous nos yeux, (...) en Corée du Nord.
  • « Les deux Frances du 21 avril », Karl Hauffen, Jeune Résistance (ISSN 1279 - 4759), nº 27, été 2002, p. 11


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