« Mode » : différence entre les versions
Aucun résumé des modifications |
|||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
{{à sourcer|date=2013-12-23}} |
{{à sourcer|date=2013-12-23}} |
||
== Art == |
|||
==== Francis Picabia ==== |
|||
{{citation|citation=La mode est une fleur morte.}} |
|||
== Politique == |
|||
=== Jean-Baptiste Colbert === |
|||
{{citation|citation=La mode est pour la France ce que les mines du Pérou sont pour l'Espagne.}} |
|||
== Mode == |
|||
=== Coco Chanel === |
|||
{{citation|citation=La mode se démode, le style jamais.}} |
|||
{{citation|citation=Il n'y a pas de mode si elle ne descend pas dans la rue.}} |
|||
{{citation|citation=La mode, c'est quelque chose au bord du suicide.}} |
|||
{{citation|citation=La mode est comme l'architecture: une question de proportions.}} |
|||
=== John Galliano === |
|||
{{citation|citation=La mode est avant tout un art du changement.}} |
|||
=== Yves Saint-Laurent === |
|||
{{citation|citation=S’habiller est un mode de vie.}} |
|||
J'ai souvent dit que j'aurais voulu inventer le jean: le vêtement le plus spectaculaire, le plus pratique, le plus détendu et nonchalant. Il a l'expression, la pudeur, le sex-appeal, la simplicité - tout ce que j'espère dans mes vêtements. |
|||
=== Karl Lagerfeld === |
|||
{{citation|citation=Il n'y a plus de mode, rien que des vêtements.}} |
|||
== Philosophie == |
== Philosophie == |
||
=== [[Blaise Pascal]] === |
=== [[Blaise Pascal]] === |
Version du 23 janvier 2014 à 12:53
Certaines citations sont mal sourcées | |
Cet article ou section d'article manque de sources depuis le lundi 23 décembre 2013. Vous pouvez contribuer à l'améliorer en ajoutant des références aux citations. Toute citation non référencée sera, à terme, enlevée de Wikiquote en accord avec la charte. |
Philosophie
Blaise Pascal
- Discours sur les passions de l'amour (.), Blaise Pascal, éd. ., coll. « . », 1652 (ISBN .[à vérifier : ISBN invalide]), partie ., p. .
Jean-Jacques Rousseau
- Julie, ou la Nouvelle Héloïse (.), Jean-Jacques Rousseau, éd. ., coll. « . », 1761 (ISBN .[à vérifier : ISBN invalide]), partie ., p. .
Konrad Lorenz
- Les huit péchés capitaux de notre civilisation (.), Konrad Lorenz, éd. ., coll. « . », . (ISBN .[à vérifier : ISBN invalide]), partie ., p. .
Jean Baudrillard
- Cool Memories (.), Jean Baudrillard, éd. ., coll. « . », 1980-1985 (ISBN .[à vérifier : ISBN invalide]), partie ., p. .
Littérature
Jacques Baron, La Journée des mille dimanches, 1922
- « La Journée des mille dimanches », Jacques Baron, Littérature Nouvelle Série, nº 4, Septembre 1922, p. 15
André Breton, Poisson soluble, 1924
- Poisson soluble (1924), André Breton, éd. Gallimard, coll. « Poésie », 1996 (ISBN 2-07-032917-8), partie 6, p. 43
- Citation choisie pour le 29 janvier 2012.
Roman
Dominique Fernandez, Porporino ou les mystères de Naples, 1974
- Porporino ou les mystères de Naples (1974), Dominique Fernandez, éd. Grasset, coll. « Les Cahiers Rouges », 1974 (ISBN 978-2-246-01243-6), partie II « Les pauvres de Jésus-Christ », Gourmandise, p. 165
- Porporino ou les mystères de Naples (1974), Dominique Fernandez, éd. Grasset, coll. « Les Cahiers Rouges », 1974 (ISBN 978-2-246-01243-6), partie II « Les pauvres de Jésus-Christ », Le secret des perruques grises, p. 264
- Porporino ou les mystères de Naples (1974), Dominique Fernandez, éd. Grasset, coll. « Les Cahiers Rouges », 1974 (ISBN 978-2-246-01243-6), partie III « Naples », Castrapolis, p. 333
— Hé ! Hé ! Je me demande si l'institution des castrats ne fut pas la réponse qu'inventa le génie italien pour éluder les prescriptions trop sévères du code d'honneur castillan. Il est remarquable que le premier castrat soit apparu après, seulement après l'implantation des Espagnols dans la péninsule, et que le royaume de Naples, où ils restèrent deux siècles et demi, sans compter le règne de Charles, ait acquis pour ainsi dire le monopole du recrutement et de la formation des dessus. Sans cette échappatoire, le brillant chérubin italien aurait fini comme le sombre don Juan, victime tragique de la monogamie et du culte de la puissance virile. L'Italie, et surtout le royaume de Naples, se trouvèrent soumis à un code de l'honneur pour lequel ils n'étaient pas du tout préparés. L'invention des castrats, et en général la diffusion de la mode des travestis sur la scène, furent une trouvaille spécifiquement napolitaine, une ruse de l'instinct populaire, une protestation contre les règles insurpportables de la morale castillane. En allant admirer des castrats, ou des femmes qui chantaient des rôles masculins, on prenait le droit, en quelque sorte, de s'attarder dans l'interdémination sexuelle, d'oublier les tâches de la maturité. Comment se rappeler qu'on avait le devoir d'être un homme, si ceux dont on applaudissait l'incomparable voix se trouvaient dispensés de cette obligation ! Un grand capitaine, un roi, un conquérant, César, Alexandre lui-même ! dépouillés de leur puissance virile tout en gardant leur pouvoir de séduction : quelle aubaine pour des gens dont la sensualité subtile, complexe et hésitante s'accommodait fort mal des prescriptions brutales d'un code sans nuances, qui était par surcroît celui des occupants.
- Porporino ou les mystères de Naples (1974), Dominique Fernandez, éd. Grasset, coll. « Les Cahiers Rouges », 1974 (ISBN 978-2-246-01243-6), partie III « Naples », Orphée, p. 426