« Frédéric Kuhlmann » : différence entre les versions
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'''{{w}}''' né à Colmar le 22 mai 1803, mort à Lille le 27 janvier 1881, est un chimiste, chercheur universitaire et industriel français. |
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{{Citation|Déjà ne voyez-vous pas la chaîne du métier à la Jacquard s'animer sous le courant électrique, sans le secours des cartons dus à l'invention de l'immortel artisan ? Demain, oui demain, ce ne sera plus la pensée seulement qui se transmettra instantanément à des distances infinies, c'est Liszt qui, de son cabinet, fera entendre les prodiges de ses notes sonores sur le théâtre de Londres ou de Saint-Pétersbourg.}} |
{{Citation|Déjà ne voyez-vous pas la chaîne du métier à la Jacquard s'animer sous le courant électrique, sans le secours des cartons dus à l'invention de l'immortel artisan ? Demain, oui demain, ce ne sera plus la pensée seulement qui se transmettra instantanément à des distances infinies, c'est Liszt qui, de son cabinet, fera entendre les prodiges de ses notes sonores sur le théâtre de Londres ou de Saint-Pétersbourg.}} |
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|s=Discours de Frédéric Kuhlmann lors de la réception de Leurs Majestés Impériales. Visite de S. M. l'empereur Napoléon III à la Bourse de Lille le 23 septembre 1853.}} |
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[[Catégorie:Naissance en 1803]] |
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[[Catégorie:Décès en 1881]] |
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Version du 14 novembre 2013 à 12:32
Frédéric Kuhlmann né à Colmar le 22 mai 1803, mort à Lille le 27 janvier 1881, est un chimiste, chercheur universitaire et industriel français.
Discours lors de la réception de Leurs Majestés Impériales. Visite de S. M. l'empereur Napoléon III à la Bourse de Lille, 23 septembre 1853
Déjà ne voyez-vous pas la chaîne du métier à la Jacquard s'animer sous le courant électrique, sans le secours des cartons dus à l'invention de l'immortel artisan ? Demain, oui demain, ce ne sera plus la pensée seulement qui se transmettra instantanément à des distances infinies, c'est Liszt qui, de son cabinet, fera entendre les prodiges de ses notes sonores sur le théâtre de Londres ou de Saint-Pétersbourg.
- Compte rendu de la Chambre de commerce de Lille., Frédéric Kuhlmann, éd. Danel, 1853, p. 22 (texte intégral sur Wikisource)