« Léon Bloy » : différence entre les versions
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{{citation|citation= Il n’est rien au monde que je vomisse autant que le pessimisme, qui représente à la fois, pour l’horreur de ma pensée, toutes les impuissances imaginables (…). Je n’estime que ''le courage sans mesure'' et je n’accepterai jamais d’être vaincu, - moi !}} |
{{citation|citation= Il n’est rien au monde que je vomisse autant que le pessimisme, qui représente à la fois, pour l’horreur de ma pensée, toutes les impuissances imaginables (…). Je n’estime que ''le courage sans mesure'' et je n’accepterai jamais d’être vaincu, - moi !}} |
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{{Réf Livre|titre=Le Mendiant ingrat – 1892-1895|auteur=Léon Bloy|éditeur=Robert Laffont|collection=Bouquins|année=1999|page=21}} |
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{{citation|citation= Surtout, je ne veux pas être le ''pamphlétaire'' à perpétuité.}} |
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{{Réf Livre|titre=Le Mendiant ingrat – 1892-1895|auteur=Léon Bloy|éditeur=Robert Laffont|collection=Bouquins|année=1999|page=30}} |
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{{citation|citation= Aperçu Gustave Guiches dans le mauvais lieu. J’ai regardé ce drôle bien de face. L’expression de ses yeux fuyants est abominable. Élégance de propriétaire cadurcien. Allure de chat mouillé. Il a toujours l’air d’avoir été rossé avec ses propres échalas, par un métayer sans douceur.}} |
{{citation|citation= Aperçu Gustave Guiches dans le mauvais lieu. J’ai regardé ce drôle bien de face. L’expression de ses yeux fuyants est abominable. Élégance de propriétaire cadurcien. Allure de chat mouillé. Il a toujours l’air d’avoir été rossé avec ses propres échalas, par un métayer sans douceur.}} |
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{{Réf Livre|titre=Le Mendiant ingrat – 1892-1895|auteur=Léon Bloy|éditeur=Robert Laffont|collection=Bouquins|année=1999|page=52}} |
{{Réf Livre|titre=Le Mendiant ingrat – 1892-1895|auteur=Léon Bloy|éditeur=Robert Laffont|collection=Bouquins|année=1999|page=52}} |
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{{citation|citation= M’en a-t-on assez servi du « grand pamphlétaire » ! Quand messieurs les journalistes sont forcés de me nommer, de rompre, une minute, le ''silence'' concerté qu’ils croient si mortel, ils n’ont à dire que cela et ils le disent le plus fort qu’ils peuvent. (…) Ah ! je suis autre chose, pourtant, et on le sait bien. Mais quand je le fus, c’était par indignation et par amour, et mes cris, je les poussais, dans mon désespoir, sur mon Idéal saccagé !}} |
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{{Réf Livre|titre=Le Mendiant ingrat – 1892-1895|auteur=Léon Bloy|éditeur=Robert Laffont|collection=Bouquins|année=1999|page=64}} |
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{{citation|citation=[Sur Rodin] Ce grand sculpteur, dont les œuvres suent la force, paraît être un homme quelconque. On pourrait le croire pharmacien ou chef de bureau.}} |
{{citation|citation=[Sur Rodin] Ce grand sculpteur, dont les œuvres suent la force, paraît être un homme quelconque. On pourrait le croire pharmacien ou chef de bureau.}} |
Version du 4 août 2012 à 17:27
Léon Bloy, né à Périgueux le 11 juillet 1846 et mort à Bourg-la-Reine le 21 novembre 1917, est un romancier et essayiste français.
Correspondance
Lettres de jeunesse, 1870-1893
À Georges Landry
- Lettre du 16 octobre 1878 (?).
- Lettres de jeunesse (1870-1893), Léon Bloy, éd. Édouard-Joseph, 1920, p. 98
Écrit intime
Le Mendiant ingrat, 1898
- Le Mendiant ingrat – 1892-1895, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 7
- Le Mendiant ingrat – 1892-1895, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 21
- Le Mendiant ingrat – 1892-1895, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 52
- Le Mendiant ingrat – 1892-1895, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 66
- Le Mendiant ingrat – 1892-1895, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 75
- Le Mendiant ingrat – 1892-1895, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 78
- Le Mendiant ingrat – 1892-1895, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 118
- Le Mendiant ingrat – 1892-1895, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 133
- Le Mendiant ingrat – 1892-1895, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 134
- Le Mendiant ingrat – 1892-1895, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 138
- Le Mendiant ingrat – 1892-1895, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 139
- Le Mendiant ingrat – 1892-1895, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 150
- Le Mendiant ingrat – 1892-1895, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 164
- Le Mendiant ingrat – 1892-1895, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 166
Mon journal, 1904
- Mon journal, Léon Bloy, éd. Mercure de France, 1904, p. 41
- Mon journal, Léon Bloy, éd. Mercure de France, 1904, p. 124
- Mon journal, Léon Bloy, éd. Mercure de France, 1904, p. 201
- Citation choisie pour le 16 janvier 2011.
- Mon journal, Léon Bloy, éd. Mercure de France, 1904, p. 269
- Mon journal, Léon Bloy, éd. Mercure de France, 1904, p. 293
- Mon journal, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 187
- Mon journal, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 213
- Mon journal, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 218
- Mon journal, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 227
- Mon journal, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 288
- Mon journal, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 300
- Mon journal, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 310
Quatre ans de captivité à Cochons-sur-Marne, 1905
- Mon journal, t. I, Léon Bloy, éd. Mercure de France, 1935, p. 19
- Mon journal, t. I, Léon Bloy, éd. Mercure de France, 1935, p. 161
- Mon journal, t. II, Léon Bloy, éd. Mercure de France, 1935, p. 19
- Quatre ans de captivité à Cochons-sur-Marne, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 388
- Quatre ans de captivité à Cochons-sur-Marne, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 396
- Quatre ans de captivité à Cochons-sur-Marne, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 398
- Quatre ans de captivité à Cochons-sur-Marne, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 413
- Quatre ans de captivité à Cochons-sur-Marne, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 419
- Quatre ans de captivité à Cochons-sur-Marne, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 419
- Quatre ans de captivité à Cochons-sur-Marne, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 468
- Quatre ans de captivité à Cochons-sur-Marne, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 472
- Quatre ans de captivité à Cochons-sur-Marne, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 482
- Quatre ans de captivité à Cochons-sur-Marne, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 484
L'Invendable, 1909
- L'Invendable, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 545
- L'Invendable, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 548
- L'Invendable, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 567
- L'Invendable, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 571
- L'Invendable, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 572
- L'Invendable, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 583
- L'Invendable, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 592
- L'Invendable, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 607
- L'Invendable, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 620
- L'Invendable, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 640
- L'Invendable, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 649
- L'Invendable, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 650
- L'Invendable, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1999, p. 651
Essai
Je m’accuse…, 1900
- Je m’accuse…, Léon Bloy, éd. La Maison d’Art, 1900, p. 75
Éxégèse des Lieux Communs, 1902
- Éxégèse des lieux communs, Léon Bloy, éd. Rivages, coll. « Rivages poche / Petite Bibliothèque », 2005, p. 9
- Éxégèse des lieux communs, Léon Bloy, éd. Rivages, coll. « Rivages poche / Petite Bibliothèque », 2005, p. 9-10
- Citation choisie pour le 23 juin 2010.
- Éxégèse des lieux communs, Léon Bloy, éd. Rivages, coll. « Rivages poche / Petite Bibliothèque », 2005, p. 101
- Éxégèse des lieux communs, Léon Bloy, éd. Rivages, coll. « Rivages poche / Petite Bibliothèque », 2005, p. 141
- Éxégèse des lieux communs, Léon Bloy, éd. Rivages, coll. « Rivages poche / Petite Bibliothèque », 2005, p. 184
- Éxégèse des lieux communs, Léon Bloy, éd. Rivages, coll. « Rivages poche / Petite Bibliothèque », 2005, p. 212
- Éxégèse des lieux communs, Léon Bloy, éd. Rivages, coll. « Rivages poche / Petite Bibliothèque », 2005, p. 256/257
- Éxégèse des lieux communs, Léon Bloy, éd. Rivages, coll. « Rivages poche / Petite Bibliothèque », 2005, p. 298
Sur la tombe de Huysmans, 1913
Les Représailles du Sphinx
Oedipe croyait bien l’avoir vaincu, le monstre immortel ! vaincu à jamais ! et, pour sa victoire, les Thébains stupides l’avaient fait roi et quasi-Dieu, ce divinateur aux pieds gonflés, cet aveugle terrible, parricide et incestueux sans le savoir !
Depuis près de trente siècles, l’esprit humain tette ce symbole, le plus complet que l’antiquité grecque ait laissé. Dans son irrémédiable déval des plateaux lumineux de l’Éden et dans les successives dégringolades postérieures, l’animal raisonnable a ainsi toujours retenu l’idée d’un central rébus dont l’inespérable solution donnerait l’empire du monde aux cloportes subtils qui la découvriraient.
- Sur la tombe de Huysmans, Léon Bloy, éd. Paris, coll. « Collection des Curiosités littéraires », 1913, Avant la Conversion : Les Représailles du Sphinx, p. 13
La forme littéraire de Huysmans rappelle ces invraisemblables orchidées de l’Inde qui font si profondément rêver son des Esseintes, plantes monstrueuses aux exfoliations inattendues, aux inconcevables floraisons, ayant une manière de vie organique quasi animale, des attitudes obscènes ou des couleurs menaçantes, quelque chose comme des appétits, des instincts, presque une volonté.
C’est effrayant de force contenue, de violence refoulée, de vitalité mystérieuse. Huysmans tasse des idées dans un seul mot et commande à un infini de sensations de tenir dans la pelure étriquée d’une langue despotiquement pliée par lui aux dernières exigences de la plus irréductible concision. Son expression, toujours armée et jetant le défi, ne supporte jamais de contrainte, pas même celle de sa mère l’Image, qu’elle outrage à la moindre velléité de tyrannie et qu’elle traîne continuellement, par les cheveux ou par les pieds, dans l’escalier vermoulu de la Syntaxe épouvantée.
Après cela, qu’importe la multitude des contradictions ou des erreurs qui tapissent, à la manière d’anormales végétations, le fond d’un livre où se déverse, comme dans la nappe d’un golfe maudit, tout l’azur de l’immense ciel ?
- Sur la tombe de Huysmans, Léon Bloy, éd. Paris, coll. « Collection des Curiosités littéraires », 1913, Avant la Conversion : Les Représailles du Sphinx, p. 19
Huysmans et son dernier Livre
Une occasion superbe de baver se présente inopinément. Que la multitude des visqueux soit dans l’allégresse ! Le nouveau livre de Huysmans, En Rade, vient de paraître.
Cet artiste fut beaucoup traîné dans les ordures et conspué royalement dès son début. On se souvient encore de l’ouragan de salive et du compissement procellaire de toutes les presses à l’apparition de Marthe et des Sœurs Vatard. Les traditionnelles archives du bégueulisme et de la pudicité sociale dont la critique des journaux est l’immaculée chambellane furent, en ces temps-là, vidées de leurs trésors, et la besogne de vitupérer ce romancier fut si copieuse, que la clef des sacrées chancelleries de l’indignation, qui se vert-de-grisait auparavant dans les dos des fonctionnaires fut jetée au rancart. Ce fut un débordement fluvial d’humeurs pudibondes, une éruption de pus moral, une évacuation exanthémateuse des fluides blanchâtres de la vertu !
- Sur la tombe de Huysmans, Léon Bloy, éd. Paris, coll. « Collection des Curiosités littéraires », 1913, Avant la Conversion : Huysmans et son dernier Livre, p. 23
L’aquatique pureté du feuilleton se sentit menacée jusque dans sa colle la plus intime par ce moraliste indépendant qui ne craignait pas de retrousser les âmes et de visiter les cœurs au spéculum de la plus imperturbable analyse.
Et puis, Huysmans avait le malheur d’être un écrivain, il avait cette inéligible tare qui doit être unanimement réprouvée par l’opinion de toutes les obédiences de la muflerie publique, en attendant qu’une juste loi la flétrisse enfin de quelque infamante peine.
Nul n’est censé ignorer, d’ailleurs, que tout écrivain véritable est radicalement inapte à la production d’une congruente philosophie. Critique d’art, psychologie, sciences morales ou naturelles, tout est interdit à cet empêtré d’azur.
- Sur la tombe de Huysmans, Léon Bloy, éd. Paris, coll. « Collection des Curiosités littéraires », 1913, Avant la Conversion : Huysmans et son dernier Livre, p. 24
- Sur la tombe de Huysmans, Léon Bloy, éd. Paris, coll. « Collection des Curiosités littéraires », 1913, Avant la Conversion : Huysmans et son dernier Livre, p. 24
- Sur la tombe de Huysmans, Léon Bloy, éd. Paris, coll. « Collection des Curiosités littéraires », 1913, Avant la Conversion : Huysmans et son dernier Livre, p. 26
- Sur la tombe de Huysmans, Léon Bloy, éd. Paris, coll. « Collection des Curiosités littéraires », 1913, Avant la Conversion : Huysmans et son dernier Livre, p. 27
- Sur la tombe de Huysmans, Léon Bloy, éd. Paris, coll. « Collection des Curiosités littéraires », 1913, Avant la Conversion : Huysmans et son dernier Livre, p. 28
- Sur la tombe de Huysmans, Léon Bloy, éd. Paris, coll. « Collection des Curiosités littéraires », 1913, Avant la Conversion : Huysmans et son dernier Livre, p. 35
C’est l’histoire pure et simple d’un pauvre diable d’homme distingué, mais faiblement doué du génie des affaires, qui, ruiné de la veille par la faillite judicieuse d’un alerte banquier, espère trouver un peu de relâche à ses tourments dans une solitude de la Brie où les parents de sa femme, paysans peu connus de lui, ont offert l’hospitalité d’un amas de décombres à ces Parisiens décavés dont ils ignorent la détresse.
Jacques Marles ne tarde guère à découvrir l’ignoble cupidité de ses hôtes qui ne l’ont attiré dans leur taudis que dans l’espoir de le carotter à cœur de journée et, ceux-ci, non moins rapides à subodorer sa pénurie, ne se donnent bientôt plus la peine de dissimuler leur cannibalisme de naufrageurs.
- Il est ici question du roman de Joris-Karl Huysmans : En Rade.
- Sur la tombe de Huysmans, Léon Bloy, éd. Paris, coll. « Collection des Curiosités littéraires », 1913, Avant la Conversion : Huysmans et son dernier Livre, p. 35
- Il est ici question du roman de Joris-Karl Huysmans : En Rade.
- Sur la tombe de Huysmans, Léon Bloy, éd. Paris, coll. « Collection des Curiosités littéraires », 1913, Avant la Conversion : Huysmans et son dernier Livre, p. 43
Quand des livres tels que celui dont il vient d’être si longuement parlé font écho à l’état moral de tout un monde, il se peut très bien qu’à l’aurore on ait entendu d’harmonieux soupirs, mais le soir — c’est un hurlement !
- Il est ici question du roman de Joris-Karl Huysmans : En Rade.
- Sur la tombe de Huysmans, Léon Bloy, éd. Paris, coll. « Collection des Curiosités littéraires », 1913, Avant la Conversion : Huysmans et son dernier Livre, p. 44
L'Incarnation de l'Adverbe
Un jour Émile Zola, dont l’esprit graisseux n’est huilé que pour glisser sur les surfaces, s’avisa de peindre Huysmans.
Le fantômatique « Souvarine » de Germinal est le portrait physique, ressemblant à faire peur, de ce virtuose de fascination. Mais ce n’est qu’un portait physique, le seul dont Émile Zola soit capable.
- Sur la tombe de Huysmans, Léon Bloy, éd. Paris, coll. « Collection des Curiosités littéraires », 1913, Après la Conversion : L'Incarnation de l'Adverbe, p. 60
Roman
La Femme pauvre, 1897
- La Femme pauvre, Léon Bloy, éd. Mercure de France, coll. « Folio », 1980, p. 234
- La Femme pauvre, Léon Bloy, éd. Union Générale d'Editions, coll. « 10-18 », 1983, p. 283
- La Femme pauvre, Léon Bloy, éd. Union Générale d'Editions, coll. « 10-18 », 1983, p. 283
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