« Fatalité » : différence entre les versions
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De la faveur du jour, verglas et sans cailloux.</poem>}} |
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{{Réf Livre|titre=Capitale de la douleur ''suivi ''de L'amour la poésie|auteur=[[Paul Eluard]]|éditeur=Gallimard|collection=Poésie|année=1966|année d'origine=1926|page=106|partie=Nouveaux poèmes|section=[[Paul Klee]]|ISBN=978-2-07-030095-2}} |
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==== [[Antonin Artaud]], ''Fragments d'un Journal d'Enfer'', 1929 ==== |
==== [[Antonin Artaud]], ''Fragments d'un Journal d'Enfer'', 1929 ==== |
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{{citation|citation=On a beau me dire que c'est en moi ce coupe-gorge, je participe à la vie, je représente la fatalité qui m'élit.}} |
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Version du 19 janvier 2012 à 22:09
La fatalité se présente comme le caractère de ce qui est fatal, de ce qui est l'oeuvre du destin.
Littérature
Poésie
Paul Eluard , Capitale de la douleur, 1926
Sur la pente fatale, le voyageur profite
De la faveur du jour, verglas et sans cailloux.
- Capitale de la douleur suivi de L'amour la poésie (1926), Paul Eluard, éd. Gallimard, coll. « Poésie », 1966 (ISBN 978-2-07-030095-2), partie Nouveaux poèmes, Paul Klee, p. 106
Antonin Artaud, Fragments d'un Journal d'Enfer, 1929
On a beau me dire que c'est en moi ce coupe-gorge, je participe à la vie, je représente la fatalité qui m'élit.
- L'Ombilic des Limbes suivi du Pèse-nerfs et autres textes (1929), Antonin Artaud, éd. Gallimard, coll. « Poésie/Gallimard », 1956, partie Fragments d'un Journal d'Enfer, p. 125
Philosophie
Friedrich Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra, 1885
J'aime celui qui ne veux pas avoir trop de vertu. Une vertu est davantage vertu que deux, parce qu'elle est davantage noeud auquel se pend la fatalité.
- Ainsi parlait Zarathoustra, Friedrich Nietzsche (trad. Georges-Arthur Goldschmidt), éd. Le Livre de Poche, coll. « Les Classiques de Poche », 1972 (ISBN 978-2-253-00675-6), partie I, chap. « Prologue de Zarathoustra », 4, p. 24