« Fatalité » : différence entre les versions
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==== [[Antonin Artaud]], ''Fragments d'un Journal d'Enfer'', 1929 ==== |
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{{citation|citation=On a beau me dire que c'est en moi ce coupe-gorge, je participe à la vie, je représente la fatalité qui m'élit.}} |
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{{Réf Livre|titre=L'Ombilic des Limbes suivi du Pèse-nerfs et autres textes|auteur=[[Antonin Artaud]]|éditeur=Gallimard|collection=Poésie/Gallimard|année=1956|année d'origine=1929|partie=Fragments d'un Journal d'Enfer|page=125}} |
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== Citations philosophiques == |
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=== [[Friedrich Nietzsche]], ''[[w:Ainsi parlait Zarathoustra|Ainsi parlait Zarathoustra]]'', 1885 === |
=== [[Friedrich Nietzsche]], ''[[w:Ainsi parlait Zarathoustra|Ainsi parlait Zarathoustra]]'', 1885 === |
Version du 19 décembre 2011 à 20:17
La fatalité se présente comme le caractère de ce qui est fatal, de ce qui est l'oeuvre du destin.
Littérature
Poésie
Antonin Artaud, Fragments d'un Journal d'Enfer, 1929
On a beau me dire que c'est en moi ce coupe-gorge, je participe à la vie, je représente la fatalité qui m'élit.
- L'Ombilic des Limbes suivi du Pèse-nerfs et autres textes (1929), Antonin Artaud, éd. Gallimard, coll. « Poésie/Gallimard », 1956, partie Fragments d'un Journal d'Enfer, p. 125
Philosophie
Friedrich Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra, 1885
J'aime celui qui ne veux pas avoir trop de vertu. Une vertu est davantage vertu que deux, parce qu'elle est davantage noeud auquel se pend la fatalité.
- Ainsi parlait Zarathoustra, Friedrich Nietzsche (trad. Georges-Arthur Goldschmidt), éd. Le Livre de Poche, coll. « Les Classiques de Poche », 1972 (ISBN 978-2-253-00675-6), partie I, chap. « Prologue de Zarathoustra », 4, p. 24