« Cruauté » : différence entre les versions

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== [[Philippe Djian]] ==

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Certaines avaient de belles paires de fesses, de jolies poitrines. Elles avaient des cris clairs, des dents blanches, des poses étudiées. Les garçons les observaient comme du bétail et souriaient aux obscénités qu'ils échangeaient. Ils avaient des yeux vifs, des dents blanches, des manières brutales. Ce qu'ils partageaient, les uns et les autres, ce qu'évoquait leur visage, était la cruauté et l'ennui.
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|titre= Lent dehors
|auteur= Philippe Djian
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Version du 12 février 2011 à 21:17

La cruauté est le plaisir que l'on éprouve à faire souffrir ou à voir souffrir.

André Gide, Les Faux-monnayeurs

La cruauté, c'est le premier des attributs de Dieu.
  • Les Faux-monnayeurs, André Gide, éd. Gallimard, 1925  (ISBN 2070400824), partie III (« Paris »), chap. 18, p. 378


Philippe Djian

Certaines avaient de belles paires de fesses, de jolies poitrines. Elles avaient des cris clairs, des dents blanches, des poses étudiées. Les garçons les observaient comme du bétail et souriaient aux obscénités qu'ils échangeaient. Ils avaient des yeux vifs, des dents blanches, des manières brutales. Ce qu'ils partageaient, les uns et les autres, ce qu'évoquait leur visage, était la cruauté et l'ennui.

  • Lent dehors (1991), Philippe Djian, éd. Folio, 1993, p. 192


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