Very Bad Things

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Very Bad Things est un film américain de 1998, écrit et réalisé par Peter Berg.

Citations[modifier]

Michael Berkow : Même radio-réveil tous les matins, mêmes tapotements à tâtons pour l'éteindre, même douche, serviette, brosse à dents, rasoir, peignoir, gel coiffant, déo, c'est une épidémie de peste. Tu te maries mon gars, tu vas pas te dorer la pilule, tu vas dérouiller. Le mariage, c'est une bétonnière de 30 tonnes qui va broyer tous les os de ton corps d'athlète.
  • Jeremy Piven, Very Bad Things (1998), écrit par Peter Berg


Adam Berkow : Parce que quand l'ultime tempête arrivera, et que toutes les forêts seront anéanties, et que toutes les pierres auront basculé dans le vide, et que toutes les feuilles auront été balayées, ben il restera quoi ? Qu'est-ce qu'il restera ? Les jeunes arbrisseaux, les jeunots, les petits gars que la tempête aura pas remarqué, les tout petits, les bouts de choux.
  • Daniel Stern, Very Bad Things (1998), écrit par Peter Berg


Robert Boyd (expliquant à ses amis comment se débarrasser d'un cadavre) : La réalité, c'est que si tu éludes l'horreur de la situation, si tu éludes la tragédie de la mort, et si tu éludes les implications éthiques et morales dont on t'as gavé et toutes les conneries qu'on a fourré dans ton crâne depuis la maternelle, il va te rester quoi ? Un problème de 48 kilos au maximum. Oui, 48 petits kilos qu'il faut transporter d'un point A à un point B.
  • Christian Slater, Very Bad Things (1998), écrit par Peter Berg


Robert Boyd (à Kyle) : Tu veux savoir ce que tu fais là ? Tu t'abreuves au puits de l'amour, tu veux protéger tout ce qui est sacré, tout ce qui est beau et pur, tout ce qui est en phase avec la poésie, les couchers de soleil et les tout petits bébés. Tu suis ta voie la tête haute, y a que ça de vrai, c'est incontournable, tu aimes cette femme et rien, non rien, absolument rien ne se place au-dessus de l'amour. Rien. Je t'aime moi, j'aime Moore, j'aime Michael, ça respire l'amour dans cette voiture. Mais fais-moi confiance, nous ferons tout ce qu'il faudra, oui, tout ce qu'il faudra. (Il l'embrasse à pleine bouche.) L'amour gagne à tous les coups.
  • Christian Slater, Very Bad Things (1998), écrit par Peter Berg


Michael Berkow : Le cierge magique brûlait, il brûlait très fort, toujours plus fort, et alors arrivait cet instant sublime de pur embrasement où cette saloperie était cuite à la perfection, cuite à point et ça ne durait qu'une seconde mais cette seconde, c'était géant. C'était géant, c'était ça que papa nous disait de guetter. Est-ce que tu me suis ?
Kyle Fisher : Le waoow dont tu parlais.
Michael Berkow : Exactement. Pile poil. L'être humain brûlant dans un élan absolu, toutes ses forces concentrées à l'extrême, brûlant avec une parfaite, parfaite harmonie, et c'est ça qu'il faut que je trouve. Tu me suis ?
Kyle Fisher : Ouais, je crois.
Michael Berkow : J'arrête pas de le chercher ce flash. J'arrête pas, j'arrête pas, je le cherche et j'arrive pas à le trouver. Et si jamais il était déjà passé mon instant sublime ? Imagine qu'il soit passé, que je l'ai raté.

  • Jeremy Piven et Jon Favreau, Very Bad Things (1998), écrit par Peter Berg


Laura Garrety : Toi et Moore, vous allez changer ces cadavres de place, est-ce que c'est compris ? D'ailleurs, tu vas mettre Boyd avec et, pendant que tu y es, tu sais ce que tu vas faire ? Et bien tu n'as qu'à balancer Moore au fond du trou, c'est tout.
Kyle Fisher : Quoi ? Tu veux que je liquide Moore ?
Laura Garrety : Je sais, c'est le seul ami qui te reste mais tu vas le traîner derrière toi comme une casserole et il serait quand même temps que tu apprennes à tirer la chasse d'eau comme un grand. Est-ce que c'est compris ? (...) Et débarrasse-nous aussi de cette saleté de chien pendant que tu y es.

  • Cameron Diaz et Jon Favreau, Very Bad Things (1998), écrit par Peter Berg


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