Silvio Berlusconi

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Silvio Berlusconi en 2005

Silvio Berlusconi, surnommé il Cavaliere, né le 29 septembre 1936 à Milan et décédé le 12 juin 2023 dans la même ville, est un homme d'affaires et homme politique italien.

Citations[modifier]

Ne les choisit pas trop grandes parce qu'on est petit (...) deux filles par personne (...) puis on se les prête... la chatte doit tourner!
  • relevé d'écoutes téléphoniques de Silvio Berlusconi à propos de prostituées
  • « Silvio Berlusconi "premier ministre à ses heures perdues" », Silvio Berlusconi cité par Eric Jozsef, Le Temps, 20 septembre 2011, p. 4


Hier soir, elles faisaient la queue devant ma chambre. Il y en avait onze. Je ne m'en suis fait que huit parce que je n'en pouvais plus.
  • relevé d'écoutes téléphoniques de Silvio Berlusconi à propos de prostituées, un lendemain de jour de l'an.
  • « Silvio Berlusconi "premier ministre à ses heures perdues" », Silvio Berlusconi cité par Eric Jozsef, Le Temps, 20 septembre 2011, p. 4


La politique de colonisation d'Israël (ndlr: dans les territoires arabes occupés depuis juin 1967) peut constituer un obstacle à la paix. En tant qu'ami, la main sur le coeur, je veux dire au peuple et au gouvernement d'Israël que persister dans cette politique est une erreur.


Citations au sujet de Silvio Berlusconi[modifier]

Son style de gouvernement peu orthodoxe, assorti de ses fréquentes gaffes verbales et de scandales médiatisés (y compris les chamailleries publiques avec sa femme au sujet de laisisons présumées) a fait que beaucoup, y compris certains à l'intérieur du gouvernement américain, le trouvent incapable, vaniteux et inefficace comme dirigeant européen moderne.
  • Elizabeth Dibble, ambassadrice américaine à Rome en 2010.
  • « Berlusconi, l'ami trop intime de Poutine », Elizabeth Dibble, citée par Sabine Cessou, Libération, 3 décembre 2010 (lire en ligne)


Inévitablement, il donne l'impression de choisir le plaisir privé plutôt que les affaires d'État.
  • David H. Thorne, ambassadeur américain à Rome en 2010.
  • « Berlusconi, l'ami trop intime de Poutine », David H. Thorne, cité par Sabine Cessou, Libération, 3 décembre 2010 (lire en ligne)


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