Oskar Freysinger

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Oskar Freysinger, né le 12 juin 1960 à Sierre, de père tyrolien et de mère valaisanne, est un homme politique de l'Union démocratique du centre.

Citations[modifier]

Islam[modifier]

L'islam est une religion qui ne fait pas de distinction entre l'Église et l'État. On pourrait la qualifier de religion politique. Dans certains pays européens, cela débouche sur des exigences de législation parallèle. Nous ne voulons pas de ça en Suisse. En s'en prenant au minaret qui est un symbole de pouvoir, notre initiative entend placer un garde-fou avant que la situation soit irréversible.
  • « Les minarets, un débat entre fantasme et symbole », Oskar Freysinger, propos recueillis par Christiane Imsand, Oskar Freysinger, nº 254, 3 novembre 2009, p. 2


Droit des armes[modifier]

Les dictatures sont les premières à désarmer leurs citoyens car l'arme, c'est le pouvoir.
  • « Faut-il mieux contrôler les armes? Dernier duel avant le vote populaire », Oskar Freysinger, propos recueillis par Judith Mayencourt et Romain Chivaz, Tribune de Genève (ISSN 1010-2248), 7.02.2011, p. 6


Ce que nos concitoyens ne veulent pas, c'est la suspicion généralisée. Ils tiennent à l'armée de milice. Ils font confiance aux tireurs et aux collectionneurs, ainsi qu'à l'État, lorsqu'il permet d'avoir une arme. L'État leur fait confiance pour une gestion responsable.
  • À propos de l'Initiative populaire «Pour la protection face à la violence des armes».
  • « Faut-il mieux contrôler les armes? Dernier duel avant le vote populaire », Oskar Freysinger, propos recueillis par Judith Mayencourt et Romain Chivaz, Tribune de Genève (ISSN 1010-2248), 7.02.2011, p. 6


L'insécurité augmente. Les frontières sont poreuses en raison de l'entrée dans l'Espace Schengen. Pourtant, la seule réponse de la gauche à nos concitoyens est qu'en plus de cela, on va leur enlever leurs armes, militaires ou privées. Au diable le lien de confiance entre l'État et les citoyens!
  • À propos de l'Initiative populaire «Pour la protection face à la violence des armes».
  • « Faut-il mieux contrôler les armes? Dernier duel avant le vote populaire », Oskar Freysinger, propos recueillis par Judith Mayencourt et Romain Chivaz, Tribune de Genève (ISSN 1010-2248), 7.02.2011, p. 6


Mondialisme[modifier]

Les élites mondialistes de notre pays n'étant pas encore parvenues à porter un coup fatal à la démocratie directe, le peuple peut encore décider s'il veut continuer à se laisser imposer de multiples contraintes par le haut ou s'il veut reprendre les choses en main.
  • « La classe politique cherche à restreindre les droits populaires », Oskar Freysinger, Franc-parler, mars 2012, p. 5


Immigration[modifier]

Fondée depuis le siècle des lumières sur le principe de l'individualité, notre société n'est pas préparée à accueillir et à intégrer des groupes organisés par ethnies, donc fonctionnant comme des collectifs quasiment immunisés contre toute influence extérieure. L'individualisme ne fonctionne que dans une société plus ou moins homogène dont les membres connaissent et appliquent les règles générales de cohabitation.
  • « Le défi multiculturel », Oskar Freysinger, éditions spéciale de l'Union Démocratique du Centre, novembre 2012, p. 4


Ecologie[modifier]

L’enfumage climatique actuel des milieux économico-écolo-mondialistes ne sert qu’à masquer les intentions réelles d’une petite clique d’oligarques cherchant à prendre le contrôle global des flux financiers et des libertés citoyennes. Ne pouvant parvenir à leur fin – l’abolition des États-nations – à l’aide de moyens honnêtes, ils utilisent la fourberie et le mensonge pour imposer leur modèle liberticide.


Union européenne[modifier]

Si nous signons l'accord-cadre avec l'UE, nous perdrons notre souveraineté et les deux tiers de notre démocratie directe. Nous ne serons plus maîtres chez nous. C'est ce que nous devons expliquer aux Suisses, car après, il sera trop tard pour pleurer.


Il faut qu'on parvienne à contourner les médias officiels pour placer notre agenda qui est fondamental pour le citoyen lambda. Veut-on continuer de vivre dans un pays libre, souverain, indépendant, qui détermine lui-même sa politique? Car le jour où Bruxelles nous fera payer 25 centimes de plus la benzine et que la TVA augmentera à plus de 15% au minimum, vous verrez comme ça va hurler. Quand la Suisse aura perdu ses instruments traditionnels pour se défendre, les Suisses aussi devront s'acheter des gilets jaunes pour se faire entendre.


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