Olympique de Marseille

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L’Olympique de Marseille, couramment abrégé en OM, est un club de football français fondé en 1899 par René Dufaure de Montmirail.

Citations[modifier]

Ouvrages[modifier]

Il existe heureusement des choses qui rendent la vie plus légère à Marseille, comme l’OM. Quand le club était à son apogée, il y avait de la joie de vivre dans l’air, quelque chose qui rendait la ville plus heureuse. Peut-être un peu moins de violences, aussi.
  • Entre la pierre la plume, IAM et Baptiste Bouthier, éd. Stock, 2020  (ISBN 978-2-234-08934-1), chap. Marseille, p. 236


Nous aimons beaucoup le football et l’Olympique de Marseille, mais nous en parlons assez rarement dans nos textes - car cela sonne sans doute comme une évidence pour nous. L’OM et le foot font partie de nos vies, de nos acquis, sans nous inspirer particulièrement. Il y’a quand même Le feu, dont le refrain, « Ce soir on vous met le feu », vient directement des travées du stade Vélodrome.
  • Entre la pierre la plume, IAM et Baptiste Bouthier, éd. Stock, 2020  (ISBN 978-2-234-08934-1), chap. Marseille, p. 237


Articles[modifier]

L'OM ne connaît de la sagesse que sa folie douce ; il n'a de mesure que dans la démesure. [...] Il appartient à ceux qui l'aiment.
Pour ce qu'il est.

Imparfait, humain.

Comme nous
  • « Tribune : "L'OM ne tient pas dans un club de foot », Collectif (rédacteurs : Arnaud Maïsetti, Médéric Gasquet-Cyrus et Jean-Paul Delfino), Laprovence.com, 19 février 2021 (lire en ligne)


Chansons[modifier]

Et sur le plan sportif, le sport le plus populaire

Est dominé par l'équipe aux plus fougueux supporters
Les commentateurs enragent, mais ah quel dommage

Crochet à droite et boum un caramel au fond des cages.
  • Mars contre-attaque, IAM, Shurikn, album Ombre est lumière (1993).


Films[modifier]

« À jamais les premiers »[modifier]

Le 26 mai 1993, l’OM remportait la finale de la Coupe d’Europe des clubs champions face au Milan AC, 1 à 0. But de Basile Boli, et un rêve de gosse soudain devenu réalité. Nous étions sur le toit de l’Europe, enfin.


Un soir de 1993, Marseille et toute la France s'enflamment sur un coup de tête, celui de Basile Boli. C'était le 26 mai, face aux Italiens du Milan AC, au stade Olympique de Munich.
  • « 26 mai 93 : "À jamais les premiers" depuis 21 ans ! », D. B., La Provence, 2014 (lire en ligne)


Ce jour du 26 mai 1993, aucun supporter de l'OM ne peut l'oublier. Le club est monté sur le toit de l'Europe et reste le premier club français à l'avoir fait sans qu'aucun autre n'ait pu réediter l'exploit en 25 ans.
  • « L'OM remporte la Ligue des Champions : le 26 mai 1993 à Marseille, c'est la folie », Sidonie Canetto, francetvinfo, 2018 (lire en ligne)


Le tour d’honneur des vainqueurs n’en finit plus pendant qu’à Marseille, les supporters qui n’ont pas fait le déplacement à Munich envahissent la cité phocéenne pour une nuit sans fin. C’est la folie sur la Canebière, le Vieux Port et même la Bonne Mère semble verser des larmes de joie. Au-delà de Marseille, c’est toute la France qui remercie « l’Oheme ».
  • « Ça s'est passé le 26 mai 1993 : L'OM champion d'Europe ! », Alain Vernon, francetvinfo, 2020 (lire en ligne)


Le retour à Marseille des héros est indescriptible. Tout le monde se souvient de la danse endiablée de Basile Boli, trophée en main, sur la pelouse du stade Vélodrome, devant un public qui n’est pas prêt d’oublier ce 26 mai 1993. Et chante «  A jamais les premiers ! ».
  • « Ça s'est passé le 26 mai 1993 : L'OM champion d'Europe ! », Alain Vernon, francetvinfo, 2020 (lire en ligne)


Le retour à Marseille est un triomphe, le match qui les sacre champions de France face au PSG, le dimanche, une autre démonstration du jeu de tête de Basilou. Encore plus fou... Malheureusement, l'affaire VA-OM flotte dans l'air. Et la corruption avérée qui enverra l'OM en D2 va l'empêcher de défendre sa belle coupe aux grandes oreilles la saison d'après. Pas de Supercoupe d'Europe ni de coupe intercontinentale à Tokyo non plus. Beaucoup de frustration après tant de joie...
  • « Notre série 120 ans de l'OM (10) : 26 mai 1993, l'apogée d'une histoire », Mario Albano, La Provence, 2020 (lire en ligne)


Par joueurs[modifier]

Basile Boli[modifier]

[La première image] Les yeux lasers d'Abedi Pelé qui me transpercent. Avant le match, il me dit : « Tu as vu comme ils sont grands? Essaie d'aller au 1er poteau sur les corners parce que ça va être difficile au 2è ». Quand il prend ce ballon à la 44e, il se retourne et ses yeux me disent : « J'espère que tu n'as pas oublié ». Comme il est rancunier, je tente le coup pour lui faire plaisir. Il était très intelligent, c'était le roi d'Afrique, le sage. Après, tout s'enchaîne. C'est la folie!

[...]

Quand l'arbitre siffle, Marcel vient, je le repousse, et la première image qui me vient à la tête, ce sont les larmes de Bari. Et je cours vers les mecs en disant : « Non, je ne pleure pas ». C'est venu comme ça.
  • « Il y a vingt ans, Boli faisait chavirer la France », Interview, Le Parisien, 2013 (lire en ligne)


[Son but de la tête contre le PSG le 29 mai 1993] Sans réfléchir, je cours comme un fou vers les seize mètres. Je vois Abedi centrer et je me jette de tout mon corps dans le ballon sans même apercevoir Ricardo qui me fait portant face. Ma reprise de la tête va se ficher dans la lucarne de Bernard Lama. C’est le plus beau but de ma carrière !
  • OM PSG : les meilleurs ennemis, enquête sur une rivalité, Jean-François Pérès et Daniel Riolo, éd. Mango Sport, 2003  (ISBN 2-84270-434-7), chap. 5 : On va leur marcher dessus, p. 97


Éric Di Meco[modifier]

Les matchs de l’époque, je ne les montrerais pas à mon fils. On en a trop fait. Les "taquets" que j’ai mis à Colleter, Sassus et Ginola, ce n’est vraiment pas un titre de gloire pour moi. Quand je vais dans les quartiers pour mon boulot à la mairie, les gosses m’en parlent : "Putain, qu’est-ce que tu leur mettais, aux Parisiens !". Franchement, ça me gêne. Je n’en suis pas fier.
  • OM PSG : les meilleurs ennemis, enquête sur une rivalité, Jean-François Pérès et Daniel Riolo, éd. Mango Sport, 2003  (ISBN 2-84270-434-7), chap. 5 : On va leur marcher dessus, p. 86


Voir aussi[modifier]

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