Maurice Maeterlinck

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Maurice Maeterlinck (1911).

Maurice Maeterlinck est un écrivain belge d'expression française, né à Gand le 29 août 1862 et mort à Nice le 5 mai 1949.

Il reçoit le prix Nobel de littérature en 1911.

L'Oiseau bleu, 1908[modifier]

La Fée : — Toutes les pierres sont pareilles, toutes les pierres sont précieuses mais l'homme n'en voit que quelques-unes…

  • L'Oiseau bleu (1908), Maurice Maeterlinck, éd. Éditions Labor, coll. « Espace Nord Références », 1988 (2005), acte I, p. 32-33


La Fée : — Comment seraient-ils morts puisqu'ils vivent dans votre souvenir ?… Les hommes ne savent pas ce secret parce qu'ils savent bien peu de choses ; […] les morts dont on se souvient vivent aussi heureux que s'ils n'étaient point morts…
  • La fée Bérylune à propos des grands-parents défunts de Tyltyl et Mytyl.
  • L'Oiseau bleu (1908), Maurice Maeterlinck, éd. Éditions Labor, coll. « Espace Nord Références », 1988 (2005), acte II, p. 49


La Lumière : — […] Je n'ai pas de voix comme l'Eau ; je n'ai que ma clarté que l'Homme n'entend point… Mais je veille sur lui jusqu'à la fin des jours… Rappelez-vous bien que c'est moi qui vous parle dans chaque rayon de lune qui s'épanche, dans chaque étoile qui sourit, dans chaque aurore qui se lève, dans chaque lampe qui s'allume, dans chaque pensée bonne et claire de votre âme…
  • L'Oiseau bleu (1908), Maurice Maeterlinck, éd. Éditions Labor, coll. « Espace Nord Références », 1988 (2005), acte VI, p. 158


L'Autre Monde ou le cadran stellaire, 1942[modifier]

Ils me font sourire ceux qui parlent sérieusement de leur avenir. Leur avenir est dans la tombe.
  • L'Autre Monde ou le cadran stellaire, Maurice Maeterlinck, éd. Éditions de la Maison française, 1942, p. 50


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