Kaamelott/Bandes dessinées

Une page de Wikiquote, le recueil des citations libres.

Citations de la série de bande dessinée Kaamelott, adaptée de la série télévisée Kaamelott.

T.2 : Les Sièges de Transport, 2007[modifier]

Perceval : On serait pas tombés sur du taré, des fois ?

  • Les Sièges de Transport, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2007, p. 9


Le vieillard : Finalement, j'aurais pu passer dix-sept ans à roupiller, ça aurait été pareil ! Pas une visite, pas une attaque ! Peau de balle !

  • Les Sièges de Transport, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2007, p. 9


Arthur : "Transbahutez mon bureau à l'étage du dessus", j'ai dit ! J'ai jamais parlé de toucher au plumard !
Guenièvre : Surtout quand je suis encore dedans !

  • Les Sièges de Transport, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2007, p. 11


Le tavernier du Languedoc : Et vous avez traversé les océans pour voir s'il y avait un objet magique dans ma cave ?

  • Les Sièges de Transport, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2007, p. 13


Léodagan : Et mes plans ?
Arthur : Vos plans, vous pouvez vous les coller…

  • Les Sièges de Transport, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2007, p. 15


Venec : Et quand vous avez traversé la mer, ça vous a pas plus inquiété que ça ?

  • Les Sièges de Transport, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2007, p. 22


Haki : Allez, vous aussi ! Sautez !
Bjarni : Heu… Dans les poulpes ?

  • Les Sièges de Transport, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2007, p. 25


Bjarni : Ils ont dû se faufiler quelque part !
Haki : Se faufiler quelque part ? Mettez le port sens dessus dessous, par Modi ! Fouillez tous les bateaux s'il le faut mais trouvez-les !

  • Les Sièges de Transport, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2007, p. 26


Haki : Au lieu de faire des phrases, saute et va aider les autres.
Le Viking un poil plus âgé que les autres : Dans les poulpes ?

  • Les Sièges de Transport, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2007, p. 26


Le tavernier : À propos de mobilier, qu'est-ce-que vous trimballez là ? Vous aviez peur de ne pas trouver de place assise ?

  • Les Sièges de Transport, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2007, p. 28


Le tavernier : C'est interdit de venir avec son manger mais avec ses meubles…

  • Les Sièges de Transport, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2007, p. 28


Un matelot : Ils nous suivent toujours, capitaine !
Venec : ÉVIDEMMENT QU'ILS NOUS SUIVENT !
Perceval : Ça pour nous suivre… Je sais pas ce que vous leur avez fait mais ils ont la rancune tenace !
Venec : Mais c'est vous, qui leur avez fait, nom de nom ! Je vous dis que je les ai jamais vus !
Le matelot : Capitaine, ils sont toujours là !
Venec : MAIS VOUS ALLEZ ME GONFLER JUSQU'À QUELLE HEURE, VOUS ? JE ME DOUTE BIEN QU'ILS SONT TOUJOURS LÀ ! ILS SE SONT PAS TRANSFORMÉS EN BANC DE SARDINES !

  • Les Sièges de Transport, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2007, p. 30


Léodagan : Je reprends mon souffle, parce qu'en ce moment, pour vous débusquer dans les locaux, il faut drôlement de l'endurance !
Arthur : Faut surtout pas avoir grand chose à fiche !
Léodagan : J'ai à fiche qu'il y a du boulot urgent ! Seulement quand je me pointe à votre bureau, c'est plus votre bureau !
Arthur : J'ai pas le temps, on verra demain !
Léodagan : Mais demain, vous aurez encore fait la malle !
Arthur : Et ben vous me chercherez ! Ça vous fera de l'exercice !
Léodagan : Je vais faire renifler vos calebards à une meute de chiens de chasse, c'est à vous que ça fera de l'exercice !

  • Les Sièges de Transport, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2007, p. 32


Karadoc : Et profitez pas de l'absence de Perceval pour me faire passer pour un analgésique !

  • Les Sièges de Transport, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2007, p. 33


Haki : Par quel prodige connaissez-vous l'existence des Sièges de Transport ? Parlez !
Venec : L'existence des… ?
Perceval : Je sais pas, j'écoutais pas…
Haki : Je vous signale que vous n'êtes pas vraiment en position de vous foutre de moi !

  • Les Sièges de Transport, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2007, p. 34


Bjarni : Haki ! Réfléchis ! Morts, ils ne nous servent à rien !
Haki : Parce que vivants ils nous servent à quelque chose ?

  • Les Sièges de Transport, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2007, p. 35


Arthur : Et si jamais vous apportez dans ce bureau ne serait-ce qu'un seul céleri-rave, je vous colle trente jours de cachot, c'est clair ?

  • Les Sièges de Transport, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2007, p. 36


La Dame du Lac : Pardon mais votre nouveau bureau est un peu exigu pour une apparition !
Arthur : C'est pour me dire ça que vous êtes venue ?

  • Les Sièges de Transport, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2007, p. 37


Karadoc : Vous êtes sûr que vous avez bien pris le jambon ?

  • Les Sièges de Transport, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2007, p. 41


Arthur : Donc en fait, pour résumer, vous m'avez ramené un machin qui permet aux Vikings de m'envahir plus vite qu'avant, c'est ça ?

  • Les Sièges de Transport, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2007, p. 42


Le tavernier : Comment ça, "il manque un tabouret" ? Et d'une, je pense que c'est quand même pas bien compliqué de jeter un œil avant de s'asseoir, et de deux, je vois pas pourquoi il manquerait un tabouret…

  • Les Sièges de Transport, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2007, p. 44


Léodagan : MÉFIEZ-VOUS ! SI JE ME FÂCHE ON VA RENTRER DANS UNE PHASE PAS MARRANTE !
Arthur : BAR-REZ VOUS ! VOUS VOYEZ BIEN QUE J'AI PAS LA PLACE DE RECEVOIR !
Léodagan : BOUGEZ PAS… (Il prend le tabouret) JE VAIS VOUS EN FAIRE DE LA PLACE (Il le balance sur Arthur, qui l'esquive) !
Arthur : RATÉ ! (Il prend son bureau) PUISQUE VOUS AIMEZ LES MEUBLES, VOUS ALLEZ BOUFFER CELUI-LÀ !

  • Les Sièges de Transport, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2007, p. 46


T.3 : L'Énigme du Coffre, 2008[modifier]

Le chef Orque : Et vous, là ? On peut savoir ce que vous attendez pour lui courir après ?
Un villageois : C'est pas le tout de courir, mais…
Un autre villageois : Après qui ? On n'a rien vu !
Un troisième villageois : On picolait.

  • L'Énigme Du Coffre, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2008, p. 3


Karadoc : Seigneur Lancelot ? Pourquoi vous courez ?
Perceval : C'est vous qui avez volé un truc ?
Lancelot : Mais non, andouilles !

  • L'Énigme Du Coffre, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2008, p. 4


Perceval : Et voilà ! Il file des ordres et il y a même pas la fin !

  • L'Énigme Du Coffre, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2008, p. 4


Un villageois : Cyric, c'était mon copain, je vous ferais dire !
Un autre villageois : Et ben ton copain, c'était un beau salopard !
Un troisième villageois : Insultez pas les morts, nom de nom !
Le chef Orque : VOUS ALLEZ LA FERMER, BANDE DE DÉBILES !

  • L'Énigme Du Coffre, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2008, p. 6


Le chef Orque : Je suppose que c'est Kaamelott qui vous envoie !
Perceval : Tout juste !
Karadoc : Alors, elle est où, la révolte ?
Perceval : Parce que là, si on se met en quinconce, vous allez pas vous marrer !
Lancelot : Ce qu'on va faire : je vais parlementer un peu tout seul… Au moins au début.

  • L'Énigme Du Coffre, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2008, p. 11


Le chef Orque : Je suppose que je suis censé faire ce que vous demandez ?
Lancelot : Exactement. En revanche, rien ne vous oblige à nous remercier de courir après vos voleurs.

  • L'Énigme Du Coffre, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2008, p. 13


Perceval : Ça fait une heure qu'il répète ça, lui ! Plus loin ! Plus loin !
Karadoc : Encore plus loin ! Toujours plus loin !
Perceval : Vous voulez qu'on bousille nos pompes ? C'est ça le but de la manœuvre ?

  • L'Énigme Du Coffre, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2008, p. 14


Perceval : Sauf qu'en face on tombe que sur des amateurs de coups vicelards !

  • L'Énigme Du Coffre, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2008, p. 16


Arthur : Vous arrivez à remonter ou il faut qu'on s'y mette tous ?

  • L'Énigme Du Coffre, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2008, p. 17


Arthur : Bon, nous on pige rien, mais…

  • L'Énigme Du Coffre, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2008, p. 19


Karadoc : Et les autres, qu'est-ce-que vous en faites ? Des épouvantails ?

  • L'Énigme Du Coffre, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2008, p. 23


Le croque-mort : Je les balance, les cendres… Qu'est-ce que vous voulez que j'en fasse ?

  • L'Énigme Du Coffre, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2008, p. 24


Perceval : Il a les miquettes, le faisan ?

  • L'Énigme Du Coffre, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2008, p. 24


Léodagan : Votre grand-père ? Qu'est-ce qu'on s'en fout de votre grand-père ?

  • L'Énigme Du Coffre, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2008, p. 26


Lancelot : Vous accusez votre chef ?
Léodagan : Et alors ? Nous aussi, on accuse bien notre chef de temps en temps ? Ça fait pas de mal !

  • L'Énigme Du Coffre, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2008, p. 28


Léodagan : Elle était ouverte, cette porte ? C'est pas normal !
Perceval : Même une porte, ça fout les jetons, ici…

  • L'Énigme Du Coffre, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2008, p. 34


Karadoc : Heu… Vous allez peut-être nous dire qu'il faut monter là-dedans ? […]
Arthur : On va rien vous dire… On n'en sait pas plus que vous !

  • L'Énigme Du Coffre, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2008, p. 34


Léodagan : Eh, regardez ! On dirait que ça se vide !
Perceval : C'est moi ! C'est depuis que j'ai tourné ce truc !
Arthur : Mais qui vous a demandé de tourner des trucs, vous ?

  • L'Énigme Du Coffre, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2008, p. 37


Karadoc : Eh regardez ! Il y a un petit poisson dans mon casque !
Léodagan : Ah, vous vous sentez proches des problèmes, ça fait plaisir !
Karadoc : Attendez, quand je vais à la pêche, je touche jamais à rien, et là, je sors de l'eau, je demande rien à personne et j'ai un petit poisson dans mon casque !
Léodagan : Bouffez-le, votre poisson !
Lancelot : C'est ça ! Comme ça, vous là fermerez !
[…]
Léodagan : Vous allez nous les râper jusqu'à quand, avec votre poisson ?

  • L'Énigme Du Coffre, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2008, p. 40-41


Perceval : C'est peut-être moi ! Je suis un faux maigre !

  • L'Énigme Du Coffre, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2008, p. 42


Léodagan : S'il y a pas l'or, je me casse, je vous préviens ! Ras le bol de vos acrobaties, moi !!

  • L'Énigme Du Coffre, Alexandre Astier et Steven Dupré, éd. Casterman, coll. « Kaamelott », 2008, p. 45


T.5 : Le Serpent géant du lac de l'ombre, 2010[modifier]

Il existe une fiche de références pour cette œuvre :
Le Serpent géant du lac de l'ombre.

Karadoc : Il [le sac d'or] était sous le coussin, je ne suis pas fou ! Il y avait un demi-pain de seigle, deux saucissons de sanglier dont un entamé, une terrine de pâté de foie de volaille et un sac de pièces ! Le demi-pain, les saucissons et la terrine, ils y étaient, mais pas le sac !


Arthur : Qu'est-ce que c'est que cette histoire ? Avec tout le pognon qu'on vous a fait tomber l'autre fois, vous êtes déjà à sec ?
Karadoc : Ah oui mais, attention ! On l'a pas dépensé à des bêtises !
Perceval : Sûrement pas !
Karadoc : C'est pas notre genre !
Arthur : Et vous l'avez dépensé à quoi, sans indiscrétion ?
Karadoc : On l'a pas dépensé, on l'a paumé.
Perceval : Nuance !


Père Blaise : [...] Vous êtes sûr que les villageois vous ont acclamés comme des héros ? Tout ça pour avoir estourbi une anguille ?
Perceval : Acclamés, acclamés... En tout cas ils étaient très satisfaits de nos services ! Ils nous ont même servi du potage. Ça veut rien dire, ça, peut-être ?
Père Blaise : Du potage ? Parce que si quelqu'un vous sauve d'un grand péril, vous, vous le remerciez avec du potage ?
Perceval : Mais d'habitude, quand on part faire une quête, les gars du coin nous remercient en nous balançant des gadins ! Quand ils nous envoient pas les chiens aux caleçons ! Alors, je suis désolé, mais le potage, c'est quand même un net progrès !


Karadoc Mevanwi, qui a raté une tourte au fromage) : Le fromage, ça se respecte, Madame !


PercevalKaradoc) : J'arriverai jamais à comprendre – intelligent comme vous l'êtes – comment vous avez fait pour vous enticher d'une gourdasse pareille...


Karadoc : Je sais bien que ça vous agace, mais en matière de bonne femme, comme vous en avez pas, il y a quand même quelques trucs qui vous échappent. Pardonnez-moi.
Perceval : J'ai pas besoin d'avoir de bonne femme pour comprendre que la vôtre est une grosse dinde malsaine.


(Perceval et Karadoc avaient encore égaré un sac de pièces d'or)
Karadoc : Ça y est ! Je l'ai retrouvé !
Venec (masqué, à la tête d'une troupe de brigands) : Vous nous en voyez ravis ! Ça va nous permettre de vous en débarrasser, vous serez plus légers pour la suite du voyage.


Perceval : Vous allez voir qu'on va encore se prendre une danse en rentrant... J'en ai ras le pif...
Karadoc : Moi aussi. Déjà qu'on s'en était pris une en partant...


(À peine arriver au village)
Perceval : Je voudrais que vous arrêtiez de vous bâfrer, que vous leviez vos miches de votre chaise et qu'on s'occupe de nos affaires !
Karadoc : Le ventre vide ?


(Aux ingénieurs Nains qui taxent Karadoc de raciste)
Karadoc : Bon ! Écoutez-moi les petits cocos...
Perceval : Heu... "Les petits cocos", vous êtes sûr ?
Karadoc : Pardon... Écoutez-moi bien les petits amis...
Perceval : Non mais rien avec "petit" en fait.
Karadoc : Ah ouais... Écoutez-moi bien les comiques !
Perceval : Voilà. Ça, c'est bien.


Perceval : C'est pas vrai ! Je vous avais dit de vous occuper des rames, gros salsifis ! Vous en avez laissé une sur le bord !
Karadoc : Mais il y en avait deux, de ces machins ?


Perceval : Calogrenant ? Mais qu'est-ce que vous venez fiche ici ?
Karadoc (à un villageois) : Le roi ? Qu'est-ce qui vous prend de l'appeler "le roi", vous ? Ça va pas mieux ?
Calogrenant : Vous êtes en Calédonie, ici. Même si je suis sous l'autorité d'Arthur, je suis quand même le roi du coin !
Karadoc : Ah bon... Désolé, on savait pas.
Perceval : Quand vous veniez à Kaamelott, on se disait qu'Arthur avait accepté un pécore à la Table Ronde pour faire genre "je suis moderne, j'accepte aussi les clodos..."


Karadoc : Une heure de boulot, une tranche de jambon. Retenez-moi ou je bute un client...


(Le premier Nain répète le terme employé pour décrire le "racisme" de Karadoc)
Nain à lunettes : Nanosinophobie.
Vieux Nain barbu : Concaténation des préfixes nano et sino et le suffixe phobie.
Karadoc : Ouais, c'est pas faux.


(Perceval et Karadoc ont atterri dans un arbre, éjectés de leurs esquifs par le serpent géant)
Perceval : Je réfléchissait un peu en vous attendant et je me disais qu'on avait peut-être sous-estimé le problème...


Karadoc (venant de gouter la tourte au fromage d'une villageoise) : Si Dieu est fromage, cette tourte est le Graal.


(Perceval et Karadoc viennent demander aux Nains de réparer la barque)
Karadoc : On veut que vous vous mettiez au boulot sur la barque.
Perceval : Sauf qu'on n'a toujours pas un rond et qu'au lieu de vous payer, on va vous aider à bosser !
Le chef des Nains : Nous aider à bosser ? Parce que vous imaginez que vous pouvez vous improviser ingénieurs en claquant des doigts ?
Karadoc : Ça va ! Vous allez pas venir frimer sous prétexte que vous savez planter trois clous dans une planche !
Perceval : Nous, notre point fort, c'est le cervelas... Vous nous dites un truc une fois et hop ! c'est rentré !


Perceval : Sortez les arcs au lieu de dire des âneries !
Karadoc : C'est bien gentil qu'on puisse utiliser que les arcs... Mais vous savez tirer à l'arc, vous ?
Perceval : Non, mais qu'est-ce que ça change puisqu'on peut pas utiliser autre chose ?


Perceval (au serpent géant) : Prépare-toi à passer ton dernier quart d'heure, l'asticot !
Karadoc : La prochaine fois qu'on se pointe, ce sera pour la fête à tes miches ! Parole !


Perceval (aux Nains) : On vous prévient, les petits zizis ! Vous allez retourner dans votre boutique là-derrière, et vous n'en sortirez que quand vous aurez fait du boulot propre !


Karadoc : C'est dommage que le bateau puisse plus se retourner la tête en bas... On aurait pu tirer sous l'eau, du coup...


(Le serpent géant a émergé et fait tanguer le bateau)
Perceval : Arrêtez de faire bouger le bateau, nom d'un chien ! J'arrive pas à regarder dans le truc !
Karadoc : Je risque pas de faire bouger le bateau ! Je sais pas comment on fait !


Perceval ou Karadoc : On a tellement réfléchi que j'ai attrapé des plaques derrière les oreilles !


Perceval : Le serpent géant, il a été optimisé !
Karadoc : Du travail d'orfèvre ! Tout au fil de plomb !


Vous pouvez également consulter les articles suivants sur les autres projets Wikimédia :