Gérald de Palmas

Une page de Wikiquote, le recueil des citations libres.

Gérald de Palmas est un auteur-compositeur-interprète pop rock français, né à Saint-Denis de La Réunion le 14 octobre 1967.

Sortir[modifier]

Au bord de l’eau[modifier]

J'ai passé tellement de temps
A faire mon intéressant
Qu'un soir je me suis perdu
Voilà ce que je vais faire :
Aller au bout de la Terre
L'océan à perte de vue


Fais de ton mieux[modifier]

On t'a roulé dans la farine
Jeté par dessus bord
A grand renfort d'aspirine
Te voilà devenu fort


Dans une larme[modifier]

Plonger au fond de la mer
As-tu déjà essayé
Et au centre de la terre
Qu'il y a t-il dans l'obscurité
Les étoiles et leur poussière sais tu ce qu'il c'est passé
Derrière le soleil qui nous éclaire
y-es tu déjà allé ?


Best-of[modifier]

Elle habite ici[modifier]

Quand elle part seule avec son chien
Si il pleut et qu'elle rentre plus tôt
Je fais du feu et je fais le beau

[…]

Elle habite ici, elle dort dans mon lit
car elle habite ici, chez moi


Regarde moi bien en face[modifier]

Rien, rien ne doit jamais,
Te forcer à rester.
Ne fuis pas la vérité,
Non, ne change jamais,
L’amour en amitié.
Oh, non…
Viens je vais t’aider…

Regarde moi bien en face,
Il faut que tu t’y fasses!


L’Étranger[modifier]

Le son de ma voix
Un regard les traits de mon visage
Est-ce comme autrefois…
Ou as-tu vraiment tourné la page ?
Je suis un étrange-étranger,
Mal à l’aise dans ce qui fut ma maison,
Sans reconnaître, je reconnais…
Comme si j’avais perdu la raison…
[…]
Le vent dans les arbres,
Dehors, quelque chose est différent,
Graver dans le marbre,
Mes souvenirs et mes sentiments.
[…]


Elle S’Ennuie[modifier]

Je l'ai couverte de fourrures
De bijoux, de parures
On a dormi dans des palaces
Toujours, toujours en première classe

Mais je voudrais bien comprendre,
Je dois sûrement mal m’y prendre


Marie[modifier]

Oh Marie si tu savais
Tout le mal que l'on me fait
Oh Marie si je pouvais
Dans tes bras nus me reposer


Les lois de la nature[modifier]

La nuit est belle, je drague la lune
Voilà bientôt une semaine qu'elle m'allume
J’aime perdre mon temps à sourire aux anges
Ce n’est pas important si ça vous dérange…


Un homme sans racine[modifier]

Encore une fois[modifier]

Des années, des années ont passé
Je le sais, car je les ai comptées
Ça t’amuses, tu trouves ça charmant
Moi ça m'use, je brûle en dedans
Au détour, d’une ruelle sans nom
Te voilà, une chance sur un million
[…]
Si seulement tu n'attendais que moi
Si Seulement je ne t'aimais plus
Si seulement - si seulement - si seulement quoi…
Les « si seulement » je n’en peux plus !


Plus d’importance[modifier]

Oui je sais - Oui je sais que je mérite mieux,
Oui je sais - Que je ferais mieux d’ouvrir le yeux,
Oui je sais - Qu’elle m’attirera beaucoup d’ennuis,
Oui je sais - Qu’elle m’éloignera de mes amis…


Marcher dans le sable[modifier]

Une seul vie[modifier]

Marcher dans le sable,
Se sentir coupable,
Dans les herbes hautes,
C’est sûr tout est de ma faute.


J’en revêve encore[modifier]

Encore un effort,
Quelques mois suffiront,
Je suis presque mort,
Quelques mois et c’est bon,
[…]
Supprimer les traces, la moindre trace,
Ce qui reste de candeur,
Un morceaux de glace à la place du cœur,
…Même si je m’améliore,
oh…j’en rêve encore,
Même cassé, ivre mort,
oh…j’en rêve encore,


Tu finiras toute seule[modifier]

Mais tu finiras toute seule
Tu finiras toute seule
Tu finiras toute seule
Tu n'as jamais pris la peine

Tu as marché sur mon cœœur
Vendu mon âme à un docteur
Je t'ai aimé tous les jours
J'attendais tellement en retour
Loin de toi tout ira bien
J'apprendrai à être heureux
Tu trouveras un autre pantin
Qui voudra bien jouer à ton jeu


Rien à faire ensemble[modifier]

J’aime ces gens sans qui sûrement
Ta solitude m’aurait tué doucement.
Être seul à deux c’est rare
C'est pourtant le cas
Quand tu viens me voir.


Vous pouvez également consulter les articles suivants sur les autres projets Wikimédia :